vendredi 25 octobre 2013

Maudite Aphrodite !

J’ai découvert Woody Allen avec « Match Point ». C’était le premier de ses films que je voyais. Et j’ai adoré !
Les puristes disaient que ce n’étaient pas du Woody Allen. Peu importe, cela m’a donné envie d’en voir d’autres.

J’ai donc vu « Scoop », que j’ai bien aimé, « Minuit à Paris », que j’ai moins aimé, « Vicky Cristina Barcelona », que j’ai beaucoup aimé, « Vous allez rencontrer un grand et sombre inconnu », que j’ai beaucoup aimé, « Whatever Works », que j’ai beaucoup aimé aussi, « Meurtres mystérieux à Manhattan », que je n’ai pas trop aimé et idem de « Le Sortilège du scorpion de jade »  et de « Le Rêve de Cassandre (même s’il y avait Ewan Mc Gregor dedans ^^),et enfin  « To Rome with love », que j’ai adoré !

Quant à « Mighty Aphrodite », que j’ai vu hier soir, je n’ai pas grand-chose à en dire, si ce n’est que je n’ai pas trop aimé. Oui il y a des répliques drôles et géniales, comme quasiment à chaque fois, mais Hormis cela, le film ne m’a pas tellement intéressé. Cela fait toujours bizarre de voir Helena Bonham-Carter ailleurs que dans un film de son mari, Tim Burton, dans lesquels elle interprète toujours des rôles assez spaces.


Et ce soir, je vais voir « Blue Jasmine », le dernier Woody Allen. Je vous dirai… ; ) 

Deux autres coups de coeur musicaux du moment !



jeudi 24 octobre 2013

Ma vie est tout à fait fascinante ! Et mon manque de chance aussi !





Chance est mon deuxième prénom, et ceux qui me connaissent bien savent que c’est parfaitement ironique !
Par exemple, quand je renverse une boîte de céréales ou de cotons tiges, ce n’est jamais à la fin de la boite, mais plutôt quand elle est neuve, à peine entamée et bien pleine ! Forcément !

Je me plains que j’ai grossi mais en ce moment, j’ai une alimentation de préado, je me fais un peu penser à Bridget Jones qui entame un régime, et comme pour le matin, elle n’a pas un pamplemousse et une orange, les remplace par un mars et un snickers, en pensant que c’est pareil lol !

Un ami dit que je suis psychorigide et manique (ce qui est faux) et lui me compare à Monica de Friends ! Rappelons que Monica a un classeur qu’elle entretient et remplit depuis sa plus tendre enfance, pour préparer son mariage. Or, moi, je n’ai pas ça ! J’ai seulement une playlist, des photos de robes de mariées et accessoirement, une ébauche de liste d’invités et de lieux qui me plairaient. Bref ! 
Nino, ce n’est pas pour ça que tu as raison !

Pour reparler de la chance, je perds à tous les jeux de grattage, je me prends des parasols sur la tête, je prends le produit sans code-barres en grande surface, on me prend pour la mère de mes sœurs, quand je prends mon courage à deux mains pour aborder un garçon, il est déjà en couple… N’en jetez plus, la coupe est pleine ! Il y a quand même des jours, comme dimanche dernier, avec quelques éclaircies…

J’ai gagné au Scrabble, gagné des sous, fait une bonne affaire, eu le feeling avec un jeu de clés à tester, bref, des petits riens mais qui parfois font du bien ! 

Enya...

Un événement attendu par des millions de fans : tous les plus grands succès d’Enya enfin réunis sur un seul et même disque ! Retrouvez ainsi tous les plus grands morceaux qui ont fait la renommée d’Enya : « Only time », « Amarantine », « Orinoco Flow » ou encore « Storms in Africa ».Seul manque selon moi le morceau présent au générique du film « Gladiator », « Now we are free », que l’on pouvait légitimement s’attendre à voir figurer sur cette compilation…
Et si les titres précités ne vous disent rien, il est pourtant certain que vous avez déjà entendus ces morceaux, souvent utilisés dans des reportages ou autres émissions de télévision. La musique si particulière d’Enya ne s’écoute pas seulement, mais elle se vit et se savoure pleinement à chaque note. Un mélange de sonorités inhabituelles, ajoutées à la sublime voix de la chanteuse donne une alliance surprenante et un résultat délicat, pour une écoute tout en douceur ensuite.


Enya a su créer un monde sombre et coloré, doux et dur à la fois, avec sa musique aux accents parfois mystiques, et ses envolées vocales qui suscitent en nous un panel d’émotions. A écouter pour toutes les humeurs ! 

Brave Johnny...






Bon, hier soir, j’ai enfin vu « The Brave » avec Johnny Depp .
Je suis contente de l’avoir vu, car je veux le voir depuis qu’il est sorti au ciné, j’étais au collège je crois…La bande-annonce m’avait interpellée !

Au final, j’aurai très bien pu me passer de voir ce film sue j’ai détesté, qui m’a ennuyée, et au final dans lequel, selon moi, le réalisateur passe à côté de son sujet.
Il tourne autour du pot et au finale, le film s(achève sans qu’il ne se passe rien, et qu’on ne sache pas pour sûr (même s on se doute) ce qu’il advient de notre héros…


Heureusement, je ne l’ai regardé que d’un œil en textotant un ami, je n’ai donc pas perdu mon temps et j’ai quand même passé une bonne soirée !


Par certains côtés, certaines scènes un peu dingues, ou oniriques, le film m’a fait penser à « Arizona Dream ». En plus, il y a ici Iggy Pop qui fait une apparition, et c’est lui qui chante le chanson principale de la Bo de « Arizona dream »…

mercredi 23 octobre 2013

CD Sympathique !





Partout et toujours, la musique nous surprendra ! En effet, est-il quelque chose de plus frustrant qu’écouter sans cesse les mêmes mélodies et n’offrir aucun renouveau à nos oreilles ? Heureusement, la créativité de jeunes artistes  permet de toujours voir émerger les rythmes et les morceaux afin de ne pas nous laisser nous reposer sur nos acquis musicaux.
Lorsque j’ai acheté le cd de Pink Martini, sur les conseils d’un ami qui m’en avait fait écouter quelques rares extraits afin d’en préserver une grande partie du mystère, je ne me doutais pas qu’il ne s’agissait pas pour moi d’un simple album, mais au contraire d’une véritable rencontre ! Car en réalité, Pink Martini, ça ne se raconte pas, ça se vit !

Dépaysement garanti dès la première écoute, avec ces mélopées qui nous transportent tantôt en français, tantôt en anglais ou encore en espagnol. Mélange de culture, melting pot de sons où se côtoient cha cha cha endiablés, rumba, swing, bossa nova, sur des morceaux parfois chantés ou parfois seulement instrumentaux. Véritable invitation au voyage, concentré de bonne humeur, cet album inclassable, qui mêle avec facilité  musique moderne et musique rétro, est parfait aussi bien en musique d’ambiance que pour s’évader…
Avec bien sur, sur cet album, le morceau que tout le monde a au moins fredonné une fois dans sa vie, le désormais très célèbre : « Je ne veux pas travailler »…

Laissez-vous submerger par la fraîcheur et l’éclectisme du groupe Pink Martini qui nous propose, cachée sous des airs légers et frais, une réelle originalité, la signature nouvelle et inédite de musiciens et chanteurs qui n’ont pas fini de nous surprendre…  

Le Riad...Miam !





S’il est un domaine dans lequel il ne faut pas laisser s’installer la routine, c’est bien…la cuisine ! Assez de repas italiens, de tapas ou encore de sushis, nems ou autres mets chinois et japonais ! Si vos papilles se meurent et dépérissent d’ennui, rien de mieux pour les faire voyager qu’un déjeuner au restaurant Le Riad, à Aix-en-Provence !
Situé rue Lieutaud, entre la place des Tanneurs et la rue des Cordeliers, ce restaurant est un secret bien gardé car l’entrée très étroite aboutit en fait sur une jolie salle intérieure ainsi qu’une élégante cour servant de terrasse, où l’on peut déjeuner sous de grandes tentes, en écoutant le bruit de l’eau dispensé par la fontaine en petits carreaux de mosaïque bleus…Un régal pour les yeux !

Dépaysement garanti également dans votre assiette ! Pourquoi ne pas commencer avec une pastilla de pigeon, cette étonnante brique, saupoudrée de cannelle et de sucre glace, qui recèle en son sein une viande tendre, des oignons marinés et un festival d’épices, pour des saveurs aussi inattendues qu’exceptionnelles ! Ce mélange enchantera les amateurs de sucré-salé, et tous les curieux qui aiment s’aventurer vers de nouveaux goûts et sont friands de nouvelles expériences gustatives ! Vous pourrez déguster ensuite un couscous, des brochettes de viande, ou encore des tajines, avec par exemple le couscous aux merguez, aux boulettes de viandes ou encore le tajine d’agneau au coing, sans oublier le tajine de poulet aux dattes et noix, le tout arrosé de Sidi Brahim ou de thé à la menthe…Voilà de quoi en promettre à votre palais !


Pour terminer, un sorbet pour les plus raisonnables, une pastilla au lait et aux amandes pour les plus gourmands, sans oublier le traditionnel assortiment de pâtisseries, plus enchanteresses les unes que les autres ; dans une assiette, se côtoient makrout, loukoum à la rose ou à la menthe, ou encore cornes de gazelle, le tout suintant le miel et coulant dans la gorge avec volupté, se déversant en vous tel du velours, tel un poison délicieux... A déguster sans plus attendre, et… sans compter les calories !  

Tous les jeux ne sont pas pour les enfants...





Quand le destin vous joue des tours, quand votre vie prend un chemin inattendu et les événements une tournure sinistre, demandez-vous si vous êtes toujours maître du jeu ou si quelqu’un tente d’orchestrer les choses à votre place…
Avec « The Game », un thriller palpitant au suspens mesuré et savamment dosé, Michael Douglas nous livre ici une interprétation inoubliable, en nous tenant en haleine jusqu’aux toutes dernières secondes !

En deux mots, l’histoire est la suivante : Nicholas Van Orton est un homme d’affaires richissime pour lequel toute surprise n’est qu’une perte de temps. Pourtant, lorsque son frère Conrad lui offre de participer à un jeu pour son anniversaire, il se laisse intriguer. Très vite, c’est la partie qui va se jouer de lui et l’attirer dans ses mécanismes diaboliques…

Une intrigue haletante, un dénouement inattendu, des acteurs aux jeux justement dirigés, voici tout ce qui vous attend dans ce polar étourdissant qu’est « The Game » !

A visionner sans plus de  détours !


Mikaaaaaaaaaaaaaaa !






Pour démarrer la rentrée du bon pied, et faire le plein d’enthousiasme et de gaieté, mettez vos platines à l’heure de Mika et de son premier album, Life in cartoon motion. On a effectivement l’impression, à l’écoute de cet album, de vivre dans un dessin animé, rythmé par des morceaux résolument optimistes et des mélodies hautes en couleur, le tout ponctué parfois de quelques ballades.

Quel savoureux mélange que celui de ce disque, mariant à la perfection son pop et mélodies onctueuses ! Bravo à Mika qui saute de graves en aigus  et jongle, avec une agilité déconcertante, entre des sonorités diamétralement opposées les unes aux autres.

Dès le premier album, essai transformé : ce jeune anglo-libanais de vingt-six ans a su imposer son style original et conquérir le cœur de millions de personnes. Sa musique novatrice nous entraîne dans un univers multicolore que l’artiste revendique comme sien. D’ailleurs, tout le monde a forcément entendu un jour ou l’autre, à la radio ou à la télévision, le tube qui a révélé Mika, le premier extrait de son album : « Relax ».

A écouter sans plus attendre, et à faire découvrir autour de soi !


La Petite Robe de Paul...




Paul mène une vie rangée et sans surprise. Marié, il se partage entre sa femme et son travail, dans une routine bien établie jusqu’au jour où, dans la vitrine d’un magasin, son regard est irrémédiablement attiré par une petite robe blanche. Ce vêtement pour enfant, a priori banal, n’aura de cesse de le poursuivre et de hanter ses pensées. Désormais, il passera chaque jour admirer la petite robe dans la vitrine jusqu’au jour où, mû par une pulsion soudaine, il l’achètera puis la ramènera chez lui, où ce vêtement d’enfant va faire remonter à la surface bien des choses enfouies, et déterrer les secrets qu’il avait tâché d’oublier…Tentera-t-il de comprendre cette étrange attraction, chassera-t-il ses vieux démons ? Et son couple y résistera-t-il ?...

Grâce à une écriture à la fois subtile et précise, Philippe Grimbert nous entraîne dans cette traversée du désert qu’un couple devra effectuer pour s’en sortir, épreuve imposée à eux par la venue de la petite robe. Avec brio, simplicité et émotion, l’auteur nous dépeint les personnages mieux que personne. A travers une étonnante étude psychologique des caractères des personnages, Philippe Grimbert aborde le sujet des non dits et des blessures profondes, les répercussions et les effets dévastateurs provoqués par les secrets qui viennent bouleverser l’univers feutré d’un couple en apparence sans histoires…

Un des meilleurs ouvrages écrit par l’auteur d’ « Un secret » !


Le Livre du voyage...





Notre inconscient nous joue bien des tours et si notre mémoire nous semble parfois défaillante, en réalité nous nous souvenons de tout, tout est gravé en nous. Tel est le propos de ce livre, qui va occasionner pour vous une descente au cœur de vos souvenirs et votre subconscient et qui s’inscrit dans la lignée des ouvrages de développement personnel qui  amènent  à des questionnements existentiels sur nous et le sens de notre vie.
C'est un ouvrage dit expérimental car le livre s'adresse au lecteur en le tutoyant et se présente comme un compagnon qui va le guider dans un voyage intérieur.
Le Livre du voyage reprend certains codes du livre-jeu (récit dont vous êtes le héros) : au fur et à mesure de l'aventure, le lecteur est invité à imaginer et visualiser des objets et des lieux à partir de descriptions sommaires du livre. Ce processus de visualisation qui se produit de façon inconsciente lors de la lecture d'un roman est utilisé consciemment par le lecteur pour créer les différents éléments du voyage.

Cependant, bien que Le Livre du voyage se décrive comme étant interactif, cette définition est limitée car le livre ne réagit pas littéralement aux choix du lecteur. Les éléments imaginés sont néanmoins propres à chaque lecteur en fonction de sa créativité, de sa sensibilité et de son vécu…

Perfect Symmetry de Keane.




Vous en avez assez de toujours écouter la même chose ? Vous souhaitez élargir votre culture musicale, entrevoir de nouveaux horizons sonores ? Alors savourez le dernier album de Keane, groupe de pop anglais, qui nous revient en grande forme avec son nouvel opus,  Perfect Symmetry, et plongez-vous avec délice dans cet univers si particulier, si atypique que ce groupe a su créer.

A travers de multiples compositions originales, vous serez pris d’un réel engouement pour le talent de ces trois jeunes anglais, qui nous propose de belles ballades pianotées, des mélodies mélancoliques, mais pas seulement !
En effet, le nouvel album de Keane, Perfect Symmetry, dont le premier extrait est Spiralling, vous décevra…ou pas ! Pour les connaisseurs, on est surpris de constater que la collaboration avec le producteur de Madonna a entraîné le trio britannique vers des tonalités plus pop, moins langoureuses, des morceaux inspirés des années 80 avec des rythmiques et des sonorités presque psychédéliques ! Bref, un album haut en couleur avec tout de même pour les fans quelques jolis morceaux, plus proches du style habituel du groupe, à écouter…Pour moi, loin d’être une déception, cet album se révèle une incroyable bonne surprise ! Les trois jeunes anglais prouvent donc qu’il ne fait pas bon leur coller une étiquette ou les enfermer trop rapidement dans un seul et même genre musical car loin de se répéter, et pour notre plus grand bonheur, ils se renouvèlent d’albums en albums…


Ce nouvel album est à découvrir d’urgence, à écouter et réécouter encore, croyez-moi, on ne s’en lasse pas ! Et si par malheur ce groupe ne vous dit rien, foncez achetez leur deux premiers albums, en ce moment à 9€ chez la Fnac ! Courrez-y ! 

Millenium, Tome 1 : Les Hommes qui n’aimaient pas les femmes, de Stieg Larsson.







Avant de  voir le film, plongez-vous dans l’univers inquiétant de Millenium. Avec le premier volet de cette palpitante trilogie, Stieg Larsson, son auteur, qui ne goûtera jamais son succès car décédé quelques jours après avoir remis son manuscrit à un éditeur, nous entraîne, tout au long de ce roman policier, dans une Suède obscure et secrète. « Les Hommes qui n’aimaient pas les femmes » est un polar socio-économico-politico engagé, qui nous dévoile les dessous énigmatiques d’une Suède méconnue, celle des complots et des conspirations politiques ; mais l’œuvre peut aussi se lire en filigrane comme un très bon essai sur la condition des femmes de nos jours dans le monde…

Au cours d’une réunion familiale, une jeune adolescente disparaît. Trente ans après les faits, son oncle engage Mikaël Blomkvist, journaliste sans travail, afin qu’il résolve l’affaire. Accompagné de Lisbeth, jeune marginale surdouée, Mikaël découvre une histoire de famille plus que macabre…

Une intrigue bien ficelée et un suspens omniprésent sont les ingrédients principaux de Stieg Larsson qui nous offre ici une histoire menée de main de maître, un ouvrage que l’on dévore et que l’on ne lâche pas avant la dernière page ! Le film, qui suit les traces des livres, est en passe de devenir un phénomène mondial, un des succès cinématographiques de l’année.

Les adeptes du genre seront heureux d’apprendre qu’ils retrouveront également Mickaël Blomkvist et Lisbeth Salander dans la suite de leur aventures, les tomes deux et trois de la série Millenium qui ont respectivement pour titre « La Fille qui rêvait d’un bidon d’essence et d’une allumette » et « La Reine dans le palais des courants d’air »…

Le Mind Mapping !





Avis à toutes les personnes très organisées et désireuses de toujours tout planifier afin d’éviter toute perte de temps : le temps des listes est révolu, le linéaire est désormais obsolète ! Voici venu le temps du Mind Mapping, des schémas et des cartes heuristiques, que l’on doit à Tony Buzan, qui n’est autre que le créateur de ce concept, qu’il définit comme un outil pour penser. Les listes s’effacent au profit des dessins, les lignes laissent place aux formes géométriques ; cette nouvelle façon d’organiser ses idées et valable tout le temps, utilisable par tous et applicable à toutes les situations (une réunion à préparer, un voyage à organiser, etc.…).

Plusieurs ouvrages ont vu le jour sur le sujet, tels que « Organisez vos idées avec le Mind Mapping », de De Brabandere Luc et Kilian Cathy, ou encore « Mind Mapping : dessine-moi l’intelligence », de Tony Buzan .

Le Mind Mapping est un processus adapté au fonctionnement du cerveau. Tony Buzan explique que le Mind Mapping se veut une représentation visuelle externe de ce qui se passe dans le cerveau. C’est l’outil idéal d’accompagnement aux processus mentaux. Ainsi, on peut s’en servir pour refléter la pensée, la réflexion, la connaissance, la mémoire et stimuler la créativité. Le processus de Mind Mapping se veut simple et amusant, ludique et enrichissant. Buzan propose de commencer à dessiner au centre d’une page blanche, de relier les branches à l’idée centrale, puis connecter les idées secondaires aux premières branches, puis les idées tertiaires aux secondes branches et ainsi de suite.


Alors, tous à vos crayons ! Le Mind Mapping, l’essayer, c’est l’adopter! 

Edward aux mains d'argent...et au coeur d'or !






Si vous n’avez encore jamais eu l’occasion de voir un film réalisé par Tim Burton, et par là-même si vous n’avez encore jamais exploré son univers mystérieux et ensorcelant, quelle meilleure occasion pour le découvrir que de vous plonger dans le visionnage du film Edward aux mains d’argent  ?...

Œuvre unique et incomparable, Edward aux mains d’argent est une fable qui, sur fond de musique envoûtante, nous transporte à travers un paysage haut en couleur, peuplé de personnages plus énigmatiques et surprenants les uns que les autres. On croise tantôt un inventeur aux allures de savant fou, tantôt une adorable représentante en cosmétiques qui verra sa vie tout entière transformée suite à une rencontre improbable.

Tim Burton sait, mieux que personne, et ce dans ce conte de fées moderne aussi bien que dans tous ses films, faire affleurer nos émotions à fleur de peau : l’on ne peut jamais rester insensible devant tant de beauté et de grâce ! Le réalisateur sait peupler ses réalisations d’images entêtantes, parsemer ses histoires de  personnages inquiétants et de mélodies troublantes, desquelles bien souvent l’on a du mal à s’arracher ensuite, pour revenir de plein pied dans le monde réel.



Que dire enfin de Johnny Depp, qui nous dévoile ici toute l’étendue de son talent inégalé dans l’un de ses plus beaux rôles ? L’acteur a su nous offrir une interprétation bouleversante et inimitable d’une créature androïde, robot inachevé, mi-homme mi-machine, qui croisera sur sa route l’incompréhension de certains, rencontrera l’amour d’autres, attirera les foudres de certains autres ou encore suscitera la convoitise de ses voisins…La star nous offre une performance magistrale et campe un hybride inabouti plus vrai que nature ! La magie opère, on ne sort pas du film indemne…Pari réussi ! Bijoux du 7ème art à découvrir ou redécouvrir !

Bowling for Columbine...






Revenons ensemble sur le tragique événement qui a bouleversé l’Allemagne le 11 Mars dernier. Il s’agissait d’une tuerie dans un collège, perpétrée par un adolescent de 17 ans, qui a laissé derrière lui 16 morts, avant de retourner son arme contre lui, aux termes d’une course poursuite avec la police.
Ce n’est pas la première fois que les médias nous présentent une telle horreur et pourtant, c’est toujours un réel choc lorsque survient un énième incident de ce genre, de découvrir quelle violence habite parfois la jeunesse d’aujourd’hui.
On est alors en droit de se demander ce qui provoque ces accès de folie et conduits ces adolescents plus ou moins perturbés à commettre ces massacres barbares, détruire autant de vie et provoquer autant de malheur sur leur chemin, et toujours selon le même schéma : exécuter avant de se suicider…

Celui qui s’est penché sur cette question n’est autre que Michael Moore, au travers de la réalisation de Bowling for Columbine . Il y a 7 ans, ce documentaire coup de poing faisait suite à la fusillade du lycée Columbine, qui avait eu lieu en 1999.Dans ce film, le très critiqué et néanmoins célèbre journaliste dénonce la facilité avec laquelle on peut se procurer des armes à feu aux États-Unis et accuse les politiques de ne rien faire afin d’endiguer ce phénomène.

Œuvre controversée mais néanmoins récompensée, le film, qui a obtenu le Prix du 55e anniversaire du Festival de Cannes de 2002, l’Oscar du meilleur film documentaire et le César du meilleur film étranger, est une critique de la société américaine, et tente de répondre à cette question : « Pourquoi le nombre d’homicides par arme à feu est-il proportionnellement plus élevée aux États-Unis que dans les autres pays ? »…
Enfin, le massacre de Columbine inspira également le film Elephant, de Gus Van Sant.


A voir absolument, prise de conscience garantie ! 

mardi 22 octobre 2013

Sexy…soirée !



Hier soir, je feuillette mon programme télé, et je vois qu’il y a une soirée Michaël Youn sur W9 je crois, avec, en première partie de soirée, « Fatal ». Je l’avais vu au ciné, c’était affligeant mais drôle par moment, et j’adorais son tube « Ce matin va être une pure soirée », j’avoue, ça donne envie de bouger ! Mais bon, déjà vu au ciné, et point trop n’en faut, ce n’est pas le genre de film qui mérite un second visionnage, du coup, hop, je me branche sur France Ô qui proposait une soirée « Sexy dance «  et « Sexy dance 2 ».

Bon, il y a deux catégories de films sur la danse : les biens, style « Center stage » ("Danse ta vie", en français), "Dirty Dancing (culte !), "Ballroom Dancing" (merci Meph, je l'avais oublié), « Shall we dance », « Dance with me », et les autres. Les Sexy dance rentrent selon moi dans cette seconde catégorie.
Le premier est vraiment sans intérêt, et même les passages de danse ne justifient pas que l’on reste devant, je ne l’ai donc regardé que d’un œil.
Le second, j’ai rapidement réalisé que je l’avais déjà vu, mais qu’il ‘était plus sympa que le un, je lui ai donc prêté un peu plus d’attention.


Je crois qu’un qui n’est pas mal du tout par contre c’est « Street dance 2 », où se mélangent danseurs classiques et danseurs des rues.

Ce que je pense…de ce que pensent les hommes…

C’est un film sympa, qui fait passer un bon moment. Il n’est pas aussi téléphoné qu’on pourrait le croire, et le casting est assez sympa. Des beaux gosses pour nous mesdames (surtout Ben Affleck, je suis totalement insensible au charme de Bradley Cooper personnellement), et des belles plantes pour vous messieurs (Jennifer Anniston, Scarlett Johansson).
Ça se laisse regarder, c’est très drôle à certains moments (quand on est une nana), et c’est vrai que ça tend à tordre le coup à certaines idées reçues, ou certains clichés avec lesquelles on vit, nous les nanas. Exemple : c’est forcément au mec de rappeler après le premier rdv, s’il m’ignore ou qu’il est méchant avec moi, c’est que je lui plais, LOL !


Fin sympathique, et qui m’a émue, comme à chaque fois qu’une musique de Keane (mon groupe préféré) surgit alors que je ne m’y attends pas. J’ai regardé le film d’un œil mais rien que pour ça, j’étais heureuse d’avoir été jusqu’au bout, car, en effet, un film qui se clôt sur le titre « Somewhere only we know », de Keane (sans doute mon morceau préféré d’eux) ne peut pas être foncièrement inutile…^^

lundi 21 octobre 2013

Mortal...coup de coeur !

Ce week-end, je suis allée au cinéma une troisième fois. Un peu par envie, et beaucoup pour faire plaisir à une amie qui voulait « ne pas rentrer chez elle tout de suite après le travail ».
On compare les titres de films, on tergiverse, on regarde les horaires je suis tentée par « neuf mois ferme », elle non. Elle me propose « Blood ties », je décline, vraiment pas enthousiaste…
J’opte pour un compromis, je lui propose « The Mortal Instrument : chapitre 1, La Cité des Ténèbres ». je sais déjà qu’elle va accepter, et que moi je vais mortellement m’ennuyer, mais qu’importe, l’amitié est faite de compromis, et puis ça nous permettra de papoter avant et après le film ^^

Je vais donc voir ce film persuadée que ce « Mortal Instrument » sera d’un « Mortal ennui » à mes yeux.

EH BIEN QUE NENNI ! Bien au contraire ! 

Je me suis laissée prendre par l’intrigue, je ne me suis pas ennuyée une seconde ! Il y a de l’action, de l’humour, des effets spéciaux sympas, des personnages attachants, de l’amour (bah oui un peu quand même quoi), un beau jeune homme, une belle nana (pour les mecs), bref, tout le monde y trouve son compte !

Ce film à cheval sur deux mondes fait partie en principe de cette catégorie de films que je détesté et qui m’ennuie au plus haut point, d’où ma surprise dans le fait d’avoir adoré, et adhéré !

Le seul tout petit bémol, c’est qu’il y a une scène qui rappelle étrangement « Twilight »…Mais ce n’est peut-être qu’une vue de l’esprit…Et c’est d’autant plus amusant (ou surprenant) que l’un des personnages principal a été vu dans « Twilight », dans l’un des derniers opus, c’est l’un des Volturi si je ne m’abuse (je n’ai pas encore vérifié mes sources, mais en général, je suis très bonne physionomiste).
Bon entre temps, j’ai vérifié mes sources, et c’est bien un des Volturi, c’est Caïus précisément…Bref, revenons à nos moutons.

J’ai adoré ce film, qui m’a détendue, m’a transportée dans un autre monde, m’a fait rêver, douter, frissonner, avoir très chaud même lol ! Les nanas qui auront vu le film comprendront !
Bref, je l’ai déjà dit mais j’adore, j’adhère, j’incite et encourage à aller le voir !


Et bien entendu, ce film sentait quand même très fort l’adaptation ciné d’un roman (hi hi^^) et ça n’a pas loupé, « The Mortal Instrument » est LA quadrilogie à la mode sur les rayons jeunesse en ce moment, j’ai même failli acheter le tome 2…

La suite au ciné en 2014, j’ai plus que hâte ! 

La vie d'Adèle...et de Léa !

Je suis allée, samedi aprèm, voir « La Vie d’Adèle, chapitres 1&2 » avec un ami. Je ne sais plus si le film a eu la palme à Cannes, ou s’il était en compétition et dans la sélection officielle, bref, le film avait fait parler de lui, et ça continue dans la presse ; il fallait donc bien sûr que je le voie !

Le film est long, on le sait dès le départ, les 2h59 sont affichées dès le programme. Soit.
De ce côté-là, rien à dire, personnellement, je ne les ai pas vues passer.

Côté casting, Léa Seydoux est incroyable ! J’ai eu beaucoup plus de mal avec le rôle principal, Adèle Exarchopoulos, dont le physique déjà m’a dérangé. Outre ceci, c’est sa première apparition à l’écran je crois, et je crains que la demoiselle ne soit cataloguée. En effet, elle est à poil du début à la fin, et pas seulement dans des plans dits « artistiques ». Et oui, c’est que la donzelle couche beaucoup, filles ou garçon, elle n’est pas toujours regardante !
Elle a une bouche qui est quasi toujours ouverte, et lui donne un air con ; elle ne fait que pleurer, et passe ainsi la grosse majorité du film avec la morve au nez. Cinéma réaliste, je veux bien, mais il y a des limites !
On a envie tout le long de lui offrir des mouchoirs, un peigne et un tour chez le coiffeur.


Pour revenir sur la questions des limites, deux scènes crues m’ont mise très mal à l’aise, car très longues et très explicites. On est carrément dans le domaine du porno. Même mon ami, qui m’a confirmé que normalement deux nanas ensemble, ça excite les hommes, m’a avoué avoir été lui aussi assez mal à l’aise. Les actrices le font vraiment, d’où ma question sur l’engagement dans ce métier, et jusqu’où aller pour un rôle. Je suppose qu’étant totalement extérieure à ce monde et à ce milieu, qui sont sans doute très particuliers, je ne suis pas à même de comprendre le pourquoi des choses, et les raisons qui motivent acteurs et actrices dans leurs choix. Mais le film du coup tourne un peu voyeur et exhibitionniste…L’histoire est pas mal, et la fin laisse supposer qu’il y aura une suite, d’autres chapitres de la vie d’Adèle.

Personnellement, je suis sortie de là sans savoir si le film m’avait plu ou pas, mais avec une énorme envie de spaghettis bolognaise (comprendront ceux qui auront vu le film)… 

Au bonheur des ogres…Pas du mien !

Il y a quelques années, j’ai lu la série de livres de Daniel Pennac qui s’ouvre sur un premier tome intitulé « Au bonheur des ogres », et relate ensuite, sur six tomes, les aventures désopilantes de Benjamin Malaussène et de sa famille hors norme (et l’expression est faible ! ) ! LOL !
C’est donc avec bonheur que je découvre, il y a  quelques mois,  l’arrivée sur les écrans de l’adaptation des livres, du moins du tome un, de ces livres !

Je suis allée le voir hier soir. Honnêtement, c’est sympathique, mais sans plus ! Ça n’a pas le panache ou l’éclat que l’auteur a su donner à ces romans, ces personnages ont moins de relief, le choix du chien n’est pas judicieux…Les personnages secondaires que l’on voit dès cet opus, et qui reviendront dans les autres, sont à peine présentés, il y a des manques évidents (ainsi, à la fin du un, comme c’est la coutume dans cette famille, on devrait voir Jérémy baptiser le nouveau-né).

Les acteurs jouent bien, mais cela reste quand même une déception en terme d’adaptation.

Chuuuuuuuuuuut !

Ce week-end, j'ai lu, quasi d'un trait, "Le Bruit des silences, de Valérie Gans.

C'est un auteur que je connaissais, pour avoir lu sous son autre nm d'auteur, Valérie Mc Garry, "Le Sac", et "La Vie crumble", dont aucun des deux ne m'avait fait forte impression ou laissé un souvenir impérissable...
 ! 
Là, je me suis régalée , je l'ai lu quasi d'un trait, et j'ai eu du mal à le lâcher pour aller faire autre chose !
On ne peut pas nier que cela ressemble beaucoup à la trilogie de Pancol qui s'ouvre avec "Les Yeux jaunes des crocodiles", mais qu'importe ! Dans ce même créneau, l'ouvrage se fait une petite place bien à lui ! 
On y est bien, on s'y sent accueilli, on a l'impression de retrouver un vieil ami avec lequel on a toujours plaisir à partager des choses et à passer du temps ! 
Le livre décrit des personnage ordinaires, dans l'ambiance simple du quotidien.Et ce quotidien ordinaire, va connaître des épisodes extraordinaires, et c'est ce que ce livre nous raconte.
On s'attache immédiatement aux personnages, et aux lieux, qui ont une réelle importante tout au long du livre. On est transportée à l'intérieur du livre et de l'intrigue, si bien que quand la famille déguste un poulet au verjus (miam, ça a l'air succulent ! ), on sent le goût poulet sous la langue ; ou encore quand Lorraine, notre héroïne, fleuriste de son état, termine sa journée par un petit coup de chasse-spleen (jolie invention de l'auteur pour désigner un verre de vin), on a tout l'arôme et le bouquet du vin sur notre palais ! 

Bref, ce livre est un pur moment de bonheur, une échappée belle, un régal pour tous les sens ! 

Coup de coeur pub rétro !

J'adorais cette pub, et ce produit, qui a bien sûr disparu de la circulation, comme à chaque fois que j'ai un coup de coeur pour un produit ^^




Coups de coeur !

Mes trois chansons coup de cœur en ce moment ! 






Lykke Li, Benabar et Zazie ! 





Film en touriste...

Hier soir, j’ai enfin regardé « The Tourist », DVD prêté par un ami et qui squattait les abords de mon lecteur DVD depuis un moment.
Je me suis régalée, même si, avouons-le, c’est clairement téléphoné…

Le tandem Depp-Jolie fonctionne bien, elle , plus sublime que d’habitude, semble le même pas jouer, mais juste se contente d’ « être » devant la caméra.
Lui sait tout jouer, ce n’est plus une surprise pour personne ; là ; il aurait tout de même mérité un bon coup de peigne ou au moins un bon démêlé de se cheveux, qui dans ce film forme une masse indomptée et rebelle !

Quelques répliques sont un peu niaisas vu le contexte, et on s’en étonne, car sinon, le film tient bien la route, aussi bien au niveau du scénario que du jeu des acteurs.  Il y a de l’humour, et du suspens, le tout savamment dosé, et l’intrigue est bien orchestrée et rondement menée, même si, je persiste et signe, la fin est prévisible.


Je n’ai pas vu le vieux film français dont il a été tiré, mais j’ai vraiment bien aimé ce film ! 

vendredi 18 octobre 2013

Bons moments

Dans la vie, il y a plein de choses qui me donnent la pêche : les surprises, recevoir une carte postale, un courrier inattendu, une bonne nouvelle ; se doucher avec un gel douche qui sent trop bon, porter ses fringues préférées, un nouveau parfum ; danser comme une folle dans mon appart sur le cd « Americana », de Offspring ; le morceau « Club can’t handle me » de Florida ; une soirée au Sunset ; les cours de Zumba….


Et la vie est aussi pleine de petits bonheurs simples je trouve : un bon livre, un chocolat chaud devant un DVD un jour de pluie, une balade dans Aix iPod aux oreilles, un pic nic mezzanine chez Nino, un tour chez Sephora pour sentir les nouveautés, voler du temps au temps, une chanson qu’on aime à la radio, rouler en écoutant de la musique, le bruit de la pluie sur les carreaux tandis qu’on est bien au chaud…


Mes produits chouchous que j'aime fort !





J’adoooooooooooooooore les cosmétiques ! Et au sein des cosmétiques, ce que je préfère ce sont les gels douche et les labellos (ou baumes à lèvres) !
Il y en a qui sentent tellement bons, et ont si bon goût (là je parle seulement pour les labellos, je ne m’étale pas du gel douche sur les lèvres), qu’on en mangerait !

Il y a mes chouchous, je les adore, et ceux que je crois être mes chouchous, dont j’ai une haute estime et qui finalement, quand je les reprends, me déçoivent…Changement de formule, d’odeur, de composants ? Souvenir idéalisé ?

C’est ce qui s’est passé récemment pour un de mes labellos préférés, euh deux en fait, et pour un masque pour les cheveux que j’adulais. Du coup, je suis en perpétuelle recherche du produit idéal dans un peu toutes les branches, et je ne me suis pas encore vraiment fixée…Donc je n’ai pas encore constitué ma trousse de toilette idéale, remplie de mes produits chouchous et emblématiques….

Pour voir un peu pour ceux et celles que ça intéresse) les cosmétiques, que j’ai notés sur Beauté Test, rdv sur : http://www.beaute-test.com/index.php?member=commentaire




Et sinon, en vrac, un p’ti tour d’horizon de quelques-uns de mes produits préférés….Avec des marques qui ressortent, comme Bourjois, Mixa, Uriage, Avène, Laroche-Posay, Caudalie, Elsève, Frieda, Labello, Sephora…

Salle de bain en dérangement...Et moi aussi du coup !

Dimanche, ma douche s’écoulait mal, du coup avec ma mère, on a fait un grand nettoyage ! Après avoir enlevé les cheveux (presque un kilo, lol, meuh non, j’exagère), et mis du destop, la douche s’écoulait beaucoup mieux.
Lundi soir, c’est le soir de la zuuuuuuuuuuuuumba, et la douche qui suit est une des meilleures (et des plus justifiées de la semaine lol). Bref, je me détends sous la douche, je me lave les cheveux, masque du visage, etc., et à partir de là, c’est le drame ! L’eau ne s’écoulait plus du tout hors du bac de douche, et celui-ci n’était pas loin d’être rempli à ras bord ! 5 mn de plus à me détendre sous la douche et j’inondais l’appart…
J’étais pas rassurée, mais j’étais aussi crevée, et comme c’était une veille de formation, je décidai d’aller me coucher…

Et en fait, ça me tracassait trop, impossible de m’endormir ! Je me suis lavée et j’ai entamé un vidage du bac de douche avec un verre, que je transvasais dans le lavabo…Oui je sais, j’ai des initiatives de folies quand je dors pas la nuit. Puis ça ne servait pas à grand-chose, alors je me suis recouchée , et j’ai prié (si si, je sais, j’ai une foi intéressée et sans doute trop pragmatique)…LOL ! Bref !

Au matin l’eau stagnait toujours joyeusement dans la douche, et mon angoisse augmentait…Je suis partie en formation, et sur le trajet, j’en ai parlé à Céline (la fille avec qui j’ai fait les trajets pour la formation, et accessoirement aussi la formation). J’ai aussi appelé ma mère, mon père, son plombier, textoté les potes réveillés, mais sans solution immédiate. Mon père me disait de mettre du destop, ce qui était impossible puisqu’il ne serait pas passé à travers l’eau stagnante ; un autre ami m’a conseillé l’acide chlorhydrique, même problème que le destop…J’écris aussi à mon proprio (j’ai un super proprio), qui malheureusement était très booké professionnellement cette semaine-là, et m’a dit qu’il essaierait de passer le soir même, mais sans rien me promettre…

À la pause du matin en formation, j’appelle la plombier de ma mère, répondeur…Je lui laisse un message, lui narrant mon urgence d’une voix désespérée ! Oui oui, situation désespérée en effet, car en gros je ne pouvais plus utiliser ma douche sous peine de me noyer (lol) ou d’inonder l’appart (ça, c’est déjà plus probable que la noyade, en plus j’ai pied dans mon bac de douche)…

Bref, pas de solution en vue, jusqu’à ce que la formatrice me conseille un ami à elle, qu’elle appelle sur le champ de ma part, et qui me propose un rdv dès le jeudi (on était mardi). Donc je me dis que pendant deux jours je vais devoir me débrouiller d’aller me doucher ailleurs, mais que deux jours c’est pas si mal, et que je n’ai pas à me plaindre.

Je rentre le soir après une bonne journée de formation (j’étais préoccupée par cette histoire de douche, mais j’ai quand même suivi bien attentivement ma formation Excel), et là, pas de miracle, toujours l’eau stagnante qui me nargue…

Ma sœur vient boire un thé, on papote et ça ma change les idées, et 5 mn après qu’elle soit partie, mon tél sonne : mon gentil proprio ! Il me demande si je suis chez moi, et s’il peut passer avec son ami Michel, que j’ai déjà rencontré, et qui sait TOUT faire ! Il m’avait déjà solutionné mon problème de chaudière qui gouttait et dont les schploc schploc atroces m’empêchaient de dormir ! Bref, ils arrivent, je les accueille comme le messie, et en deux deux, à coup d’un outil magique ressemblant à une ventouse perfectionnée, le bac de douche c’est vidé. Rien lors des deux premiers essais, puis l’équivalent en pire de quand mon ventre gargouille quand j’ai très très faim et hop, quatre secondes après, plus une goutte d’eau dans le bac de douche ! On fait des tests, et hop, l’eau s’écoule bien gentiment vers la sortie !

Aaaaaaaaaah, vous n’imaginez même pas quel fut mon soulagement ! J’allais pouvoir me doucher chez moi, dès le soir même, et sans crainte de transformer mon appart en Aqua City au rabais !

Je suis tellement reconnaissante à Michel et à sa ventouse magique que j'envisage d'ériger un petit autel à sa gloire sur le dessus de ma commode ! 

Vive les proprios gentils et réactifs, et vive le détente sous la douche !


Test à l'aveugle...

Yes ! J’ai reçu un mail hier d’un site que j’adore et dont j’ai parlé dans un billet précédent, Beauté Test !
Je suis retenue encore une fois pour être testeuse ! J'ai déjà grâce à eux testé deux crèmes pour le visage, un mascara, un gel douche, un shampoing et un masque pour les cheveux ! 

Cette fois-ci je vais devoir tester à l’aveugle des shampoings secs, c’est-à-dire que je vais les tester mais le nom de leur marque ne me sera révélée qu’ultérieurement…
Un test de cosmétiques à l’aveugle, voilà qui promet d’être une expérience curieuse…
Je vous tiendrai informés par le menu bien entendu !


Euh, à l’aveugle, pas trop quand même, il s’agirait pas de me pschitter le shampoing sec dans l’œil plutôt que dans les cheveux lol ! 

Excel...lent !




Lundi et mardi, je suis allée à Marseille en formation Excel. J’avais demandé le niveau initiation. Ma chef voulait que je demande le niveau perfectionnement, mais à la tête que j’ai faite quand elle l’a proposé (ça partait d’un bon sentiment, me tirer vers le haut, etc.), elle a compris que cela n’allait pas être possible lol ! Eh oui, on lit toutes mes émotions sur mon visage lol ! Ce n’est pas un atout, bref, c’est là un autre débat…
Ce n’est pas que je n’aime pas les défis, mais comment aller en niveau perfectionnement, ou même intermédiaire, quand je suis nulle pour créer des tableaux avec des formules, et qu’en plus, pire que ça, et au-delà de ça, je suis par contre très douée pour foutre en l’air les réglages sur des tableaux qu’on me donne tout prêts ! Si si, c’est possible, et faisable (la preuve par…moi ; )) !

J’ai donc passé deux jours sur une formation percutante et instructive, avec une super formatrice, patiente, dévouée et disponible. En plus, on était que deux, moi et une nana très sympa avec qui j’ai bien sympathisé, et avec qui j’ai fait les trajets du coup.


Donc deux supers journées, où je me suis formée pour le boulot, où humainement j’ai fait deux rencontres super, et où j’ai eu l’impression de faire de la magie, car c’est un peu à ça que ressemble Excel pour moi, un outil prodigieusement magique qui, si on sait lui parler gentiment, peut bien nous simplifier la vie….

mercredi 16 octobre 2013

Je tue les enfants français dans les jardins...

J'ai déjà dit que je ne parlerai que peu de livres sur ce blog, étant donné que j'alimente déjà une bibliothèque en ligne sur Myboox.fr (http://www.myboox.fr/user/bibliotheque).

Mais là, je vais parler d'un livre qui m'a vraiment marquée : "Je tue les enfants français dans les jardins", de Marie Neuser.

J'ai lu ce livre en partie dans le train, le week-end où je suis montée à Paris pour une réunion de famille. Cela s'annonce bien dès les premières pages, intriguant, et percutant à la fois.
Je dirai qu'on est dans un polar-réalité sur la difficulté du métier d'enseignant aujourd'hui. Ce métier, bien qu'il reste une vocation pour beaucoup, est de plus en plus difficile à exercer, et amène à des changements de carrière, des réorientations professionnelles ou des burn-out et des arrêts maladies, quand les gens n'en peuvent plus. Ce qui est en jeu dans ces cas là, ce n'est pas tellement une fatigue physique, dûe à une surcharge d'horaires ou de travail, mais plutôt à un ras le bol, à une fatigue morale, un je laisse tomber, je jette l'éponge, etc.

Dans ce livre, une toute jeune femme fraîchement diplômée raconte sa première expérience d’enseignante dans une zone difficile, et avec des élèves plus que difficiles. C'est un livre choc, à découvrir absolument, un livre coup de poing, avec une fin justifiée mais inattendue, un véritable électrochoc, qui va soulever sans doute des tollés d'indignation de la part de certains laxistes, mais je pense qu'amenés aux mêmes extrémités, beaucoup auraient pu, ou voulu, ou en auraient fait autant. C'est une fin qui choque et soulage à la fois, une fin qui fait du bien et que l'on assimile et comprend.

"Je tue les enfants français dans les jardins" est le combat d'une femme au quotidien pour tenter de conserver sa raison, l'amour du métier qu'elle a choisi d'exercer, et sa santé physique et mentale. A dévorer d'urgence !


Musiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiique !

La musique a toujours fait partie intégrale de ma vie, elle y occupe une place plus que prépondérante. Elle y joue un rôle majeur : elle me console, me donne la pêche, me divertit, me fait sourire, me rappelle des souvenirs, me donne envie de danser, de chanter !

Elle me tient compagnie, rythme mes douches et mes humeurs, elle me fait vivre, j'écoute de la musique quand je marche, et comme je respire. C'est une envie, un besoin, une nécessité !





Quelques un de mes groupes, chanteurs et chanteuses préférés, ou types de musiques préférées, et encore, j'en oublie tellement (et je m’excuse auprès d'eux pour cela ^^)

Mes séries préférées !

Et j'en oublie sans doute...

90210...


J'adore suivre les séries ! Il y en a beaucoup dont je suis fan, et ce sera l'objet d'un prochain post !
Ce week-end, j'ai fini la saison 4 de 90210, série que ma 'tite soeur Clo m'avait fait découvrir. Je m'étais mise devant les premiers épisodes de la saison 1 sans grand enthousiasme, et pas vraiment convaincue, et la magie n'avait pas opéré...jusqu'au milieu de la saison un, qui m'a rendu accro !

Les scénaristes sont très forts ! Oui c'est clichés, oui c'est prévisible, oui ça peut être taxé parfois de sentimentaliste et gnan gan, mais peut importe, j'ai fini la saison 4, je me suis régalée à continuer à suivre l'évolution des personnages, et je veux la suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite !

La ville (de Ben Affleck) !

Je commençais à croire que les rares fois où je mettrai ma TV pour y voir un des films proposés le soir serait un gage de mauvaise soirée (cf mes dernières expérience- ou plutôt déceptions cinématographiques dans ce domaine).

heureusement, dimanche soir, miracle, un bon film ! Après avoir hésité entre "Les Frères Grimm" de Terry Gilliam et "The Town", de Ben Affleck, et après avoir demandé conseil à un ami cinéphile aux goûts assez surs, je me décide pour TF1 et "The Town".

Film réalisé et interprété par Ben Affleck, "The Town" raconte le quotidien de Charleston, une ville au taux record concernant le braquages de banques. L'histoire ? Ben Affleck est à la tête d'un gang qui réalise régulièrement de ces braquages ; lors de l'un d'eux, il prend en otage la directrice de la banque, qu'il relâche finalement. Un de ses associés ayant peur qu'elle les reconnaisse, Ben Affleck va se rapprocher d'elle afin de la surveiller. Afin, ça c'est ce qui était prévu à la base...Je vous laisse découvrir le reste dans le film. ; )

J'ai décidé en m'installant ce soir la devant TF1 de faire confiance aux deux Ben Affleck, l'acteur et le réalisateur. L'acteur m'a rarement déçue, et le réalisateur m'avait bluffé cet été lorsque j’étais allée voir "Argo", que je vous conseille sans plus attendre !


L'Ennui aux trousses !


Jean Dujardin n'a pas toujours mérité l'Oscar qu'on lui a attribué pour "The Artist". Il a fait de très belles prestations (selon moi) dans "Contre Enquête", "Bienvenue chez les Rozes", ou encore "Un balcon sur la mer".Il a aussi tourné dans des daubes (et le mot est faible) avant (il faut bien percer). Je n'ai pas encore vu "Brice de Nice", mais là, "L'Amour aux trousses", c'est un navet, et je pèse mes mots.
J'ai beau être fan de Pascal Elbé, lui aussi m'a habituée à mieux !

Le film ne présente aucun intérêt, ni pour le scénario, ni pour les dialogues, ni pour le jeu des acteurs, bref, passez votre chemin sans détour, sans hésitations et sans états d'âme !

jeudi 10 octobre 2013

Quelques unes de mes œuvres d'art préférées !

Monet, Renoir, Degas, Turner, Monticelli, Lichtenstein, Manet, Morisot, Hopper, Vettriano, Van Gogh, Rodin, Chagall, Modigliani, et j'en oublie tellement !



Week-end à Rome (euh presque - à Paris en fait)

J’ai toujours été attirée par l’art. J’avoue que la forme d’expression artistique qui me touche le plus est la peinture. Même les sculptures les plus somptueuses ne provoqueront jamais chez moi l’émerveillement que peut susciter en moi un tableau.

Je ne suis pas fan du cubisme, du figuratif, ou de l’abstrait. Mes préférences vont aux impressionnistes et au courant réaliste. Avec un p’tit arrêt à la case pop art !


Ce week-end, à Paris, je suis allée à Beaubourg où j’ai pu admirer la rétrospective Roy Lichtenstein. Je me suis régalée ! 

Ci dessous,mon tableau de lui préféré : "We Rose up slowly". Je l'ai acheté en carte et en aimant, à défaut d'avoir les moyens de m'offrir l’original ^^


Ces sculptures sont très belles aussi ! Voici celle que j'ai prise en carte souvenir.