vendredi 31 janvier 2014

Les Sites de rencontre...




L’an dernier, fatiguée de mon célibat, j’ai décidé de laisser tomber tous mes préjugés et de m ’inscrire sur des sites de rencontre.
J’étais contre, totalement contre, je trouvais que cela enlevait du romantisme et de l’inattendu qui contribuent à la rencontre, je me disais aussi que ce n’était pas avec ces sites là qu’on peut faire une rencontre qui compte (même si, autour de moi, j’ai plusieurs exemples de couples qui se sont rencontrés sur ces sites, et qui sont aujourd’hui mariés et parents et très heureux ! Et clairement, en dehors de ces sites, vu leurs vies respectives, ils n’avaient aucune chance de se croiser…).

Alors, si en plus j’étais contre, pourquoi l’avoir fait me demanderez-vous ? Pour deux raisons, très simples. La première, c’est que dans la « vraie vie », des rencontres je n’en faisais pas, d’où l’idée de me tourner  vers le net. Après tout, ça avait marché pour d’autres, pourquoi pas pour moi ? La seconde raison, c’est que je me suis dit que, de toute façon, je n’avais rien à perdre : dans le meilleur des cas, je ferai une rencontre amoureuse décisive, dans le pire des cas, soit je ferai une rencontre qui pourrait déboucher sur une belle amitié, soit j’aurai perdu mon temps en chat’, ou alors j’aurai gâché une heure de ma vie autour d’un verre avec quelqu’un qui, au final, ne me correspondrait pas du tout ! Bref, les risques étaient en tout les cas réduits…La seule chose que je n’avais pas prévue (même si, dans mon cas, cela ne s’est pas vraiment produit), c’est une peine de cœur, qui aurait résulté d’une rencontre qui aurait pris plus de place que ce que j’étais prête à lui accorder…

Je n’ai pas fait les choses à moitié, et il y a eu une époque où j’étais inscrite sur quatre de ces sites à la fois : E-Darling, Meetic, CélibSud et AdopteUnMec (pour ne pas les citer) ! Et encore, j’ai failli être sur Badoo aussi (je ne suis pas sûre de l’orthographe), mais l’inscription ne m'a pas paru assez intuitive et je ne suis pas du genre patient !

Alors je dirai que sur CélibSud, il n’y personne (site peut être trop jeune ou pas assez connu) et que sur E-Darling, il n’y a pas forcément grand monde.
Quant à Meetic, c’est le tout venant en vieux, en trop vieux, et AdopteUnMec, c’est le tout venant en jeune, mais alors, beaucoup, beaucoup trop jeune !

Pour commencer par des généralités, mais qui sont quand même mon opinion, je dirai que, sur ces sites, on y trouve ce qu’on n'y aurait jamais cherché ( et qu’on ne souhaite surtout pas trouver !) et on y cherche ce qu’on est sûre de ne pas y trouver…

Personnellement, j’ai eu la cote sur Adopte avec des très jeunes, ou sur Meetic avec des très vieux…J’ai rencontré aussi beaucoup de succès auprès des Maghrébins, et des Blacks (oh, ça va hein, vous allez peut-être me dire qu’à vous, le terme afro-américain vient plus naturellement ?). C’est normal quelque part : en effet, pour eux, avec ma peau claire, mes yeux bleus et mes cheveux presque blonds, je dois représenter le summum de l’exotisme à l’européenne !

Une fois déterminé ce que je voulais, ce que je ne voulais surtout pas, ce que je voulais bien, ce que j’accepterai peut-être et les « no way », j’ai commencé à chatter.
Il en est résulté : des chat’ vite abandonnés, des numéros échangés, des rencontres, et quelques aventures.

Commençons par les chat’s. Il est facile (et rapide) de se faire une idée de qui l’on a en face, même si, encore une fois, on est pas à l’abri de mauvaises surprises…Mais je pense que c’est un premier filtre indispensable.

Si les numéros sont échangés, ce n’est pas tout de suite, et c’est après un dialogue que j’estimerai de qualité. On part, suite à cela, du prérequis que l’on peut faire confiance à la personne en face, et on décide de lui donner son numéro. Et parfois on le regrette…

Les rencontres ensuite. Je n’en ai pas fait forcément beaucoup. J’ai rencontré deux garçons de Meetic : un pour un ciné, et un autre pour un verre et un resto (trois fois, car il était très sympa et me donnait l’impression d’être en présence d’un vieil ami, perdu de vue et retrouvé).. J’en ai aussi rencontré un de E-Darling pour un verre. Dans les trois cas, le coup de cœur, ou coup de foudre, n’était pas au rendez-vous, et on ne s’est jamais revus, et très peu reparlé…

Et les rendez-vous Adopte…Alors là, il y a plus à dire ! Il y a eu un verre avec le premier garçon de ce site, pour qui j’ai eu un petit coup de cœur, et qui m’a causé une grande déception ; forcément, je l’avais cru différent des autres. C’est ma faute aussi, vous me direz ; ) Il y a ensuite un  verre avec un second, avec qui ce n’est pas du tout passé ! Puis un billard avec un autre, et suite à cela, on s’est revus une fois. Autre grosse déception, même si je savais que nous n’irions pas bien loin ensemble. Encore deux autres avec lesquels j’ai pris un verre, les deux heures les plus longues de ma vie ! Sur les deux, il y a en un qui s’est ennuyé autant que moi, et d’un commun accord (tacite), on ne s’est jamais recontactés ; et le second par contre, n’a pas semblé déceler mon ennui mortel face à lui, et m’a poursuivi un bon moment afin de décrocher un second rendez-vous (que je ne lui ai jamais accordé. La vie est trop courte pour perdre son temps plus d’une fois ; ) ! Et encore un verre, et un resto, avec un autre très sympa, avec qui on a entamé une petite relation amicale, sympathique, mais éteinte à l’heure où j’écris ce billet. Il y a eu enfin un verre avec un autre, sympa aussi, mais dans une situation trop compliquée à gérer pour moi, et pour finir, un verre avec un dernier. Là, on s’est revus trois fois, il était mignon et gentil, mais un peu jeune, et puis nous n’avions pas les mêmes attentes. Il a fini par rencontrer quelqu’un lui correspondant plus, et la séparation s’est faite naturellement, sans qu’aucun des deux n’en souffre (le cas idéal, me direz-vous ; ) .

Voilà, je ne vais pas rentrer dans plus de détails concernant ma vie personnelle (et dissolue ; ) ) de cette époque.



Je ne sais pas si je regrette, car ce sont des gens que je n’aurai jamais croisé sans ces sites (pour certains, tant mieux ! J’aurai préféré) ! Mais pour les quelques uns sympas, étant donné nos parcours et nos quotidiens, nous ne nous serions jamais croisés sans cela. Et j’ai quand même vécu quelques jolies rencontres humaines même si aucune n’a débouché sur une amitié. Il y en a eu une ou deux pour lesquelles j’aurai bien aimé que cela soit le cas, mais en face, l’autre personne avait des attentes différentes envers moi, donc cela n’aurait pas été honnête…



Hot Fuzz !


Hier soir, j'ai interrompu le visionnage de "La Cabane dans les bois" pour m'intéresser à un film diffusé ce soir là à la TV : "Hot Fuzz".

Chéri m'avait fortement déconseillé de le regarder, me prédisant que j’allais détester ! 

Chéri commence à bien connaître mes goûts et mes attente en matière de cinéma, et la plupart du temps, il a raison lorsqu'il pense que je vais détester un film ! Mais voici l'exception (le film) qui confirme la règle : j'ai adoré ! 

Encore une fois, je ne m'attendais à rien, ou plutôt si, je m'attendais à un navet supplémentaire que j'allais détester, et le fait que l'acteur principal du film soit le même que dans "Shaun of the dead", que j'avais détesté (cf un billet plus ancien) m'avait conforté dans cette idée...

Et en fait, très rapidement, je me suis laissée prendre par le film. C'est drôle, il y a de l'humour de situation, un comique de répétition, de bonnes répliques, un bel humour anglais, et de bons acteurs!  Et même l'absurde m'a fait sourire ! 

Pour moi, ce film est un peu l'équivalent anglais de "La Cité de la peur", que j'adooooooooooooore ! 

Bref, j'ai ri, j'ai souri tout le long, et j'ai passé un très bon moment à ma grande surprise ! Comme quoi, parfois, les idées qu'on se fait d'un film, ou de l'opinion qu'on aura d'un film, peuvent se révéler bien loin du compte...

La Cabane dans les bois...


Bon, ne tergiversons pas, ce film est minable ! 

Il est ridicule à force de tentatives vaines pour être effrayant ! 

Il est pitoyable dans ses dialogues qui se veulent crédibles! 

Il est mauvais au niveau du jeu des acteurs (presque que des inconnus, signe déjà indiscutable que le film ne fait pas partie d'une bonne ou d'une grande cuvée...) ! 

Le pitch, en deux mots : une énième fois, une bande d'ado américains attardés décident de partir en week-end dans un lieu abandonné, ici, en l’occurrence, une cabane dans les bois, prêtée par le cousin de l'un d'entre eux. Comme le veut le cliché, également respecté par toutes les autres daubes du même acabit, le groupe est composé de deux nanas, la blonde bimbo et l'autre, la coincée (brune ou russe, ici rousse) ; il y a aussi l'athlète à la belle gueule, qui peut éventuellement être remplacé par le mec le plus populaire du lycée - et bien sûr , la bimbo et lui sont en couple ; il y aussi le bon pote, en général pas trop moche non plus, amené pour essayer, le temps d'un week-end, de décoincer la coincée. Et pour finir, il y a le marginal, le mec que tout le monde pense comme vivant dans son monde, et qui, au final, et un de ceux à l'esprit le plus vif et qui s'en tire le moins mal ! Il faut bien (tenter) de surprendre le spectateur que nous sommes; ) 

Le film est bien sûr "pimenté" de petits moments un peu chauds (normal, il faut bien que la bimbo montre ses seins, et ses fesses moulées dans le short qu'elle semble avoir emprunté à sa plus jeune sœur) ; et il faut aussi un rapprochement, à un moment donné, entre la coincée et le pote (même si leur avenir ne s'annonce pas sous les meilleurs auspices, vu qu'au moins un des deux est condamné à crever, de manière et à un moment plus ou moins inattendus)...

Enfin, il faut des répliques se voulant drôles, et un moment où tout le monde doute de tout le monde et tente de entre-tuer ! 

Bref, arrêtons là pour ce film nul auquel j'ai déjà consacré un trop long billet, vu le peu d’intérêt qu'il présente ! 

jeudi 30 janvier 2014

If I were a boy...

Et si j’étais un garçon ?

Je ne sais pas forcément d’où m’est venue l’idée de ce billet ? De la chanson de Beyoncé ? De celle de Mylène Farmer dans laquelle elle demande « Dis maman, pourquoi je suis pas un garçon ?" ?


Mais si j’étais un garçon …Ferais-je toutes ces choses qui m’horripilent chez eux ? Quel genre de garçon serai-je ?

Je serai tout d’abord un garçon gentil ; je ne ferai pas de mal aux femmes.

Ensuite, je ne serai pas un séducteur, ni un briseur de cœur, mais je serai un garçon loyal et fidèle.

Je privilégierai les relations longues aux histoires d’une nuit.

Je ne serai pas un footeux lol, et je ne porterai pas de vêtements aux couleurs bleues de l’OM !

J’assumerai ma part féminine, je serai sensible et intuitif.

J’aimerais être un garçon solide, fiable, le genre sur lequel on peut compter en toutes circonstances.

J’aimerais être là pour protéger celle que j’aime, la rassurer, la cajoler, l’aimer tout simplement.


Je serai un garçon de confiance, honnête et droit. J’ai quelques exemples autour de moi (merci à Chéri, grand frère, P., M. et F.), je sais exactement comment être tout cela.

http://www.youtube.com/watch?v=AWpsOqh8q0M





Douze ans d'esclavage


Hier soir, Chéri et moi sommes allés voir "Douze ans d'esclavage" ! Ca fait un bail qu'on parle de le faire, mais entre le manque de temps, le film qui n'était pas encore sorti, et le reste, bref ! 

C'est un film de Steve Mc Queen, et par moment, j'y ai retrouvé des séquences, des ambiances, des musiques, qui m'ont rappelé un peu le film "Shame", du même réalisateur.

J'ai aimé ce film,  je l'ai trouvé bien réalisé, bien interprété, crédible, dur, passionnant, émouvant ! 

La musique de Hans Zimmer est incroyablement belle, elle semble porter le film sur les ailes de sa légèreté. 

J'ai déploré quelques longueurs, et un manque d'explications sur le fait essentiel du film, à savoir comment Solomon Northup, homme libre, se retrouve vendu et condamné à douze ans d'esclavage ?

Le casting réunit, autour de Chiwetel Ejiofor (rôle principal),   Michael Fassbender (un des acteurs fétiches du réalisateur), Paul Dano (récemment vu dans "The Prisoners"), Benedict Cumberbatch (récemment vu dans "Star Trek into darkness"), et Brad Pitt (qui arrive dans le dernier tiers du film).

mardi 28 janvier 2014

Django unchained


Le week-end dernier, j'ai ENFIN vu Django Unchained, le dernier Tarantino !
Depuis le temps que tout le monde m'en parle en termes plus qu'élogieux, j'avais hâte de me faire ma propre opinion dessus ! 

J'ai beaucoup, beaucoup aimé ce film ! 

Il y a vraiment la patte particulière de Tarantino, celle qui rend les films de ce réalisateur si uniques, et si particuliers ! A savoir l'hémoglobine, l'humour (parfois décalé), une bo importante, et qui joue presque un rôle d'acteur secondaire dans le film, des combats (le sabre de "Kill Bill" a été ici remplacé par des gâchettes), des très bons acteurs !

J'ai vraiment apprécié le tandem Christopher Waltz (que j’avais découvert dans "Inglorious Bastards" du même réalisateur") et Jamie Foxx ! Et que dire de DiCaprio, sinon qu'il est excellent également !

Du grand cinéma, du grand Tarantino ! 

Coup de coeur musical !



Merci à Chéri qui m'a fait découvrir cette version ; ) 

Jamais le premier soir... ; )



Je vais ici parler d'un film, et pas d'une conviction personnelle ; ) !

Je suis allée voir ce film sans grandes attentes, j'avais seulement envie d'un film léger pour un vendredi soir, afin d'attaquer mon week-end par quelque chose de sympa et de pas prise de tête ; ) 

Et j'ai été très agréablement surprise par ce film ! 

On y caricature toute cette vague de développement personnel, souvent représentée sous forme d'ouvrages, sur lesquels on ne peut que tomber dès qu'on met les pieds dans une librairie à l'heure actuelle. Comme si ces livres avaient les réponses que nous cherchons...

L'histoire est mignonne, le trio de copines très convaincant (Alexandra Lamy, Mélanie Doutey et Julie Ferrier) ! 

Il y a de l'humour, des répliques très drôles, un beau mec (Grégory Fitoussi) et un Jean-Paul Rouve très attachant en petit libraire de quartier ;)

L'histoire en deux mots : suite à une rupture, une femme déprimée et désespérée va chercher des réponses sur elle, sa vie et sa relation avec les hommes dans les livres de développement personnel de la librairie en bas de chez elle. Et elle va y trouver ce qu'elle n'était pas venue chercher...

Un crime au paradis !


J'ai regardé ce film hier soir, avec Chéri, sur les conseils de mes grands-parents qui l'avaient adoré ! Pour qu'ils s'en rappellent, et en parlent en termes aussi enthousiastes, je me suis dit que le film méritait visionnage ! 

Je n'ai pas été déçue ! 

Aux côtés de Villeret et Balasko, brillants en paysans rustres et plein de haine l'un envers l'autre, on trouve un Roland Magdane très convaincant dans un petit rôle de tenancier de bar, et un André Dussollier formidable (comme toujours, cet acteur ne m'ayant jamais déçue !), magistral en avocat calculateur ! 

Le pitch : un couple marié, Villeret et Balasko, se déteste, et chacun utilise toute son énergie au quotidien pour faire des crasses à son conjoint. C'est à celui qui pourrira le plus la vie de l'autre ! Jusqu'au jour où ils décident mutuellement d'en finir avec l'autre, en partie aidés par les conseils d'un avocat surprenant...

C'est drôle, c'est bien joué, Balasko campe une ivrogne admirable, Villeret est très attachant et ce Dussollier, quel homme ! 

lundi 27 janvier 2014

La Part des anges



J'ai une de mes grandes lacunes cinématographiques qui réside en la personne de Ken Loach : je n'ai vu aucun film de ce réalisateur. 

Enfin, je n'avais vu aucun film de ce réalisateur, jusqu'à ce week-end, durant lequel j'ai regardé "La Part des Anges".

Comme je m'y attendais, je n'ai pas aimé.

Ken Loach montre la misère sociale écossaise sous couvert d'une histoire de jeunes paumés qui vont se découvrir au travers l'univers du whisky.

Pour moi, à présent, voir du Ken Loach c'est comme voir du Almodovar, le côté sexuellement torturé en moins : ces deux réalisateurs visent à montrer le côté peu reluisant car très pauvre de leurs pays, côté à côté duquel on passe bien sûr lorsque l'on va y faire du tourisme.

Le Jeu de la vérité




Le pitch était alléchant, et même si le thème était éculé, ou déjà vu, ce film-là semblait l’aborder différemment des autres. D’une façon originale, ou surprenante selon moi.

Surprise il y a bien au début du film (je ne vais pas vous révéler laquelle), qui débute par la réunion de trois amis de toujours, qui vont se retrouver pour un dîner, le temps d’une soirée qui va bouleverser leurs trois vies, et remettre en cause beaucoup de choses au sein de leur amitié…


Au final, j’ai piqué du nez plusieurs fois (et pas seulement parce que la séance était à 22h30, ni parce que le restaurant avant été copieux), mais bien aussi parce que le film ne m’a clairement pas passionnée…


Et coup de théâtre inattendu ! A notre arrivée dans la salle, avec un de mes meilleurs amis, nous trouvons un téléphone. Nous n’avons réussi qu’à le mettre en vibreur, et il a vibré tellement fort que j’ai cru qu’on allait se faire lapider par les quatre autres personnes présentes dans la salle ce soir-là. A cinq minutes  de la fin du film, on trouve finalement comment éteindre ce tel, qui avait vibré toute la soirée, fort des appels de son propriétaire alarmé, qui était là à la fin de la séance, et qui a eu des larmes dans les yeux tellement il a été soulagé quand on lui a tendu son précieux joujou ; ! 

Les bonnes résolutions....

Qui dit nouvelle année dit souvent bonnes résolutions…

En avez-vous pris ?

Personnellement, c’est une des premières années où je n’en prends pas, je ne me suis même pas posé la question avant ce billet. C’est bon signe pour moi, un début de lâcher prise pointerait-il à l’horizon de la vie d’une fille qui ne peut pas s’empêcher de tout contrôler ? Je le souhaite en tout cas, un peu de légèreté et d’insouciance ne me feraient pas de mal ! ; )


Dans un billet un peu plus ancien de ce mois-ci, je vous adressais mes meilleurs vœux, il semblait donc logique ( et intéressant) suite à cela d’aborder le thème des bonnes résolutions ; ) 


En général, chaque année, je prends, en guise de bonnes résolutions, une seule bonne résolution, qui en englobe de nombreuses autres. Cette  bonne résolution est à peine exagérée, et ambitieuse : en gros, cela se résume à devenir une femme parfaite lol ! Oui , oui, parfaite, vous avez bien lu, rien que ça lol !

La perfection n’est pas de ce monde me direz-vous ? Vrai. Et je suis déjà parfaite telle que je suis ? Vrai aussi ; ) 



Ceux qui me connaissent bien savent que je plaisante et que je ne suis pas présomptueuse pour deux sous, bien au contraire…

Pour faire court, chaque année, je me dis : je vais me mettre au régime (et me faire une silhouette de rêve ! ), au sport (et m'y tenir ! ) ! Je me dis aussi que je vais devenir une fille sympa, polie, toujours souriante, d’humeur égale et constante, et bien dans sa peau (big challenge) ! Et chaque année j'y crois ! 

Je me promets aussi (oui, car je passe des pactes avec moi-même parfois ^^) que mon appart’ sera toujours clean et rangé, que je lirai enfin MES livres (en attente sur mes étagères, qui se désespèrent et meurent d’ennui tandis que je les délaisse) avant d’en emprunter d’autres, etc., etc….

Chaque année, en début d’année, j’y crois dur comme fer, je suis hyper motivée, et je tiens quelque chose comme…quinze jours dans le meilleur des cas ! 

Pourquoi ? Facile ! J’ai à peu près autant de volonté (parfois) qu’une limace sous anesthésie générale ! C’est navrant !

Je dis ça, mais en même temps, les trucs importants, je veux dire vraiment importants, je les tiens toujours, et je m’y tiens sans faute ! 

Là, le régime (qui serait en fait plus précisément la mise en place d'une alimentation plus régulière, plus saine et plus équilibrée), ça tient jusqu'à ce qu'une envie de Mc Do, de Subway, ou de resto m'assaille, et me tenaille, et m’obsède jusqu'à ce que je pense plus qu'à cela ! Et y penser dans un appartement privé de toute nourriture, c'est le drame ! 

Le régime ? Oui, ok, mais ce ne sont pas mes placards et mon frigo (de célibataire, euh non,pardon, de fille vivant seule ) qui vont m'aider à manger équilibrés ! La plupart du temps, dans mes placard, quand il y a du pain, il n'y a plus rien dans mon frigo, du style beurre ou confiture, pour tartiner dessus. Et inversement, quand j'ai de quoi tartiner, le pain et aux abonnés absents. J'ai exactement le même cas de figure avec le lait et les céréales ; ) . Et la majorité du temps, dans mon frigo il y a un tube de mayonnaise (allégée, bien sûr!), ou de moutarde, et, euh, voilà, on a fait le tour lol ! En général, quand j'ai faim, j'ai faim, et j'ai la mauvaise habitude de faire mes courses au moment où j’achèterai tout le magasin tellement j'ai envie de tout et tellement j'ai faim à n'en plus pouvoir lol ! 


Le sport ensuite. Hum, déjà que je ne faisais que de la danse, et que je ne la pratique plus...J'ai d'abord fait de la danse sportive en compétition,et du coup je bougeais pas mal, entre les cours collectifs, particuliers, les entraînements, les soirées dansantes et les compétitions, la dépense physique était au rendez-vous, et j'avais une autre silhouette...J'ai ensuite arrêté cette danse, pour me mettre au West Coast Swing, et depuis février, je ne danse plus du tout...J'ai entamé la Zumba en septembre, et là, je me régale ! C'est une discipline fabuleuse car, comme en danse, on se dépense sans avoir l'impression de faire du sport (et cela, moralement, c'est terriblement important pour l'"athlète" que je suis ; ) ! Je me suis aussi mise au footing, seule ou avec une amie en ville en semaine, et en groupe dans la nature en week-end ! 

C'est super sympa de se retrouver dans ce cadre là aussi ! Ca change des cinés, restos ou autres bowling ; ) On est à présent un petit groupe à être motivés pour aller courir le dimanche matin, et que cela soit sur le plateau de Vitrolles le vieux ou à Bimont, le plaisir est au rendez-vous ! Et puis faire un footing à Bimont le 29 décembre, et ce week-end encore, sous un soleil de plomb, quel bonheur ! 

Tiens, mais au fait, le fait d'avoir été courir hier matin ne serait-il pas une preuve de ma bonne foi envers mes nouvelles bonnes résolutions ? A vous de juger, moi je vais m'accrocher ! ; ) 

vendredi 24 janvier 2014

Vipère au poing...


Ah que voilà un bon film ! Et en plus il est français ; ) ! 

Enfin ! Voilà un moment que je n'avais pas vu un si bon film ! 

Il m'a captivée ! Pendant que je l'ai regardé, je ne me suis pas endormie, je n'ai pas joué avec mon tél, ne suis pas allée sur le net, et n'ai ressenti ni le besoin ni l'envie de le faire ! 

J'avais lu le roman il y a très longtemps sur les conseils de mes parents, je sais que je l'avais beaucoup aimé, mais je n'en ai plus de souvenirs précis.
Aussi ai-je totalement redécouvert l'histoire hier soir, en visionnant le film.

Je n'avais pas vu l'ancienne version de ce film, avec Alice Sapritch dans le rôle de Folcoch, ici tenu par une Catherine Frot magistrale, qui campe une mère haïssable et inhumaine à souhait ! On a dépassé là le cadre de la sévérité et de la rigueur pour entrer dans un cas de maltraitance infantile. Maltraitances verbales comme physiques, puisque l'on voit aussi bien des humiliations, des vexations, des privations de toutes sorte que des coups et des sévices physiques.

Le film est dur, le propos violent. Comment une mère peut-elle détester à ce point sa progéniture ? Et comment un père peut-il voir ses enfants maltraités et rester aussi muet face à cela ?

Si Catherine Frot campe une mère dure comme la glace crédible, Jacques Villeret est lui étonnant dans son rôle de mari soumis et de père impuissant.En même temps, j'adore ces deux acteurs et il est vrai que quelque soient leurs rôles, ils ne m'ont jamais déçue, mais toujours éblouie ! Et que dire du jeune Jules Sitruk, tour à tour aimant, rebelle et indompté ? Il offre un jeu excellent lui aussi.

Bref, je vous recommande vivement ce film ! 

Chronicle





J'ai détesté ce film ! 

Déjà, je déteste l'acteur principal,  que j'ai récemment découvert dans "The Place beyond the pne". je déteste son regard, et son physique, et sqon jeu, il m'est très antipathiquer ! Il a une telle têtre de faux jeton et de personne mauvaise que je ne le vois pas crédible dans le rôle d'un gentil...

"Chronicle", selon moi, c'est filmé à la "Projet Blair Witch", et c'est un genre de "Projet X" à la sauce science-fiction...

jeudi 23 janvier 2014

Noël, Joyeux Noël... ; )

Noël…Un Noël de plus de passé…

Chaque année je me demande qui sera encore là pour le suivant, on ne sait pas de quoi l’avenir est fait et ce que la vie nous réserve…Regarderait-on différemment les gens si l’on savait qu’on les voyait pour la dernière fois ? Vaut-il mieux savoir ou ne pas avoir ? Bref, tant de questions auxquelles les réponses resteront sans doute un mystère.Et puis là n'est pas le propos de ce billet qui ne se veut pas du tout, mais alors pas du tout philosophique ; ) 

Un Noël de plus, et tellement de cadeaux cette année encore ! J’ai été très gâtée ! Entre ma famille, mes amis, Chéri, beaucoup de gens m’ont prouvé leur amour et leur affection à ‘occasion de ces fêtes de fin d ‘année !

En vrac, et sans forcément dévoiler qui a offert quoi, voici quelques-uns de mes cadeaux : un calendrier de l’Avent musical (un des cadeaux les plus personnel et les plus personnalisé jamais reçu), une peluche de girafe trop mignonne (elle a toujours pas de nom la pauvre petite bête), une théière noire en fonte (je n’en avais pas, moi grande amatrice de thé devant le Tout Puissant ! ), des chaussons en forme de pingouins (sont trop beaux ! ), un thriller (quelqu'un qui me connaît très bien), et une super BD (ça c’était le cadeau inattendu, inespéré et plus que surprise ! )  !

J’ai aussi eu un CD (le best of d’Enrique Iglesias), un coffret de thés, une montre Swatch en acier argent trop belle, des sous, un bon d’achat Sephora, des Kinder Schokobons (qui, comme d’hab, ont dû me faire une journée : ( ), des cosmétiques (un gel douche à la pêche, un baume pour les lèvres au miel), un pull Camaïeu noir, un top Promod marron trop joli, un mug, un plateau et un service à café, et d’autres chocolats !

Et de mon côté, j’avoue que je n’étais pas mécontente de ce que j’ai offert à mes amis et à mes proches ; ) J’ai eu un joli succès dans tous les cas (soit dit sans me vanter) ; ) ! Ça valait le coup de les écouter parler toute l’année de leurs envies…Pour ensuite les surprendre à Noël ; ) ! 

C’était Noël jusqu’à hier pour moi, puisque j’ai eu mon dernier cadeau hier soir !

Et Noël avait commencé tôt pour moi cette année puisque j’ai eu le plus beau de mes cadeaux le 20 décembre au soir…




mardi 21 janvier 2014

Chambre avec vue...



Certains films vieillots ont un charme désuet, une légèreté qui n'est plus de notre époque : ce n'est pas le cas de celui-là ! 


Je ne m'étais pas autant ennuyée depuis "Les Parapluies de Cherbourg" ! 

Et encore là, ce n'est pas qu'on s'ennuie, c'est qu'on meurt d'ennui ! 

Pourquoi ce film alors me direz-vous ?

Encore un classique pas vu, encore un retard cinématographique à rattraper, une lacune culturelle à combler aux dires de certains même ! Et encore un film que j'ai détesté au final ! 

Ce film a le même réalisateur (James Ivory) que "Les Vestiges du jour", que j'avais détesté tout autant (cf un billet précédent).

lundi 20 janvier 2014

Yves Saint Laurent


Je ne connaissais pas grand chose concernant Yves Saint Laurent. Je savais que c'était un artiste, un couturier créateur de haute couture, que l'idée du smoking pour femmes était de lui, et qu'il a créé un de mes parfums préférés : Babydoll ! 

Aussi, quand j'ai vu qu'un film sortait sur sa vie (un biopic de plus, c'est décidément la grande mode, comme les adaptations de livres, mais où est donc passé 'imagination des réalisateurs?!), et qu'en plus, YSL serait campé par un de mes acteurs préféré" (Pierre Niney), je n'ai pas hésité ! 

En fait si,j'ai hésité, car les critiques étaient mauvaises, et au final, on a été voir ça avec Chéri car les deux autres films visés ne passaient pas au bon horaire ; ) 

J'étais en tout cas très impatiente de découvrir ce que pouvait donner à l'écran le tandem des deux acteurs de La Comédie Française, Pierre Niney (découvert et adoré dans "20 ans d'écart" et "Comme des frères") et Guillaume Gallienne (adoré dans le dernier Astérix et dans "Guillaume et les garçons, à table !, et je ne sais plus dans quoi je l'avais découvert).

Des rares photos que j'avais pu voir, Niney est ici grimé en sosie parfait de YSL ! Dès les premières scènes, le ton est donné : Pierre Niney qui jouait un Balthazar enjoué au débit rapide et à l’enthousiasme touchant dans "20 ans d'écart" nous propose ici une diction empruntée, pour un personnage gauche et très efféminé.
On nous présente un YSL torturé, angoissé, jamais en paix, éternel insatisfait. Il semble à la recherche d'un idéal jamais atteint et d'une sérénité jamais trouvée...

On nous montre aussi un homme très maigre, à la limite de l'anorexie, bourreau de travail, perfectionniste au possible.

Au final, j'ai trouvé le film long, j'étais contente qu'il se termine ! Seule la première partie m'a intéressée, et la fin est un peu bâclée selon moi. Et bien sur, comme c'est la mode, on n'échappe pas aux scènes de sexe entre gays...En l’occurrence, elles sont totalement superflues ! 

J'ai aimé apprendre des choses sur l'homme et le créateur, que je connaissais si mal.

La Liste de Schindler


J'avais vu beaucoup de films sur la Shoah, mais celui-ci m’avait échappé. Erreur réparée ce week-end ; ) 

Je me suis mise devant La Liste de Schindler, que j'ai regardé en deux fois, car d'une, il fait 3h07, de deux, après avoir changé le DVD un pour le deux, j'ai décidé de faire une sieste d'un quart d'heure (qui au final a duré trois heures, mais passons, là n'est pas notre propos ; ) ) ! 

J'ai beaucoup aimé ce film, j'y ai encore appris des nouvelles choses sur la Shoah.

On y trouve le tandem Liam Neeson-Ralph Fiennes, que je confonds toujours ! Et d'ailleurs, depuis The Place beyond the pines, je leur ajouterai bien un troisième jumeau en la personne de Bradley Cooper : ces trois gars là se ressemblent décidément trop ! 

Le film est extrêmement bien fait, triste sans très émouvant dans les scènes finales...


The place beyond the pines


Par de nombreux côtés, The Place beyond the pine m'a rappelé Drive. 


OK, l'acteur principal est le même, mais cela ne se limite pas à cela.

Ryan Gosling campe ici, comme dans Drive, un héros solitaire, marginal, hors la loi. Dans Drive, il fait des folies en voiture, là c'est sur une moto ; ) 

J'ai remarqué des ressemblances avec Drive aussi dans le choix de la BO, dans la façon dont sont filmées certaines scènes aussi.

J'ai bien aimé le premier tiers du film, moins le reste Je ne peux pas dire pourquoi, car cela en révélerait trop sur le film à tous ceux qui ne l'ont pas encore vu...

Au coeur du mensonge...


Claude Chabrol est un réalisateur français que j'ai découvert il y a quelques années grâce à ma mère (merci maman), grande cinéphile comme moi ! 

J'avais bien accroché son cinéma si particulier, et je le suis depuis. Et comme il en passe régulièrement à la TV, j'essaie de ne pas les manquer ! 

Hier soir, j'étais donc devant Au coeur du mensonge, mené par le trio Jacques Gamblin, Sandrine Bonnaire (une des actrices fétiches du réalisateur, avec Isabelle Huppert), et Antoine De Caunes.

Après avoir vu La Cérémonie, Rien ne va plus, La Demoiselle d'honneur et Merci pour le chocolat, qui ne sont pas tous égaux, j'ai trouvé au coeur du mensonge pas mal, mais sans plus.

On ne va pas reprocher au film sa lenteur, c'est une des caractéristiques du cinéma du réalisateur, et qui tend à rendre cette atmosphère si particulière dont lui seul a le secret...

Une fois de plus, on assiste à un huis-clos, on regarde vivre un microcosme dans lequel un drame se produit.

Le réalisateur fait du cinéma de tous les jours en s'attelant à rendre le quotidien peu banal et les gestes de tous les jours moins communs...

Casino



Casino est mon troisième Martin Scorsese, après Shutter Island (que j'ai adoré , même si je n'ai pas tout compris), et Hugo Cabret (que je n'ai pas aimé, comme raconté dans un billet précédent).

Bon, je ne vais pas faire une tartine sur le thème, je dirai juste que je n'ai pas aimé ! C'est long, c'est selon moi caricatural et peu crédible par moment. Ca parle pognon, jolies filles, machines à sous et magouilles : c'est un film de garçons je dirai lol ! 

vendredi 17 janvier 2014

Dépression et des potes


"Dépression et des potes", je l'avais vu lors de sa sortie ciné à l'époque, et j'avais vraiment bien aimé ! 
Un soir de cette semaine, j'ai eu l'occasion de le revoir avec Chéri, qui lui le découvrait.

J'ai à nouveau passé un très bon moment devant ! 

J'aime beaucoup Fred Testot, je le trouve attachant et très humain comme acteur ! 
A ses côtés dans ce film, Jonathan Lambert, Arié Elmaleh et Ary Abittan. Le quatuor se complète et fonctionne parfaitement, chacun a sa manière dégage un charme propre ; ) 

Le film est sympathique, drôle, émouvant parfois.

Le propos ? L'amitié, la vraie, celle qui survit à tout, même à la dépression d'un pote. En effet, les vrais amis, c'est quand cela va mal qu'on les voit ! Ici,  Fred Testot découvre qu'il est en dépression et ses trois potes ne vont plus le lâcher, malgré leur vie personnelle déjà bien compliquée aussi, de peur qu'il commette l’irréparable...

Cela va donner lieu à tout un tas de quiproquos, de surprises et de belles rencontres ! 

Resident evil - After life



Hier soir, j'étais crevée et je savais très bien que je ne tiendrai jamais jusqu'à la fin des films que je stocke en ce moment à côté de mon lecteur DVD, en attente de les voir ! Ce ne sont que des films de trois heures ou plus : Django Unchained, The place beyond the pines, Gangs of New York, La Liste de Schindler.

J'ai donc pioché dans ce que me proposait la TV pour ce soir là, et j'ai trouvé ce que j'appelle du cinéma reposant : j'ai opté pour "Resident Evil - After life" ! 


Ca tombait bien, jeudi dernier, j'avais vu "Resident Evil", le premier opus de cette série de films, adaptés du jeu vidéo éponyme.

Et j'ai trouvé ça encore plus pitoyable que le premier ! C'était nul et inintéressant ! 

D'ailleurs, en parlant du premier, il repassait juste derrière, mais je n'ai pas poussé la torture jusqu'à le revoir, et de toute façon, mes yeux qui ont eu le bon goût de se fermer à la fin du premier film ne m'ont pas laissé le choix quant à la suite de ma soirée... ; ) 

Jamaica


J’ai découvert le groupe français Jamaica grâce à la BO du film « 20 ans d’écart » dont je vous ai parlé récemment. Et je les ai découverts avec ce titre qui figure à la Bo du film, http://www.youtube.com/watch?v=2yMA7pGM4PQ, c’est même le générique de début du film !


Suite à cela, j’ai acheté leur album « No problem »que je trouve très agréable à écouter. Et récemment, je l’ai fait écouter à Chéri, qui a trouvé ça très sympa aussi ^^

Jamaica, c'est un genre de pop rock, avec parfois des résonances un peu électro, et c'est surtout une musique qui donne la pêche et un cd qui tourne en boucle chez moi en ce moment ! 

jeudi 16 janvier 2014

Tetro


J'ai regardé hier soir ce film de Francis Ford Coppola que l'on m'a prêté, et je ne l'ai pas aimé.

C'est en noir et blanc, et c'est avec Vincent Gallo, acteur avec lequel j'ai vraiment du mal...Comme Colin Farell...

mardi 14 janvier 2014

20 ans d'écart !


Alice Lantins est rédactrice pour une revue de mode, un univers impitoyable dans lequel seules les plus branchées surfent sur la vague ! Femme d’affaires surbookée, elle jongle entre son métier qui la passionne et sa fille, qu’elle élève seule. Alice avait tout prévu concernant son avenir et son plan de carrière, tout sauf, sa rencontre avec le jeune Balthazar . Rien ne semble s’opposer à ce qu’ils vivent une histoire, si ce n’est qu’ils ont…vingt ans d’écart ! Et suite à un malentendu, Alice, qui hérite d’une image de cougar, voit tout à coup son avenir professionnel, et sa promotion, inextricablement liés à sa relation avec Balthazar…


« 20 ans d’écart » est la comédie française rafraîchissante de 2013 ! Servi par un tandem d’acteurs qui se marient bien à l’écran, le scénario réunit l’ancienne présentatrice belge, Virginie Efira, et Pierre Niney, valeur montante du cinéma français, issu de La Comédie Française ! 

J'ai adoré ce film ! 

Je l'ai tellement aimé la première fois que je l'ai vu, que je suis retournée le voir une seconde fois au cinéma lors de sa sortie ! 

La première fois, je l'ai vu avec trois amis, et c'est l'un des trois, entre autres,  qui est revenu le voir avec moi.

J'ai vu ce film dans une période où j'allais très mal, et je persiste à croire qu'il a été un des petits éléments déclencheurs qui ont contribué à  ma guérison. Je suis sortie de là avec le sourire, avec un début de renouveau d'optimisme envers la vie, et envers l’amour, qu'on ait 20 ans d'écart ou pas ; )  ! 

Et puis ce film est définitivement associé au souvenir d'une bonne soirée car après le film, mes amis m'avaient emmenée dîner, et oui, trois chevaliers servants rien que pour moi !
; ) 

Coup de coeur pub !




lundi 13 janvier 2014

Dream house


Là non plus, je n'ai pas aimé ! 

C'est compliqué, tiré par les cheveux, et peu crédible ! 


C'est une amie fan de Daniel Craig qui me l'a prêté, ce n'est définitivement pas le meilleur rôle de l'acteur ! 

On note quand même le casting pas anodin : Daniel Craig, Naomi Watts et Rachel Weisz ! 

Daredevil



Je me suis rendue compte à mi-film que je l'avais déjà vu, sans n'en avoir plus aucun souvenir, comme "Resident Evil" l'autre jour.

Mais là, j'ai eu du plaisir à redécouvrir ce film, devant lequel j'ai passé un bon moment ! 


Pour nous les filles, il y a le beau Ben Affleck, crédible comme tout en aveugle ! Et pour vous, messieurs, il y a la sublime Jennifer Garner !  Pour la petite histoire, ils sont en couple dans la vie, et je ne sais pas si ce n'est pas sur le tournage de ce film qu'ils se sont rencontrés...

Donc bravo à Ben Affleck pour sa prestation dans ce rôle, et chapeau au passage de la rencontre dans le film, qui a lieu sous forme d'un superbe combat chorégraphié !

E à côté de ça, je ne peux toujours pas sentir Colin Farell, quelque soit son rôle...

Le film est bien construit, rythmé, et le scénario bien orchestré, cela m'a donné envie de voir le film "Electra" suite à cela !

Et superbe Bo d'Évanescence qui ne gâche rien !

http://www.youtube.com/watch?v=3YxaaGgTQYM

http://www.youtube.com/watch?v=5anLPw0Efmo

Coup de coeur musical !


Coup de coeur musical de l'an dernier, voire coup de foudre, exactement comme pour The Wombats dont je vous ai déjà parlé   ; ) ! 

C'est ma mère qui m'a fait découvrir ce groupe, c'est elle aussi qui m'avait fait découvrir The Wombats : merci maman de renouveler régulièrement ma culture musicale ; ) ! 

Tout comme les Wombats, difficile de leur attribuer une étiquette...Où les classer ? En pop, en rock, en électro ? Eh bien un peu dans les trois catégories en fait, vu qu'ils jouent avec les sonorités et mélangent les genres ! 

Je vous laisse découvrir : 

Flores de otro mundo


Là encore, ce n'est pas passionnant, mais ce film a eu le prix de la critique à Cannes en 1999 ! 
Dans tous les cas, ça fait toujours du bien d’entendre parler espagnol ! 

Valse avec Bachir



Je n'ai pas aimé du tout ! 
J'ai détesté les dessins, l'animation est rudimentaire, décevante et très juste par rapport à ce qui se fait aujourd'hui dans le domaine, et donc ce qu'on est en droit d'attendre ! 

C'est long, lent, dans les tons gris et jaunes, avec une ambiance qui met mal à l'aise, et une musique lancinante, façon BO de Mulholland Drive, ou comme "Lux Aeterna", BO de Requiem for a dream.

Bref je n'ai pas aimé, et en dehors de ça, il m'a manqué une connaissance des éléments politiques dont on parle pour mieux comprendre le propos.

mercredi 8 janvier 2014

Resident Evil



J'ai regardé hier soir Resident Evil, et tout le long, je me suis demandée si je ne l'avais pas déjà vu...Certaines scènes me parlaient.

Si tel état le cas, il ne m’avait pas laissé un souvenir impérissable, et il ne m'avait pas laissé de souvenir du tout lol ! 

Je n'avais joué qu'une fois au jeu vidéo, qui m'avait un peu impressionnée je dois dire, mais là, j'ai trouvé le film nul et prévisible ! Avec bien sûr une fin qui n'en est pas vraiment une,  et qui laisse supposer qu'il y aura mille autres opus derrières...

C'est ni prenant, ni captivant..

La première remarque qui vient à mon esprit est que, bien sûr, Milla Jovovich a une tenue absolument adéquate pour aller se battre. Eh oui, je suis une fille, je pense donc à analyser cet aspect là; ) ! En fait, ce n'est pas plus crédible que Lara Croft qui va dans la jungle en mini short et top au dessus du nombril. C'est pas comme si elle risquait d’être piquée ou attaquée par des bêtes sauvages constituant la faune locale après tout...

J'imagine que ce qui a surtout plu aux hommes dans ce film, ce sont les scènes d'ouverture et de fin du film, dans lesquelles Milla Jovovich est à peu près aussi couverte qu'au début du "5e élément", à savoir cette que cette fois-ci, elle attaque le film à moitié drapée par un rideau de douche, et qu'elle le termine enroulée dans une bande de tissu la couvrant et recouvrant à peine... ; ) 

Hugo Cabret


Je ne connais que très peu l'oeuvre de Martin Scorsese. En cherchant sur Wikipédia, je m'aperçois que je n'ai vu qu'un film de lui, "Shutter Island", et encore, je ne savais pas qu'il était de lui (je n'avais pas tout compris mais j'avais adoré ! ) .

Il va donc falloir que je rattrape mon retard en la matière, car il a fait beaucoup de films que j'ai ratés au ciné et toujours pas vus, tels que "Casino", "Les Affranchis", "Aviator", "Gangs of New-York",  et "Les Infiltrés", pour n'en citer que quelques uns.

Hugo Cabret se présente dès la pochette du DVD comme un film de Noël. Ah bon ? Première incompréhension de ma part !  Je ne suis même pas sûre personnellement de le classer film pour enfant, et de Noël il n'a rien, si ce n'est ce qu'on peut sans doute considérer comme un happy end...

Il y a quelques moments assez poétiques, et de jolies métaphores par ci par là.

Hormis cela, ce film me parait plutôt tout indiqué pour les fans de robots, d'intelligence artificielle, de cinéma et d’histoire du cinéma, et...d'horlogerie ! 

Globalement, je n'ai pas aimé et je me suis ennuyée devant. Je l'ai trouvé long et inintéressant, il n'a pas su capter mon attention.

Casse-tête chinois !




Et puisque j'ai terminé mon dernier billet en évoquant les casses-têtes, voilà une transition toute trouvée pour vous parler d'un autre film vu au cinéma pendant mes vacances : Casse-Tête chinois ! 

Casse-tête chinois est le troisième volet d'une trilogie de Cédric Klapisch, dont les deux autres opus sont, dans l'ordre, "L'Auberge espagnole", et "Les Poupées russes".

J'ai beaucoup aimé ce troisième film  !J'avais beaucoup aimé le premier également, un peu moins le second par contre.

On retrouve ici les personnages principaux auxquels on s'est attachés depuis le premier opus : la douce Martine, la superbe Wendy,  à la distinction et à l'élégance toutes "British", la truculente Isabelle, et notre héros, le très torturé et indécis Xavier ! 

Dans ce volet, Xavier travaille sur son nouveau livre, "Casse-tête chinois", le titre du livre et du film étant éponymes. 

A cause des aléas de la vie, après avoir vécu en Espagne, en France et en Angleterre, Xavier se retrouve à présent à New-York , pour être auprès de ses deux enfants, qu'il a eu avec une anglaise (Wendy), dont il est à présent divorcé, mais avec qui il a vécu dix ans. Il est marié à une chinoise ,pour être américain, et est le père biologique d'un enfant élevé par un couple de lesbiennes, amies à lui (Isabelle et sa copine). Et il voit toujours Martine, son premier amour du temps de "L'Auberge espagnole"...

C'est un film très sympa, on retrouve ces héros auxquels on s'est attaché comme à de vieux amis. On retrouve aussi Xavier , avec toutes ses interrogations existentielles et ses angoisses, et c'est ce qui le rend si unique aux yeux des spectateurs, ce qui en fait sa singularité, et le distingue des autres personnages du film, et des autres héros en général, car c'est un peu un anti-héros sous couvert de héros je trouve...On revoit aussi Isabelle avec son franc parler, Martine et sa timidité toute attachante, et Wendy avec sa réserve toute britannique. ; ) 

John Carter


J'ai aussi vu John Carter pendant mes vacances, et ce n'est pas ce que j'ai fait de mieux ! 

L'ami qui me l'a prêté, au milieu de tout un tas d'autres films, me l'a vendu comme une histoire d'amour, et il a même été jusqu'à une très belle histoire d'amour ! Alors forcément, moi, naïve et crédule, je me suis mise devant, sans me douter de ce que j'allais devoir endurer...Et tout ça au nom de l'amour lol ! 

Au final, je me suis fadée 2h13 d'un mauvais Star Wars au rabais que j'ai détesté ! Faites-moi penser à revoir la liste de mes prétendus amis ! Entre ceux qui me conseillent ce genre de films, et ceux qui m'offrent des casse-têtes... ; ) 

The Big Lebowski


J'avais souvent entendu parler de ce film, je n'avais pas encore eu l'occasion de le voir, et comme j'ai pu le récupérer, j'ai profité de mes vacances de Noël pour réparer cette erreur de parcours cinématographique ! ; ) 

Les Frères Coen, ce ne sont pas mes réalisateurs préférés, mais je les connaissais pour avoir vu d'eux "Fargo", "O'Brother", "A serious man" et "No country for old men". J'ai bien aimé le second, détesté le premier et le troisième, et trouvé très violent le dernier.

Avec "The Big Lebowski", on est plus dans le registre comique, comme dans "O'Brother", que dans le drame, l'introspection et la violence montrés par les trois autres.

Ici, on nous raconte l'histoire d'un déchet humain, The Big Lebowski, aussi dit "Le Duc", fan de bowling, et dont la vie bascule le jour où il se retrouve mêlé malgré lui, à cause d'une histoire d'homonymie, à des histoires d'argent, d'enlèvement, de rançons, etc, etc. A partir de là, sa vie, seulement rythmée par ses bières, ses bains, ses entraînements de bowling et ses passages au bar, va se retrouver singulièrement compliquée et, entraîné par une foule de nouveaux personnages qui vont faire leur apparition dans son paysage quotidien, il va tenter, tant bien que mal, et avec l'aide de ses deux fidèles acolytes, de remettre un peu d'ordre dans tout ça.

J'ai trouvé que le film était très space, ni drôle, ni intéressant. Il y a des passages rêvés, fantasmés, qui donnent parfois un côté fantasmagorique au film.

On y retrouve Steve Buscemi, pour lequel ça finira mal, un des acteurs fétiches du tandem Coen ; )