jeudi 24 juillet 2014

Pain...


Ce n'est qu'un au revoir...^^


On se retrouve en août ou en septembre, d'ici là, je vais prendre un pause bien mérité, lire et voir de nouveaux films, afin de vous concocter de nouveaux billets à la rentrée ! 

Alors bonnes vacances, et bel été à tous ! 


Sexy dance 5

Hier soir, ciné avec un de mes meilleurs amis pour voir "Sexy dance 5" ! 



Bien sur, c'est téléphoné ! 

Apparemment, c'est le dernier opus de la série, et comme tous les autres, il faut le voir pour la choré finale ! 

Moi je l'ai vu en 3D, suite à une erreur de choix de séance, et je ne suis pas sûre que le 3D apporte réellement grand-chose, à part un supplément à payer pour la séance (et pour les lunettes, que je n'avais pas, forcément ^^).

Je crois que j'ai vu tous les "Street dance", et tous les "Sexy dance", mais je les confonds un peu. Là il n'y a en fait rien de sexy car c'est du hip hop, ou de la street dance, je ne sais pas trop, et les filles qui la dansent ne sont pas trop féminine à la base, ni par leur tenue, alors les mouvements faits n’arrangent rien...

mercredi 23 juillet 2014

Anthony Zimmer

Hier soir, j'ai aussi regardé "Anthony Zimmer", film proposé à la TV, sur la même chaîne, et avant, "Espace Détente" ! 



J'ai beaucoup aimé ce film, qui est je pense un remake français de "The Tourist" (qui est lui même un remake moderne du vieux film du même titre).

Ici, le tandem Angelina Jolie-Johnny Depp est remplacé par Yvan Attal et la sublimissime Sophie Marceau.A leurs côtés, Sami Frey et Gilles Lelouche.

Même si je connaissais l'histoire, pour avoir vu la version américaine il y a quelques temps, je ne me suis pas ennuyée, et j'ai bien aimé.

Le pitch  : Anthony Zimmer est un des plus grands criminels financiers du monde, spécialisé dans le blanchiment d'argent. Après une lourde opération de chirurgie esthétique, plus personne ne sait à quoi il ressemble, ni la police, ni la mafia russe (qui tente de le faire taire), ni sa maîtresse Chiara (Sophie Marceau). Cette dernière tente néanmoins de le retrouver grâce aux petites annonces du Herald Tribune et essaie de brouiller les pistes de la police et de la mafia, en jetant son dévolu sur des inconnus du même gabarit qu'Anthony. C'est ainsi que François Taillandier (Yvan Attal) se retrouve au cœur d'une chasse à l'homme dont il est la proie.

Le Bossu de Notre-Dame

Hier soir, j'ai aussi regardé "Le Bossu de Notre-Dame", car un ami m'a passé plein de Disney ! 


C'était un joli dessin animé, plein de bons sentiments, avec la plus mignonne des petites chèvres ! 

On note aussi une très belle chanson à découvrir, ou redécouvrir : https://www.youtube.com/watch?v=sIH4CMxnaU8 (j'ai une amie qui me l'a faite découvrir, et me tire les larmes chaque fois qu'elle la chante).

Espace détente

Hier soir, j'ai vu "Espace détente", qui était proposé à la TV.



Le film est tiré de la série "Caméra café", que personnellement, je n'aime pas du tout ! 
Là, j'ai passé un moment sympa devant, et j'ai réalisé à la moitié du film que je l'avais déjà vu...

Pas grand-chose à en dire, on est loin du chef d'oeuvre cinématographique, et moi j'ai beaucoup de mal avec Yvan Le Bolloc'h, que je déteste ! 


Mais il y avait quelques trucs pas mal.

A voir à la TV un soir où il n'y a rien d'autre à faire ;  )

mardi 22 juillet 2014

Festival Off d'Avignon, 3e partie

Hier soir, je suis retournée sur Avignon, voir une autre pièce, "L'Odyssée".


Eh bien, clairement, je n'ai pas aimé. Déjà, le thème d’Ulysse et de l'Odyssée, je ne suis pas fan. J’avais tentée la lecture de "L'Iliade", d'Homère, il y a quelques années, sans succès...


Là, les comédiens étaient censé jouer façon "Comedia Dell'Arte", ils arboraient des toges et autres costumes grecs d'époque, et la moitié de la pièce était chantée en italien, et non parlée, façon opéra.

Hormis une ou deux "vannes" sympas, et une ou deux trouvailles originales concernant la mise en scène, j'ai eu rapidement hâte que cela se termine...

lundi 21 juillet 2014

Festival Off d'Avignon, 2e partie


Ce week-end, je suis allée me tremper à Avignon dimanche après-midi ! C'était le déluge là bas,il a plu la mer et ses poissons ! Du coup, nous sommes allées voir deux pièces pour s’abriter (oui oui c'est la seule raison lol) ! 

La première pièce, c'était "J'aime beaucoup ce que vous faites" ! 


C'était excellent, je me suis régalée ! C'était drôle, la mise en scène était réussie, les répliques tordants et les acteurs, très bons ! 

Si cette pièce vous dit quelque chose, c'est normal, elle existe depuis déjà plusieurs années, et a été reprise au cinéma sous le titre "Les Meilleurs Amis du monde".

Le pitch ? Un couple part en weekend chez des amis. Tout commence par une fausse manip avec leur téléphone portable. Le couple souhaite prévenir leurs amis qu’ils seront bientôt arrivés. Alors qu’ils pensent avoir raccroché leur téléphone, la messagerie se déclenche.  Pensant que leur téléphone est coupé, ils commencent à vider leur sac sur leurs vieux amis… Ce message vocal ne tombe pas dans l’oreille de sourds… Les hôtes sont déconcertés, mais voilà… que faire ? Les chasser de la maison ou faire comme si de rien n’était? Après tant d’années d’amitié, faut-il vraiment tout remettre en cause? Finalement, ils décident de prendre sur eux et de les accueillir. OK mais un accueil à quel prix ?!


En bref, je vous la recommande, il reste encore une semaine de Festival ! 



La seconde pièce était "L'Amour est dans le presque" ! 



Le titre vous rappelle une émission de télé-réalité ? C'est normal, la pièce en propose une parodie. malheureusement, c'est de l’humour lourd, qui souvent tombe à plat. je me suis un peu ennuyée, et même si j'ai ri quelque fois, notamment au début de la pièce qui s'ouvre avec la VRAIE musique générique de la vraie émission ("You're beautiful" de James Blunt, j'adore ce morceau ! https://www.youtube.com/watch?v=oofSnsGkops), j'avais hâte que cela se termine ! 


Donc celle-ci, je ne la recommande pas...



Et ce soir, je vais en voir encore une, alors patience, je vous raconterai demain...



Seconds

Le second film que j'ai vu ce week-end est "Seconds" ! 


"Seconds" (sous-titre "L'Opération diabolique") est un film de 1966, réalisé par John Frankenheimer, et avec dans le premier rôle Rock Hudson (wow quel bel homme, je ne le connaissais pas, quel charme, quel charisme, quelle élégance) !

J'ai adoré ce film ! Cela m'a rappelé un autre vieux film vu l'an dernier, et que j'avais adoré aussi : "Fedora".

Le pitch ? Un homme d'âge mûr, bien placé, qui semble avoir réussi sa vie, reçoit un jour un coup de téléphone d'un ancien ami qu'il croyait mort. Celui-ci lui révèle alors qu'une vie nouvelle est possible, qu'il peut tout changer s'il le désire, mais qu'il doit se dépêcher "avant qu'il ne soit trop tard". Rappelé plusieurs fois par ce Charlie, il est de plus en plus troublé par cet appel et ces phrases mystérieuses, et décide de répondre au rendez-vous qui lui est donné dans une blanchisserie . De là, il est envoyé vers ce qui semble être une boucherie. Là il est enfermé dans un fourgon et convoyé jusque dans un bâtiment mystérieux. Reçu par un homme qui lui annonce "qu'il est mort", il découvre le sens des paroles de Charlie : en échange d'un contrat léonin, il pourra mener une vie entièrement nouvelle après une opération chirurgicale qui lui rendra sa jeunesse, assortie d'une nouvelle identité et de la possibilité de jouir de tous les plaisirs dans un cadre paradisiaque. Il pourra devenir ce qu'il a toujours rêvé d'être, un peintre. A la fois séduit et contraint, il signe.
Tout se passe comme prévu. Il mène une grande vie, reçoit, peint. Il reste insatisfait et ne parvient pas à s'adapter à sa nouvelle condition. Lors d'une fête où il boit plus que de raison, il trahit son serment de ne jamais révéler sa véritable identité.
Après cette première faute, il en commet une deuxième en allant voir sa femme qui ne le reconnaît pas. Il est alors renvoyé au centre où il avait signé le contrat. Il découvre alors qu'il pourra à nouveau changer d'identité à la seule condition de trouver quelqu'un qui entre à son tour dans le centre et signe un contrat. Il comprend alors la trahison de son ami Charlie qu'il rencontre enfin. Devant l'impossibilité de coopter un nouveau membre, on lui propose une autre solution. Il est emmené attaché sur un brancard et disparaît.

Je vous le recommande plus que chaudement ! C'est machiavélique, cauchemardesque, étonnant, surprenant, glaçant ! Tout le long du film, le scénario est porté par une musique aux tonalités diaboliques (à base d'orgue je pense), qui contribue encore à alourdir l'atmosphère du film...C'est une version moderne de Faust...

J'ai envie de vous retranscrire ce qui est dit à propos de ce film sur mon programme ciné, car cela met des mots sur mes ressentis, bien mieux que je n'arrive à le faire pour ce film-là.
"David Fincher doit à peu près tout à Seconds" [Nicolas Saada]
"Thriller paranoïaque injustement oublié, Seconds a des résonances contemporaines, qui le rapprochent de deux autres films programmés cet été : Enemy et The Double" [Première]
"Le thème est excellent. On est inquiet, surpris, l'action se déroule rapidement. La scène bachique est saisissante. Les séquences sont traitées par des mouvements rapides, des gros plans, des cadrages bizarres, qui amènent les effets recherchés" [La Revue du cinéma]
"Ce récit de science-fiction est très original. Le début est fracassant et le suspens final hallucinant. C'est le pacte de Faust revu et adapté à notre monde moderne. Méconnu, ce film mérite d'être redécouvert" [Le Guide des films]
"Un film fantastique, sombre et peu connu dans lequel le personnage joué par Rock Hudson change d'aspect pour tenter de refaire sa vie. Étranges résonances avec le parcours tragiquement secret de l'acteur" [Télérama]
"Petit chef d'oeuvre de pessimisme et d'anticipation, froidement accueilli à sa sortie, Seconds se paie une belle renaissance cette année après une présentation à Cannes Classics. Le film est truffé de scènes anxiogènes, déconnectées du réel et qui le contaminent par le cauchemar. Les partis-pris radicaux du cinéaste seront repris par Paul Verhoeven (Total Recall), David Fincher (The Game) ou encore Terry Gilliam (Brazil) dans leur rapport à la société capitaliste et vampirique" [Filmosphère)

The Zero Theorem

Ce week-end, je suis allée deux fois au cinéma, et l'une des deux fois était pour voir le dernier Terry Gilliam, "The Zero Theorem".


Terry Gilliam, comme tout le monde le sait, est un ancien Monthy Python, mais aussi le réalisateur du désormais cultissime "Brazil", que personnellement, j'avais détesté ! 

J'avais vu la bande-annonce du film, et je m'étais dit que j'irai peut-être le voir, tout en étant persuadée que je détesterai. 

Et en fait, à ma propre surprise, j'ai bien aimé, et je ne me suis pas ennuyée ! 

Le pitch ? Un informaticien surdoué, un génie en quelque sorte, asocial et torturé, quitte sa boite pour travailler de chez lui, car il attend un appel qu'il ne veut pas manquer, et qui doit lui dévoiler le sens de sa vie...Et oui, en fait toute l'histoire est là, le reste n'est qu'anecdotique. Pendant son attente, il va croiser des gens, une call-girl attachante (Mélanie Thierry), un patron plus qu'énigmatique (Matt Damon), et il va être amené à travailler sur le "théorème zéro" (d'où le titre du film).

Il y a un petit côté Beckett, "En attendant Godot", dans ce film ! 

Dans le rôle principal, Christoph Waltz, que j'ai découvert dans "Carnage", "Django" et "Inglorious Basterds" !

Et une nouvelle version de "Creep" de Radiohead, que l'on découvre dans le film, et que je vous fais partager, car j'ai adoré son côté smooth et jazzy !

https://www.youtube.com/watch?v=UXMOxxrjdEs

jeudi 17 juillet 2014

Under the skin

Hier soir, ma soirée a fini plus tôt que prévu. N'étant pas fatiguée, j'ai feuilleté le programme ciné que j'ai toujours dans mon sac (en ce moment,en plus, j'ai celui qui correspond aux bonnes dates, veinarde que je suis ! ), et, sur un coup de tête, comme l'horaire était adapté, que je voulais le voir, et que je n'avais plus fait de ciné depuis quinze jours (au bord du manque^^), je suis allée voir "Under the skin", de Jonathan Glazer.


Il s'agit d'un film de science-fiction,tiré du roman éponyme de Michel Faber, et la bande-annonce, quand je l'avais découverte au ciné, avait réellement piqué ma curiosité. En même temps, c'était tellement bizarre et énigmatique, que je m'étais dit si je vais le voir, ce sera quitte ou double.

Bon, soyons clair d'entrée de jeu : aller voir ce film était une fausse bonne idée, et loin d'être la meilleure idée ou initiative que j'ai eu de la journée...

Je n'avais jamais vu d'autres films de ce réalisateur (il en a fait trois en tout, et pas mal de clips ensuite, pour Jamiroquai, Radiohead ou encore Richard Ashcroft, oui oui, rien que ça ! ), mais je doute que je retournerai un jour voir l'une de ses futures productions ! 

"Under the skin" dure 1 h 47, et c'est un film que j'ai subi, attendant la fin après même le commencement ! Il est noir, glauque, stressant, et angoissant. Certaines scènes font peur et m'ont fait sursauter. Une certaine forme de violence est présente tout le long. 

Il y a peu de décors, et peu de dialogues, et le sentiment d'angoisse est encore accentué par des scènes très sombres, presque filmées dans le noir, avec en fond une musique lancinante, récurrente et persistante, qui agresse les oreilles autant qu'un ongle qui crisserait sur un tableau noir ! 

Le ton est donné dès le générique, plus que minimaliste, quelques mots en blanc sur fond noir, pas de son, puis un début à la "2001, L'Odyssée de l'espace" de Stanley Kubrick (ce qui correspond à un début qui part très mal dans mon cas, vu que j'avais détesté ce film ! ).

Tout le long du film, je me suis demandé ce que je faisais là, et pour la première fois de ma vie, j'ai sérieusement envisagé de quitter la salle avant la fin ! Je vous ai dit qu'il y avait peu de dialogues ? Eh bien j'ai vu le film en VO, et le peu de répliques qu'il y avait, elles étaient presque impossible à comprendre sans sous-titres à cause des accents à couper au couteau des acteurs. A un moment donné, je me suis même demandé s'ils parlaient anglais, ou tchèque ! 

Le film est très répétitif, avec plusieurs fois quasiment la même scène qui revient. C'est incompréhensible et d'ailleurs, à moins d'aller lire un pitch sur le net, je suis incapable de vous raconter l'histoire, ou de vous décrire le propos du film ! 

Parlons un peu de Scarlett Johansson, qui tient le rôle titre. Messieurs, même si elle n'est pas à son avantage dans ce film (on dirait la fille naturelle de E.T. et d'Amélie Poulain ^^), pour lequel je pense elle a dû prendre du poids, elle est à poil tout le long, alors sautez sur l'occasion ! D'ailleurs, je dirai que le sexe occupe une grande place dans le film...
Pour revenir à Scarlett, tout le long, elle m'a fait penser à la jeune héroïne vampire du film "Morse", pour ceux qui l’avaient vu...Côté palette d'émotions reflétées sur son visage, on croirait Kirsten Stewart dans "Twilight", en gros la même tête tout le long lol ! Mais c'est cohérent, on reste donc dans le registre du vampire ^^

J'ai trouvé ce film nul, dérangeant, "space", inintéressant ! Je ne le conseillerai pas, vu l'ennui ressenti devant (pour la première fois de ma vie, j'ai sorti mon tél au ciné pour prendre des notes pour cet article, et noter mes ressentis "à chaud) ! ), même si je pense que le visionner relève clairement de l'expérience cinématographique inédite ! 

Le pitch, quand même, mais je l'ai pris sur internet, et je n'avais pas forcément (voire pas du tout) compris ça en voyant le film : en Écosse, au volant d'une camionnette, Laura, une extraterrestre d'apparence humaine, vêtue d'une fourrure, séduit des hommes. S'étant assurée qu'ils vivent seuls, elle les fait monter dans son véhicule. Elle les entraîne dans une maison sordide où elle les incite à se dénuder. Tandis qu'ils s'avancent vers elle et qu'elle recule (pas de vilains jeux de mots, hein, je vous vois venir ^^), ils s'enfoncent et disparaissent peu à peu dans le sol devenu liquide. Leur dépouille va servir à donner apparence humaine à d'autres créatures. Laura reste impassible.Elle se montre tout aussi insensible devant une scène poignante. Une jeune femme se noie dans une mer mauvaise, ayant voulu sauver son chien emporté par le courant. Son époux se jette à l'eau, et se trouve lui aussi en difficulté. Un témoin, bon nageur, intervient à son tour et ne peut ramener que le mari, tout espoir de sauver la femme étant vain. Le mari se jette à nouveau à l'eau. Laura s'approche du témoin courageux, qui est à bout de forces. Elle l'assomme d'un coup de gros galet. Elle le traîne jusqu'à sa camionnette, laissant seul sur la grève le bébé du couple, qui hurle de désespoir.Laura est supervisée par un motard qui veille à ce qu'elle garde cette insensibilité. Elle ne doit pas être contaminée par son enveloppe humaine, elle ne doit pas être tentée d'éprouver des sentiments.Un soir, elle fait monter dans sa camionnette un jeune homme triste, au regard fuyant, aux réponses réticentes, au visage déformé par la neurofibromatose. Il n'a jamais eu ni ami ni petite amie, et les gens le provoquent parce qu'ils sont, dit-il, « mal éduqués ». Laura réussit à le mettre en confiance, et à le convaincre de venir jusqu'à la maison. Au dernier moment, contre toute attente, elle lui rend la liberté.Elle erre désormais à pied, sans sa fourrure de dominatrice, tandis que plusieurs inquiétants motards sont à sa recherche sur toutes les routes. Elle goûte à la nourriture des humains, mais n'arrive pas à l'avaler. Elle est recueillie par un homme qui se montre plus hospitalier qu'empressé de la séduire. Lorsqu'enfin ils cèdent à leur attirance, c'est l'échec : sous l'enveloppe humaine, le corps de Laura n'est pas adapté.Elle poursuit alors son errance dans les bois. Un forestier tente de la violer. Dans la lutte, la peau de Laura se déchire et laisse apparaître son vrai corps. Le forestier terrorisé l'asperge d'essence et l'enflamme.

J'ai vécu l'arrivée de la fin du film comme un soulagement, une délivrance, je me suis  même entendue dire "ouf", comme les deux personnes à côté de moi lol ! 

mercredi 16 juillet 2014

Festival Off d'Avignon, 1e partie

Hier soir, France 4 proposait la retransmission en direct de deux pièces, depuis le Festival Off d'Avignon ! 
J'ai trouvé ça génial, car avec ma mère et ma sœur, nous avons feuilleté le programme récemment, en vue d'aller y passer une journée,et les deux pièces proposées ce soir-là, je les avais cochées ! 
Je me suis donc installée devant ! 

La première pièce proposée en première partie de soirée était "Clinic".


C'était assez drôle, et complètement déjanté ! Cette pièce, servie par 5 comédiens, trois hommes et deux femmes, qui jouent alternativement tous les personnages, patients et médecins, met en scène une clinique dans laquelle il ne fait pas bon se faire soigner, vu le manque d'éthique et de professionnalisme du personnel soignant...

Entre les deux pièces, plein de présentations de spectacles, d'autres troupes, et des petits happenings de rue, très sympa ! 

La seconde pièce c'était "A table ! La famille est un plat qui se mange froid" ! 


Là encore, une pièce très sympa, légère et drôle, de bonnes répliques, et des comédiens qui ont parfois eu le fou rire ! La pièce est servie par un tandem, un homme et une femme, qui vont se retrouver coincés dans un grenier, et le temps d'une journée, vont parler de leurs vies respectives, leurs relations de frères et sœurs, se remémorer des souvenirs, se faire des reproches, se balancer leurs vérités à la tête, et même découvrir des vieux secrets de famille enfouis...

Bilan, très contente d'avoir pu voir ces deux pièces, ça va me permettre d'en sélectionner deux autres que j'irai voir sur place ! Et au final, d'en voir plus que prévu ! 

Bravo à cette belle initiative télévisuelle qui permet d’amener Avignon et son Festival à tous, le temps d'une soirée ! 

mardi 15 juillet 2014

Vieux coups de coeur retrouvés




Deux vieux coups de coeur retrouvés ce week-end end par hasard,et réécoutés en voiture, en roulant vers la mer...

Bonne écoute ! Ou bonne découverte ! 


Demain est un autre jour...

Ce week-end, j'ai lu "Demain est un autre jour", de Lori Nelson Spelman.



C'est un livre dont j'avais entendu parlé, puis que j'avais aperçu sur les tables des libraires, et oublié. Il y a quelques semaines, lors d'un week-end à Sainte-Maxime, je l'ai revu par hasard dans une petite librairie presse et j'avais noté les références, afin de me le procurer.

Je l'ai lu d'un trait, je l'ai dévoré sans reprendre mon souffle, tellement l'histoire et l'écriture m'ont tenue en haleine ! 

Comme je l'ai souvent répété sur ce blog quand je parle ici d'un livre, c'est qu'il s'agit d'un vrai coup de coeur, un livre qui sort du lot ! 

Le pitch ? Brett a tout pour réussir dans la vie : de l'argent, un travail au sein de la compagnie familiale, et un petit ami parfait. Mais à la mort de sa mère, tout va changer. Virée, elle va devoir reconsidérer sa vie selon des objectifs laissés par sa mère, sous forme de lettres. Celle-ci veut s'assurer que sa fille réalisera tous ses rêves de jeunesse, et qu'elle ne se perde pas de vue en grandissant...

C'est drôle, puis touchant, c'est bien écrit, cela se lit facilement et cela ferait un super film adapté à l'écran ! 
Ce n'est pas de la grande littérature, mais c'est un bon livre, dans le sens où il fait passer un bon moment, et qu'on a du mal à le poser ! 

Un homme d'exception

Ce week-end, j'ai aussi vu "Un homme d'exception"...


C'est sans doute un très bon film, mais je ne l'ai pas aimé. je l'ai trouvé long, il fait un peu plus de deux heures je crois, et je n'ai pas accroché au propos, malgré l'incroyable performance de Russel Crowe.

Le pitch ? En 1947John Forbes Nash Jr. est un brillant élève, qui élabore sa théorie économique des jeux à l'Université de Princeton. Au début des années 1950, suite à ses travaux et son enseignement au Massachusetts Institute of Technology, William Parcher, agent fédéral américain, se présente à lui pour lui proposer d'aider secrètement les États-Unis. La mission de John consiste à décrypter dans la presse les messages secrets d'espions russes, censés préparer un attentat nucléaire sur le territoire américain.

Vers la fin, le film a pris, selon moi, un petit coté "Le Cercle des poètes disparus", avec un passage très émouvant. Hormis cela, je retiendrai une très jolie scène dans laquelle Russell Crowe montre à sa femme, Jennifer Connelly, que l'on peut tout voir dans un ciel étoilé, même un parapluie...

Serial Lover

Ce week-end, j'ai revu un film que j'adore, et que je me suis récemment offert en DVD : "Serial Lover" ! 


"Serial Lover" est un film français de 1998, réalisé par James Huth, un ancien photographe. J'avais découvert ce film un soir par hasard à la tv, il y a fort fort longtemps (comme dirait l'âne dans Shrek, ou même Shrek lui même ^^. Là vous vous dites "mais qu'est-ce que Shrek vient faire la dedans?!", et ...vous avez bien raison lol), et je l'avais adoré ! 

Le fait que le film soit réalisé par un photographe est perceptible tout le long. Le film a des airs de BD, par les plans choisis, la réalisation, le cadrage, et les décors ! Le choix des couleurs également, aussi bien au niveau des décors, que des tenues, et même des couleurs de cheveux et maquillage des acteurs, renforce encore cette impression d'être dans une BD...

C'est drôle, original, c'est de l'humour noir comme je l'aime ! 

Le pitch ? A la veille de ses 35 ans, Claire Doste (Michèle Laroque) réunit chez elle pour un dîner ses trois amants,et son meilleur ami. L'idée étant de choisir enfin parmi l'un d'entre eux. Malheureusement, suite à une série "d'accidents domestiques bêtes", la soirée va prendre une tournure macabre et inattendue, sous l’œil attentif et aiguisé de "Cellier Flic Police" (c'est comme ça qu'il se présente dans le film, alias Albert Dupontel).

Côté casting, on retrouve un tandem qui fonctionne parfaitement bien, à savoir Albert Dupontel et Michèle Laroque. A leurs côté, Elise Tielrooy (que l'on retrouve dans la série "Mes amis mes amours mes emmerdes, que j'évoque dans un billet précédent), Michel Vuillermoz, Zinedine Soualem, Didier Bénureau, Isabelle Nanty et la troupe des Robins des Bois, à savoir Marina Foïs, Jean-Paul Rouve, Maurice Barthélémy et Pierre-François Martin Laval.

Le film est rythmé par des musiques très originales, de Bruno Coulais, qui nous avait régalés, entre autres, avec la bo des Choristes ^^

Mes amis mes amours

Non je ne vais pas parler de la série TV qui passe sur la une "Mes amis mes amours mes emmerdes" (que j'adore ! ), mais du film "Mes amis mes amours", tiré du roman éponyme de Marc Lévy, et que j'ai vu à la TV ce week-end.


En fait, j'ai revu ce film ce week-end. Lorsque je l'ai vu programmé sur le programme tv, je me suis dit "Chouette ! ", et puis en fait, j'ai réalisé que je l'avais déjà vu, et clairement, ça ne mérite pas un second visionnage ! 

Le film raconte l'histoire de deux amis, divorcés, qui vont s'installer ensemble à Londres, avec leur enfant, dans une grande maison, afin de se sentir un peu moins seuls et s'aider mutuellement à mieux vivre leur célibat.

j'avais beaucoup aimé le roman, un peu moins le film. je pense qu'il a été réalisé par un proche de Marc Lévy (Lorraine Lévy).

Le casting est sympa : on a, dans les deux rôles titres, le séduisant Pascal Elbé (miam!) et le moche mais chou Vincent Lindon.Et côté filles, Florence Foresti, la très belle Virginie Ledoyen et l'impayable et regrettée Bernadette Lafont.

Mère-fille mode d'emploi

Ce week-end, j'ai aussi vu un DVD donné par une amie (je comprends qu'elle s'en soit débarrassé lol), c'est "Mère-fille mode d'emploi".


Je m'attendais à un film sympa et léger, vu que c'est Lindsay Lohan qui y tient le rôle principal, et en fait pas du tout ! Le film raconte l’histoire compliquée d'une famille, où les rapports entre la grand-mère (Jane Fonda), la mère (Felicity Huffman) et la fille, n'ont rien de simples, et reposent sur des mensonges, des secrets. Pour tenter de rétablir la communication, la mère va envoyer la fille chez la grand-mère qui habite dans un trou perdu, le temps d'un été...

C'est nul, nul, nul, lourd, long ! Déception côté casting, on retrouve un Dermot Mulroney que j'adore d'habitude, et qui n'est pas à son avantage ! 

Philomena


Ce week-end, j'ai enfin vu "Philomena" ! 
Je l'avais raté au cinéma l'an dernier, ou au début de cette année, j'ai un doute, et je n'en avais entendu que du bien ! 
Et selon ma mère, qui l'avait vu, c'était quasiment le film de l'année à voir ! 

J'ai emprunté le DVD à mon travail, on l'avait acheté, et en fait, je l'ai gardé des semaines à côté de mon lecteur DVD sans le voir. Je n'avais jamais envie de le mettre, je mettais toujours autre chose à la place (notamment des épisodes de "Gossip girl", vu que je viens de finir le visionnage des six saisons) ! 

Bref, ça partait mal car j'avais envie de l'avoir vu, mais pas de le voir...

Et au final, ce qui devait arriver arriva.Quelle déception ! Je n'ai pas du tout aimé ce film ! 

Je ne dis pas que c'est un mauvais film, loin de là, mais il ne m'a ni intéressée, ni captivée.

Basé sur une histoire vraie, le film raconte l'histoire de Philomena Lee (Judi Dench), qui va partir à la recherche de son fils, qu'elle a eue très jeune alors qu'elle était au couvent, en Irlande, et que les sœurs ont fait adopter contre son gré...

Le film est assez triste, dans l'ensemble, malgré quelques pointes (trop rares) d'humour, et moi qui adore Judi Dench normalement, elle m'a déçue dans ce rôle là ! 

jeudi 10 juillet 2014

Etreintes brisées


Hier soir, la tv proposait un film d'Almodovar que je n'avais pas encore vu, je me suis donc mise devant "Étreintes brisées".


On ne va pas épiloguer trois heures dessus, je n'ai pas aimé, je l'ai trouvé long et inintéressant.
Il n'est pas aussi "space" que tous les autres, et n'a donc pas le "charme"  et l'originalité que l'on s'attend à trouver dans un film de ce réalisateur atypique.

On y retrouve trois des actrices fétiches du réalisateur, la sublime Penelope Cruz, Rossy De Palma et Lola Duenas.

mercredi 9 juillet 2014

L'Age de raison

Hier soir, à la tv, en seconde partie de soirée, passait un film que je ne connaissais pas. N'étant pas fatiguée, je me suis mise devant. Il s'agit de "L'Age de raison".


"L'Age de raison" est un petit film français sympathique, sans prétention mais très sympa et original ! Côté casting, une Sophie Marceau rayonnante et sublime, et un adorable Michel Duchaussois ! 

Le pitch ? Le jour de ses 40 ans Margaret (Sophie Marceau), femme d’affaires accomplie, reçoit un colis contenant des lettres, écrites par elle-même lorsqu'elle avait 7 ans, adressées à la future-femme qu'elle deviendrait à 40 ans. C'est l'occasion pour Margaret de faire un bilan sur sa vie, par rapport à ses ambitions de petite fille...

mardi 8 juillet 2014

Le Bossu

Hier soir, j'ai regardé "Le Bossu", qui passait à la tv.


A la base, j'adore l'ancienne version, avec Bourvil et Jean Marais, remarquable ! 

J'étais donc curieuse de voir à quoi une adaptation "moderne" pouvait ressembler ! 

En fait, c'est assez minable, surtout je pense si, comme moi, on connait et on aime l'original ! Il y a décidément des films qui ne souffrent pas de remake ! 

Donc personnellement, qu'on le regarde pour le film en lui même ou pour le comparer à l'ancien, je ne le conseillerais pas ! 

Les dialogues sont pauvres, se voulant drôles pour certaines répliques qui tombent en fait à plat, le jeu des acteurs n'a rien d'exceptionnel, il est même décevant, en comparaison de certains autres rôles qu'ils ont pu nous proposer.

Côté casting, c'est assez intéressant à noter quand même, puisqu'on retrouve, aux côtés de Daniel Auteuil dans le rôle principal, Vincent Perez, Fabrice Luchini, Marie Gillain et Philippe Noiret.

vendredi 4 juillet 2014

Deux frères



Hier soir, la télé proposait "Deux frères", de Jean-Jacques Annaud. Je ne l'avais pas vu au ciné, et l'avais toujours loupé à la télé, c'était donc l'occasion d'enfin, et finalement, le voir... ; ) 

Alors déjà, même si la fin est téléphonée, et l'histoire assez peu surprenante, il vaut le coup rien que pour les très belles images ! Et il n'y a rien de plus chou qu'un bébé tigre, si ce n'est deux bébés tigres ! ; ) 

Je ne connais pas trop le reste de l'oeuvre cinématographique de Jean-Jacques Annaud. Quand j'étais petite, un soir, je m'étais mise devant "L'Ours", qui passait à la télé. Je ne l'ai finalement pas vu car dès la première scène, celle de la mort tragique de la maman ours via ensevelissement sous des gravats de pierre (je ne spoile pas, c'est la première scène si mes souvenirs ne sont pas trop déformés), j'avais éclaté en sanglots devant la détresse de l'ourson désormais orphelin (si si, la détresse transparaissait bien, je vous assure! ).

Ma grand-mère, chez qui j'étais ce soir là, effrayée par cette crise de larmes, avait zappé, au profit du cirque, qui passait ce soir là sur une autre chaîne. Bon j'ai horreur de ça, mais ça partait d'une bonne intention ; ).

Bon en fait j'ai plus raconté ma vie que réellement parlé du film d'hier soir, mais tant pis, j'aime bien ce billet, je le laisse comme tel. Et si vous voulez vous faire une idée plus précise, allez voir le film ; ) . Et na ! 

jeudi 3 juillet 2014

Le Conte de la princesse Kaguya



J'ai profité du dernier jour de la fête du cinéma, mardi soir, pour aller voir "Le Conte de la Princesse Kaguya".


J'ai trouvé ce dessin animé joli et poétique.

Toutefois, je ne suis pas sûre qu'il soit destiné à un public enfantin.

Par le même réalisateur que "Le Tombeau des lucioles", ce conte exprime sans doute une morale, que je cherche encore à cerner...

Le pitch ? Adapté d’un conte populaire japonais "Le couper de bambou", un des textes fondateurs de la littérature japonaise, Kaguya, "la princesse lumineuse", est découverte dans la tige d'un bambou par des paysans. Elle devient très vite une magnifique jeune femme que les plus grands princes convoitent : ceux-ci vont devoir relever d’impossibles défis dans l’espoir d’obtenir sa main.

mardi 1 juillet 2014

On a failli être amies



"On a failli être amies" est un bon film français selon moi, il m'a plu ! 

Les deux rôles principaux sont tenus par Karin Viard (j'aime beaucoup cette actrice, et son jeu), et Emmanuelle Devos (remarquée l'an dernier dans le rôle principal du film "Violette").

A leurs côtés, Anne Le Ny, qui a réalisé le film, ainsi que Roschdy Zem.

Le film raconte la rencontre entre Marité (Karin Viard), formatrice dans un centre de formation pour adulte, et Carole (Emmanuelle Devos) , restauratrice malheureuse dans ses vies privées et professionnelle, en recherche de changement.

Ces deux femmes sont "à la croisée des chemins", comme il est dit plusieurs fois dans le film. Dans ce film, tous les personnages vont se croiser, s'aimer, se trahir, se déchirer, se raconter...