Je l'ai vu en français , et en 2D, tout comme le premier volet, et avec le même qui m'avait accompagnée voir le premier !
Le pitch : Dans un monde post-apocalyptique où la société a été réorganisée autour de 5 factions (Audacieux, Érudits, Altruistes, Sincères et Fraternels), Tris a mis au jour un complot mené par la faction dominante, les Érudits, dirigés par Jeanine. Abandonnant une ville à feu et à sang, à la recherche d’alliés, Tris et Quatre sont désormais traqués par les autorités. Jeanine décrète la loi martiale pour anéantir les Divergents, tandis que la guerre entre les factions prend de l’ampleur. Pourquoi les Divergents sont-ils une menace pour la société ? La découverte d’un objet mystérieux, hérité du passé, pourrait bien bouleverser l’équilibre des forces…
J'ai bien aimé le film, et le casting !
Shailene Woodley et Ansel Elgort, qui jouent ici des frères
et sœurs après avoir campé un couple inoubliable dans le très délicat « Nos
étoiles contraires » ; Miles Teller, le batteur inoubliable de « Whiplash » ;
la très classe Kate Winslet ; la sublime Naomi Watts !
Hier soir, pour clore le Printemps du cinéma, je suis allée voir "Still Alice".
Le pitch : Mariée, heureuse et mère de trois grands enfants, Alice Howland est un professeur de linguistique renommé. Mais lorsqu’elle commence à oublier ses mots et qu’on lui diagnostique les premiers signes de la maladie d’Alzheimer, les liens entre Alice et sa famille sont mis à rude épreuve. Effrayant, bouleversant, son combat pour rester elle-même est une magnifique source d’inspiration.
Bon, oscar amplement mérité pour Julianne Moore, dans le rôle principal, le rôle d'Alice, car elle est bouleversante !
Hier soir, j'ai entendu une salle sangloter collectivement, et je pense que ce film ne laisserait personne insensible !
On y apprend beaucoup de choses sur la maladie d'Alzheimer, notamment qu'elle peut être héréditaire, qu'elle peut-être précoce, et qu'elle peut toucher des gens très jeunes, comme Alice dans le film, qui en vient à dire qu'elle aurait "préféré un cancer"...
Le film nous montre l'impact de cette maladie sur la vie de la personne au quotidien, les troubles et inconvénients engendrés par cette dégénerescence, mais également l'impact de la maladie sur les proches du malade.
I feel like I'm a hopeless romantic
I can't help falling in love
I fiend for love
I want it, I crave it
I just can't get enough
But baby there you again, there you again making me love you
Yeah I stopped using my head, using my head let it all go
Got you stuck on my body, on my body like a tattoo
And now i'm feeling stupid, feeling stupid crawling back to you
So I cross my heart, and I hope to die, that i'll only stay with you one more night
And I know i've said it a million times
But i'll only stay with you one more night
Trying to tell you no, but my body keeps on telling you yes
Trying to tell you stop, but your lipstick got me so out of breath
I'd be waking up, in the morning probably hating myself
And i'd be waking up, feeling sastified but guilty as hell
Encore un livre qui m’a ravie, et dont je souhaite vous
parler : il s’agit de « L’Agence » de Lorraine Fouchet !
Le pitch : Qui n'a pas eu un jour la tentation de
changer de vie ? Combien ont osé franchir le pas ? Quand tout va de travers à
Paris, Juliette retourne dans ce Gers où, enfant, elle passait de si
merveilleuses vacances. Pétillante et dynamique, elle y crée Changer Tout, une
agence originale qui permettra à ceux qui le souhaitent - comme elle - de
relancer les dés, de tout changer, de s'acheter une nouvelle existence clés en
main. Une autre vie commence alors, avec des amis confiants, des voisins
méfiants, des Gascons pleins d'humour, et surtout les clients de l'Agence,
cocasses, touchants, surprenants : chacun va apporter à l'aventure sa part de
mystère et de rêve... et apprendre à Juliette qu'il est toujours possible
d'oser le bonheur.
Je dirai que ce livre est un de ces livres qui font du bien
quand on les lit ! Un peu comme "Juste avant le bonheur" (blogué récemment), ou "L'Echappée belle" et "Ceux qui savent comprendront", d'Anna Gavalda.
J'ai eu un gros coup de coeur pour ce texte qu'encore une fois je n'ai pas réussi à lâcher du début à la fin !
Le pitch : Jerry vit à Milton, petite ville américaine bien tranquille où il travaille dans une usine de baignoires. Célibataire, il n’est pas solitaire pour autant dans la mesure où il s’entend très bien avec son chat, M. Moustache, et son chien, Bosco. Jerry voit régulièrement sa psy, aussi charmante que compréhensive, à qui il révèle un jour qu’il apprécie de plus en plus Fiona - la délicieuse Anglaise qui travaille à la comptabilité de l’usine. Bref, tout se passe bien dans sa vie plutôt ordinaire - du moins tant qu’il n’oublie pas de prendre ses médicaments...
Film réalisé par Marjane Satrapi (à qui l'on doit les fameuses BD "Persépolis" et "Poulet aux prunes"), "The Voices" ravira les amateurs d'humour noir !
Côté casting Ryan Reynolds, Gemma Arterton et Anna Kendrick au programme !
Glauque et décapant, grâce à lui, vous ne verrez plus jamais vos animaux domestiques du même oeil...
Les dialogues sont drôles, les situations bien imaginées, le scénario ne cesse de nous faire rire, sursauter, les rebondissements inattendus sont nombreux !
La fin est au top du point de vue du politiquement incorrect !
Je recommande !
J'ai juste regretté que mon film soit gâché par deux personnes qui riaient à TOUTES les répliques, et forcément, ce n'était pas le genre à avoir un petit rire discret sous cape...
En bref, à voir, mais en dehors des jours de sorties Cotorep !
Hier soir, dans le cadre du Printemps du cinéma, je suis allée voir "Timbuktu".
Le pitch : Non loin de Tombouctou tombée sous le joug des extrémistes religieux, Kidane mène une vie simple et paisible dans les dunes, entouré de sa femme Satima, sa fille Toya et de Issan, son petit berger âgé de 12 ans. En ville, les habitants subissent, impuissants, le régime de terreur des djihadistes qui ont pris en otage leur foi. Fini la musique et les rires, les cigarettes et même le football… Les femmes sont devenues des ombres qui tentent de résister avec dignité. Des tribunaux improvisés rendent chaque jour leurs sentences absurdes et tragiques. Kidane et les siens semblent un temps épargnés par le chaos de Tombouctou. Mais leur destin bascule le jour où Kidane tue accidentellement Amadou le pêcheur qui s'en est pris à GPS, sa vache préférée. Il doit alors faire face aux nouvelles lois de ces occupants venus d’ailleurs…
J’avais envie de voir ce film depuis un bon moment, et
pourtant, j’ai failli ne pas pouvoir le voir !
C’était complet, j’ai dû « mon salut » à une jeune
fille qui revendait sur le parvis du ciné une place en trop…
Bon, c'est clairement un film que l'on ne va pas voir pour rêver ou se changer les idées, contrairement à d'autres.
Le film nous montre une bande d'illuminés psychopathes qui n'ont rien à faire de leurs journées et donc, un torchon de cuisine sur la tête en guise de coiffe, vont pourrir la vie de plein de pauvres gens qui n'ont rien demandé à personne, au nom d'un texte qu'ils ne sont pas foutus de lire et d'intepréter correctement...
On ne va pas parler de L'Oréal, mais ce petit post va quand même vous donner une astuce capillaire, pour avoir de super beaux cheveux, tous doux, en rien de temps et à moindre coût, ET avec un produit très naturel : le lait de coco !
Le lait de coco s'achète n'importe où, en grande surface ou en épicerie bio. Une seule boîte ou brique suffit à faire toute la tête.
Vous répartissez le contenu de la boîte sur vos cheveux, en étalant bien, et vous laissez poser une heure, soit sous film plastique transparent, soit sous une serviette chaude (il suffit de la passer 2 minutes au micro-ondes)^^.
Pendant ce temps, place à la détente...
Ensuite, il suffit de bien rincer, et de faire vos shampoings et soins habituels.
Laissez sécher à l'air libre, et vous verrez, le résultant est bluffant !
Les cheveux sont beaux, brillants, souples, un rêve !
Et si le lait de coco ne vous tente pas, il vous reste...Spontex ^^
Hier, pour entamer dignement Le Printemps du cinéma, je suis allée voir le dernier film de Tim Burton : "Big Eyes" !
Le pitch : BIG EYES raconte la scandaleuse histoire vraie de l’une des plus grandes impostures de l’histoire de l’art. À la fin des années 50 et au début des années 60, le peintre Walter Keane a connu un succès phénoménal et révolutionné le commerce de l’art grâce à ses énigmatiques tableaux représentant des enfants malheureux aux yeux immenses. La surprenante et choquante vérité a cependant fini par éclater : ces toiles n’avaient pas été peintes par Walter mais par sa femme, Margaret. L’extraordinaire mensonge des Keane a réussi à duper le monde entier. Le film se concentre sur l’éveil artistique de Margaret, le succès phénoménal de ses tableaux et sa relation tumultueuse avec son mari, qui a connu la gloire en s’attribuant tout le mérite de son travail.
J'ai beaucoup aimé ce film ! Cela m'a donné envie d'entamer des recherches pour mieux connaître le travail de cette artiste !
Le tandem des deux acteurs principaux, Christopher Waltz et Amy Adams, est au top !
Burton cette fois-ci, pour changer, donne plutôt dans le film réaliste ! Point de Johnny Depp ni d'Helena Bonham Carter dans des rôles de fous furieux !
Bien sûr, il y a quelques passages dans lesquels on reconnaît la patte de l'auteur, jamais loin en fait...
Ce week-end, j'a aussi vu un film en espagnol, en vo, parce que ça fait toujours du bien d'entendre parler espagnol (même si là, les sous titres étaient nécéssaires, car les acteurs parlaient très vite et avec de forts accents!).
Le film s'intitule "Tesis sobre un homicidio".
Le pitch : Roberto Bermudez, spécialiste du droit pénal, est convaincu que l'un de ses meilleurs élèves est l'auteur d'un meurtre brutal qui a eu lieu à la Faculté de droit. Déterminé à découvrir la vérité sur ce crime, il se lance dans une enquête qui va peu à peu devenir une obsession.
Ensuite, le vendredi soir, après le cinéma, je me suis faie une soirée tranquille à la maison, et j'ai regardé un film proposé par Gulli ce soir, là , une comédie musicale de Rob Marshall, "Annie".
Le pitch : Inspiré de la célèbre bande dessinee "Little Orphan Annie", creee en 1924 par Harold Gray, "Annie" raconte l'histoire d'une orpheline de dix ans qui doit se battre contre la mechancete et le despotisme de ses geoliers. Sa rencontre avec le milliardaire Olivier Wabucks va renverser la situation.
Le nom de Rob Marshalle ne m'était pas inconnu, et en effet, on peut lui assosicer "Nine", "Chicago", et bien d'autres !
Il y a une chanson de la BO du film qui est très connue, mais j'ignorais qu'elle venait de là : "Hard knock life", souvent reprise et remixée !
Côté casting, Kathy Bates et Alan Cumming enjolivent cette jolie petite histoire qui va très bien pour un vendredi soir !
Et pour la petite histoire, "Annie" est récemment ressorti au ciné dans une version 2014, et avec notamment Cameron Diaz, mais je ne l'ai pas vu, donc je ne vous en parlerai pas !
Vendredi, en sortant du travail et pour entamer mon week-end, je me suis fait un pti ciné !
Ca faisait du bien, car ça faisait (trop) longtemps !
Je suis allée voir "by myself" "L'Ennemi de la classe" (choix stratégique car ce film était diffusé pour la dernière semaine).
Le pitch :
À l’arrivée de leur professeur principal remplaçant, une classe de sympathiques lycéens se trouve confrontée à une discipline accrue et à un enseignement plus austère. Ce professeur d’allemand concentre vite toutes les critiques. Les élèves mènent ouvertement la fronde. La tension monte, et quand une jeune fille de la classe se suicide, la responsabilité du professeur parait indiscutable aux yeux de ses camarades. L’escalade des provocations ne fait alors que commencer, laissant les autres enseignants dépassés par les événements et les élèves face à toutes leurs violentes contradictions.
J'ai bien aimé ce film. Il n'est pas léger, mais je l'ai trouvé très intéressant, et un peu dans la même veine que le film "La Vague" '(adapté du livre éponyme de Todd Strasser).
Il était déjà passé plusieurs fois à la TV sans que je
puisse le voir, et même si je savais que j’allais regarder une daube, c’était l’enchainement
parfait, après une bonne douche, un masque pour les cheveux, et pour le visage ;
en plus, j’avais prévu de le regarder d’on œil en refaisant mon vernis à ongles !
Le pitch : À 8 ans, le petit John Bennett fit le voeu que son ours en peluche de Noël s’anime et devienne son meilleur ami pour la vie, et il vit son voeu exaucé. Presque 30 ans plus tard, l’histoire n’a plus vraiment les allures d’un conte de Noël. L’omniprésence de Ted aux côtés de John pèse lourdement sur sa relation amoureuse avec Lori. Bien que patiente, Lori voit en cette amitié exclusive, consistant principalement à boire des bières et fumer de l’herbe devant des programmes télé plus ringards les uns que les autres, un handicap pour John qui le confine à l’enfance, l’empêche de réussir professionnellement et de réellement s’investir dans leur couple. Déchiré entre son amour pour Lori et sa loyauté envers Ted, John lutte pour devenir enfin un homme, un vrai !
Verdict : c’était bien une daube, comme prévu, mais j’avoue
avoir souri face à certaines répliques inattendues et totalement politiquement
incorrectes ! Et bien sûr, je suis toujours atterrée devant ce genre de
film dans lesquels tout le monde semble trouver normal des choses inenvisageables !
Exemple, ici , tout le monde trouve cela normal qu’on ours en peluche soit
vivant, mais également qu’il travaille comme caissier dans un grand magasin,
fume, se drogue, et aie un langage ordurier et une gestuelle tendancieuse…
Côté casting, Mila Kunis et Mark Wahlberg nous avaient tous
les deux habitués à mieux choisir leurs rôles…Je pense notamment au film « Black
Swan » pour elle, et au mignon « Sexe entre amis ».
Hier soir, j'ai terminé de regarder "True Blood", en regardant l'épisode 10 de la saison 7, la der' de der' !
J'avoue avoir été déçue par cet épisode final, et même si, entre la série et moi, ça n'avait pas été le coup de foudre à la base, finalement, j'avais bien accroché !
Entre True Blood et moi, ça avait plutôt mal commencé ! J'ai vu le premier épisode une première fois, , j'ai détesté !
Quelques temps plus tard, un ami m'a proposé de retester, j'ai encore détesté ! J'étais choquée par le côté "gore" à tous points de vue de la série !
Enfin, ce même ami m'a proposé de rééssayer une dernière fois (le même qui m'a convaincue de regarder TOUUUUUTE la saison un de "Game of thrones", arguant qu'en un seul épisode, on ne pouvait pas se faire une vraie opinion de la série, d'où mon visionnage de toute la saison (faut vraiment que je l'aime, lol) ) . Et cette fois, on avait enchaîné avec le second, et le troisième aussi, je crois bien, et là, c'était trop tard, j'étais accro !
J'ai dévoré les saisons successives chaque fois que je les récupérais !
Le pitch : True Blood se passe en Louisiane, à Bon Temps plus exactement (bourgade imaginaire créé pour la série) une petite ville à la base sans histoires. La série se passe à notre époque, et dans le pitch de base, les vampires sont sortis de terre et coexistent (presque toujours ^^) pacifiquement avec les humains, grâce à la création du True Blood, un sang de synthèse qu'ils boivent pour se nourrir, et empêche que du coup ils tuent des humains pour cela. L'héroïne, Sookie Stackhouse, est serveuse au Merlotte's, le seul bar du coin, et elle a des dons particuliers depuis toujours qui la rendent "spéciale". L'histoire commence dès le premier épisode lorsqu'elle rencontre Bill, le vampire. Sa vie ne sera dès lors plus jamais la même...
Petite mise au point afin de présenter la série, et de rancarder ceux qui ne sauraient pas...Avec True Blood, on est loin des gentilles séries sur les vampires, telles que Buffy, ou Vampire Diaries. Les vampires scintillants de Twilight sont bien loin également ^^. Et si les vampires de True Blood ne semblent pas craindre l'ail, dont il n'est jamais question, un pieu en bois dans le coeur permet toujours de les tuer. Sauf qu'au lieu de se dissoudre en poussière, ils explosent, aspergeant tout ce qui est à leur portée de sang, ce qui fait que les alentours se retrouvent couverts d'hémoglobine et de tripes ! Et oui, c'est ça True Blood !
Je ne sais plus très bien s'il est aussi question du feu comme menace mortelle...
True Blood, c'est gore ! C'est LA série glam rock et gore sur les vampires !
Sur fond de BO assez rock, voire techno, on les voit tuer des humains, coucher avec, les tranformer, évoluer !
C'est gore de par les scènes à caractère assez chaud, mais c'est gore aussi de par les scènes à caractère violent et sanguinolent !
C'est choquant, décapant, politiquement incorrect, avec des dialogues incisifs, et des personnages jouisseurs, et jouissifs !
L'humour est très présent, et permet parfois de faire redescendre la tension !
L'émotion est également au rendez-vous, et j'ai parfois versé quelques larmes...
C'est une série pour laquelle il ne fait pas bon s'attacher longuement aux personnages... ; ) ^^.
En parlant des personnages, quelques mots à présent sur le casting.
L'héroïne, Sookie Stackhous, est campée par Anna Paquin, qui avait fait ses débuts au cinéma dans "L'Envolée sauvage", puis la fameuse "Leçon de piano" de Jane Campion. Perso, je l'avais déocuverte, brune et plus ronde à l'époque, dans un de mes teen movie préférés : "Elle est trop bien", dans lequel elle jouait la soeur du très craquant Freddie Prinze Jr. (le mari de Buffy dans la vie, vous suivez toujours?^^).
Dans la vie , elle est mariée à Stephen Moyer, le second rôle de la série, alias Vampire Bill. Je ne suis pas fan de l'homme, ni du personnage.
Je lui préfère l'irrésisitible Eric Northman, alias Alexander Skarsgard...
OK j'arrête !
Et en plus il lit...^^
Bon ok là j'arrête vraiment lol !
A savoir , mesdemoiselles, que dans la série le monsieur est souvent fort peu vêtu, ou rarement vêtu, et on en profite ^^.
Voilà donc dessiné sous vos yeux le trio principal de la série, et bien sûr, le coeur de Sookie va balancer régulièrement de l'un à l'autre !
A leurs côtés, toute une palette de personnages secondaires fort sympathiques !
Jason, alias un coureur de jupons invétéré et irrécupérable :
Tara, la meilleure amie de Sookie depuis toujours, et qui travaille dans le même bar qu'elle :
Sam, le gérant du Merlotte's :
Arlène, amie de Sookie et également serveuse au Merlotte's :
Lafayette, cousin de Tara, et cuisiner au Merlotte's :
Hoyt, le meilleur ami de Jason :
Pam , une vampire, progéniture d'Eric :
(La sublime) Jessica, devenue vampire par malchance :
Le shériff Andy Bellefleur :
Son cousin, Terry Bellefleur, ancien GI revenu de mission et souffrant de stress post-traumatique :
Et enfin Ginger, associée d'Eric, qui rêve de coucher avec ^^ (on lui pardonne):
Voilà brossée une petite galerie des principaux personnages !
Bon, vous avez le pitch, vous avez les personnages, en espérant que cela vous donne envie de tester !
La Rupture en 2015. Est-elle différente des ruptures
d’avant ?
Selon moi, oui, dans le sens où, avant, les gens prenaient
la peine de réparer ce qui s’était brisé. Maintenant, les gens jettent et
rachètent du neuf, et il en va des relations amoureuses comme des objets.
Une rupture, c’est en quelque sorte, à mes yeux, un peu
comme une cure de désintoxication. Il faut se déshabituer de cette personne qui
nous avait rendu accro à elle.
Une relation amoureuse, ce n’est rien de plus qu’une drogue. C’est pourquoi l'on développe, lors d’une rupture, les mêmes symptômes qu’un drogué en manque : on doit se sevrer, apprendre à faire avec cette privation.
Il faut arriver à continuer sans elle, voire même j’irai jusqu’à
dire revivre sans elle, réapprendre à vivre sans elle.
C’est-à-dire sans ses mains, son humour, ses bras protecteurs, son odeur, le
goût de sa peau (non cet article ne va pas basculer dans l’érotique, je vous
rassure ^^).
C’est aussi oublier le timbre de sa voix, son sourire, son
regard, la douceur de ses lèvres.
C'est se relever, réapprendre à marcher seule, comme un enfant, un pas après l'autre. Considérer chaque nouvelle journée passée seule comme une petite victoire.
C'est accepter de devenir transparente à ses yeux, tandis qu'il est là, juste sous notre nez, à nouer de nouvelles amitiés, si bien dans sa peau, l'air si bien et si heureux, tandis que l'on se débat pour garder la tête hors de l'eau, et tenter d'ignorer la douleur, et d'accepter le changement...
C'est faire son deuil. Accueillir sa peine, son chagrin, sa tristesse et ses larmes comme des amies, avec lesquelles on va faire un petit bout de chemin. Savoir ensuite leur dire au revoir, lorsque le moment est venu, lorsqu'on se sent prêt pour une éclaircie, et à laisser filtrer à nouveau dans sa vie un timide rayon de soleil...
En espérant ne pas l'avoir déjà blogué, un autre petit coup de coeur musical du moment !
Il s'agit de "Love me like you do", de Elie Goulding :
Ce titre fait partie de la BO du "sulfureux" "50 nuances de Grey" !
Elie Goulding, c'est elle :
Donc en plus d'avoir une voix superbe et atypique, elle est magnifique ! Voilà voilà voilà !
Pour le petit "potin people" c'est la copine du DJ Calvin Harris, et ils ont un titre en commun : "I need your love".
C'est une artiste que j'ai connu grâce à la BO du film "L'Amour dure trois ans" (que je vous conseille, ainsi que la lecture du livre dont il est adapté, roman éponyme de Frédéric Beigbeder).
BO pour laquelle elle intereprèete une reprise tout en sensibilité de ma chanson préférée au monde : "Your song".
Le week-end dernier, j'ai eu le temps, et la chance, de pouvoir livre quatre livres ! Cela faisait du bien, et cela faisait très longtemps que ça ne m'était pas arrivé !
L'un des quatre a été un gros coup de coeur : "Juste avant le bonheur" !
Le pitch : Cela fait longtemps que Julie ne croit plus aux contes de fées. Caissière dans un supermarché, elle élève seule sont petit Lulu, unique rayon de soleil d'une vie difficile. Pourtant, un jour particulièrement sombre, le destin va lui sourire. Ému par leur situation, un homme les invite dans sa maison du bord de mer, en Bretagne. Tant de générosité après des années de galère : Julie reste méfiante, elle n'a pas l'habitude.
Mais pour Lulu, pour voir la mer et faire des châteaux de sable, elle pourrait bien saisir cette main qui se tend...
Ce livre m'a émue aux larmes, il m'a emporté dans son sillage, transporté par son histoire !
Je me suis attaché à ces personnages si touchants, à leur parcours, leurs difficultés, je me suis réjouie avec eux de leurs petits bonheurs ! On veut connaître la suite de leur histoire, et, une fois le livre refermé, j'ai eu presque l'impression d'avoir perdu des amis...
Le livre est beau, l'histoire belle aussi dans sa simplicité !
J'ai lu ce livre d'un trait, d'un seul souffle, je ne suis jamais parvenu à le poser, l'alchimie a opéré entre nous dès la première page ! Dès les premieres lignes, le ton était donné : j'allais adorer !
Et même si je suis intimement persuadée qu'une telle histoire ne peut se produire dans la réalité, cela fait toujours du bien de rêver, et les livres sont là pour ça...
Deux petites astuces pour réaliser des gommages des lèvres maison, avec que des produits naturels, qu'on a toutes chez nous !
Alors on y va, je vous propose deux gommages différents, tous deux très efficaces !
Dans le sdeux cas, bouche pétale garantie, des lèvres toutes douces, à croquer (ou à embrasser, pour celles qui peuvent ) ^^ !
Pour le premier gommage, il vous faut du sucre en poudre et de la vaseline.
Pour le second, du sucre en poudre (toujours, c'est une constante des bons gommages lèvres) et du miel.
Si vous le souhaitez, vous pouvez, avant le gommage, commence rà éliminer les peaux mortes sur vos lèvres en utilisant une vieille brosse à dent.
Sinon, un peu de sucre et de vaseline, ou un peu de sucre et de miel sur un doigt, et vous obtiendrez le plus efficace des gommages de lèvres maison !
Gommez, hydratez ave cun baume à lèvre, et après, il n'y a plus qu'à trouver un crapaud à embrasser (en espérant qu'il se change en prince charmant) ^^
