mardi 28 février 2017

Coup de coeur livre !

Il y a quelques temps, j'ai lu un petit poche offert par ma mère : "Ralph's party", de Lisa Jewell.
 
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Le pitch : Deux copains d'enfance partagent un appartement. Débarque une ravissante colocataire. Il n'en faut pas plus pour que cette jolie maison victorienne du sud de Londres se retrouve sens dessus dessous, dans la plus pure tradition des vaudevilles amoureux. Résumons : au rez-de-chaussée, Ralph tombe amoureux fou de Jemima, qui croit, elle, être sous le charme de Smith, lequel nourrit une passion pour la bimbo du dernier étage. Mais cette dernière fricote avec le type du premier dont la femme a peut-être des vues sur... Bref, les portes claquent, les quiproquos abondent, les dialogues fusent. Dans cette comédie moderne au goût acidulé, l'amour, l'ambition, l'amitié sont au rendez-vous. Londres dévoile ses secrets les plus branchés. Et l'humour a bien entendu droit de... city.
 
En dehors du fait que j'ai envie de lire l'autre titre écrit par cet auteur, j'ai passé un très bon moment, avec un livre simple, mais bien écrit, drôle, dans lequel le lecteur est tenu en haleine jusqu'à la fin, et qui se révèle au finale une lecture très agréable tout du long et une très bonne surprise !
 
A lire !

lundi 27 février 2017

Spectacle

Le week-end dernier, je suis allée voir au Pavillon Noir, à Aix, un ballet d'Herbé Chaussard : "The Game".
HERVE CHAUSSARD - THE GAME
Le pitch : Pour Hervé Chaussard, le Pavillon Noir est comme une deuxième maison. Interprète pendant près de dix ans au sein du Ballet Preljocaj, chorégraphe de Joy présenté la saison dernière et cette année choisi comme artiste associé, il se lance aujourd’hui dans une odyssée philosophique. Avec, autour du berceau de sa nouvelle pièce The Game, Arthur Schopenhauer et Spinoza qui lui ont permis la création de différents outils de vie et de danse. D’où sa capacité à lire la philosophie avec l’oeil d’un chorégraphe et, inversement, de regarder la danse avec l’esprit d’un philosophe. D’où son envie d’écrire un pastiche philosophique « à la manière de » transposé en une partition chorégraphique. Là encore « à la manière de » puisque The Game prend la forme d’un jeu évolutif à cinq niveaux et cinq joueurs évoluant dans un univers de science-fiction. Tout est donc possible ! Comme de partir du postulat que la réalité virtuelle existe, que l’on peut changer les règles et proposer une virtualité réelle qui bouscule l’ordre du penser, du vivre et du danser. Transformations, changements, mutations, transpositions, substitutions… la pièce-jeu se fait l’écho des bouleversements du monde, dans le respect de règles strictes appliquées à toutes les composantes. La danse, bien sûr, mais aussi les lumières, la musique, le stylisme et la scénographie. Bref, créer un univers fictionnel ne doit rien au hasard, s’y projeter et y survivre non plus. Vous avez dit fiction ? 
Verdict : alors par où commencer ?
Déjà pourquoi être allée voir ce spectacle ? Tout simplement car j'ai gagné deux places pour y assister dans un loto !
Impressions en vrac :
- je m'interroge sur les éléments du ballet en lien avec Spinoza et Schopenhaeur
- la musique est forte, crispante et violente
- le jeu de lumières est souvent aveuglant
- le mec qui traine au milieu parmi les danseurs, parfois dj, parfois "on ne sait pas trop pourquoi il est là" est en fait le chorégraphe
- les tenues sont sujettes à débat : une tenue de ville simple pour l'un des danseurs, un vieux survêt dégueulasse pour l'autre, une robe mal ajustée et laissant voir une grosse culotte en coton blanc petit bateau pour l'une des danseuses, un peignoir/robe de chambre/jupe fendue pour le chorégraphe, avec chaussettes montantes et apparentes (ne manquaient que les charentaises selon moi pour parfaire la tenue)
- je ne comprendrai décidément jamais rien à la danse contemporaine et à ses intentions
- je ne savais pas que courir très vite en cercle c'était de la danse
- heureusement que cela ne durait que 40 minutes
- je pense que j'ai fait une crise de tétanie après le 1er tableau et j'ai vécu la suite du spectacle dans une sorte de transe
- je pensais parfois à ma liste de courses pendant le spectacle
- les têtes des acteurs faisaient peur, et associés au gesticulage imposé, c'était pire
En bref, vous aurez saisi l'idée, je ne suis pas fan...

vendredi 24 février 2017

La la land

Il y a quelques jours,  j'ai eu la chance de pouvoir aller voir "La la land" sur grand écran !
 
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Le pitch : Au cœur de Los Angeles, une actrice en devenir prénommée Mia sert des cafés entre deux auditions.
De son côté, Sebastian, passionné de jazz, joue du piano dans des clubs miteux pour assurer sa subsistance.
Tous deux sont bien loin de la vie rêvée à laquelle ils aspirent…
Le destin va réunir ces doux rêveurs, mais leur coup de foudre résistera-t-il aux tentations, aux déceptions, et à la vie trépidante d’Hollywood ?
 
Côté casting, le duo principal se compose d'Emma Stone et (le sublime) Ryan Gosling !
Les performances chantées et dansées des deux acteurs sont remarquables,  ils ont accompli un travail époustouflant, pour un résultat tout aussi enchanteur !
 
Verdict : sublime ! Magique ! Envoutant ! Etonnant ! Surprenant ! Phénoménal !
 
La B. O. est géniale aussi  ! Découvrez-la ici  :
 
 
On rêve pendant plus de deux heures, et si comme moi vous êtes fans de vieilles comédies musicales d'anthologie, comme "Chantons sous la pluie", le film est à la hauteur de ce genre de productions et ne vous décevra en rien !
 
Je suis partie un peu sceptique, car les seuls échos que j’en avais eu avait été des gens plutôt déçus, et qui ne comprenaient pas tout le tapage autour du film !
 
Moi, je l’ai vu en V.O. dans une salle pleine, et je pensais vraiment qu’à la fin, les gens allaient se lever et applaudir, c’eut été mérité !
 
A voir absolument, féérie au programme, détente assurée, on sort de là le sourire aux lèvres et le cœur léger !
 
 

jeudi 23 février 2017

Juste la fin du monde

Lors du Festival Télérama, j'ai aussi pu voir le dernier Xavier Dolan, que j'avais raté en salle : "Juste la fin du monde".
 
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Le pitch : Après douze ans d’absence, un écrivain retourne dans son village natal pour annoncer à sa famille sa mort prochaine.
Ce sont les retrouvailles avec le cercle familial où l’on se dit l’amour que l’on se porte à travers les éternelles querelles, et où l’on dit malgré nous les rancœurs qui parlent au nom du doute et de la solitude.
 
Côté casting : Gaspard Ulliel, Vincent Cassel, Nathalie Baye, Léa Seydoux et Marion Cotillard, bref, du beau monde là encore !
 
Premier verdict, en ce qui concerne le casting.
 
Gaspard Ulliel m'a insupporté, en individu incapable d'aligner des phrases de plus de deux mots ou deux onomatopées. Marion Cotillard nous horripile en bègue timide et rougissante, se tortillant les mains façon autiste nerveuse. Léa Seydoux ne sert toujours à rien. Vincent Cassel joue bien mais c'est loin d'être à sa meilleure performance. Et enfin, le meilleur pour la fin, Nathalie Baye (que je n'ai pas reconnue immédiatement à cause de sa transformation physique pour le film) : rien à dire. Grandiose et magistrale comme toujours. Une grande dame du cinéma français selon moi !
 
A propos du film ensuite, je suis sortie de là perplexe, après une fin sujette à diverses interprétations (et je ne vous révèlerai pas la mienne, afin de ne pas spoiler ceux qui n'auraient pas encore vu le film).

La B.O. est très soignée, et très agréable, elle rythme bien le film, est bien choisie, et j'ai redécouvert avec plaisir un morceau de Moby,"Natural blues" :
 
 
Juste avant de découvrir un morceau d'Exotica : "Une miss s'immisce".
 
 
Verdict : le cinéma de Dolan reste très particulier. Et celui-ci ne déroge pas à la règle. dans le film, les gros plans voire les très gros plans sont à l'honneur. Et l'on sort de ce repas de famille aussi tendu que les protagonistes.
 
Le film est, selon moi, aussi énigmatique que "Tom à la ferme", et reste moins bon que "Mummy", qui est, à mes yeux, LE Dolan à voir si vous ne devez en voir qu'un !
 

mercredi 22 février 2017

La Femme au tableau

Hier soir, j'ai regardé un film que j'avais raté au cinéma : "La Femme au tableau".
 
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Le pitch : Lorsqu’il fait la connaissance de Maria Altmann, un jeune avocat de Los Angeles est loin de se douter de ce qui l’attend… Cette septuagénaire excentrique lui confie une mission des plus sidérantes : l’aider à récupérer l’un des plus célèbres tableaux de Gustav Klimt, exposé dans le plus grand musée d’Autriche, dont elle assure que celui-ci appartenait à sa famille ! D’abord sceptique, le jeune avocat se laisse convaincre par cette attachante vieille dame tandis que celle-ci lui raconte sa jeunesse tourmentée, l’invasion nazi, la spoliation des tableaux de sa famille, jusqu’à sa fuite aux Etats-Unis. Mais l’Autriche n’entend évidemment pas rendre la "Joconde autrichienne" à sa propriétaire légitime… Faute de recours, ils décident d’intenter un procès au gouvernement autrichien pour faire valoir leur droit et prendre une revanche sur l’Histoire.
 
Côté casting, du beau monde : Helen Mirren, Daniel Brühl, Ryan Reynolds, Katie Holmes...
 
J'avais beaucoup aimé du même réalisateur "Le Discours d'un roi", et "Le Majordome".

Là encore, j'ai beaucoup aimé ce film, à la fois intéressant et très émouvant.

Helen Mirren est parfaite, comme d'habitude !
 
Quant à Ryan Reynolds, si l'on s'était habitué à la voir dans des films un peu déjantés comme "The Voices" (que j'avais adoré!), ou encore "Deadpool" (que j'avais détesté), force est de reconnaître qu'il demeure crédible dans des productions plus ambitieuses et plus sérieuses.

A voir !

lundi 20 février 2017

Coup de coeur littéraire

Tout à l’heure, j’ai fini un livre que j’ai adoré : « Tu comprendras quand tu seras plus grande », de Virginie Grimaldi.
 
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Le pitch : Quand Julia débarque comme psychologue à la maison de retraite Les Tamaris, elle ne croit pas plus au bonheur qu’à la petite souris. Pire, une fois sur place, elle se souvient qu’elle ne déborde pas d’affection pour les personnes âgées. Et dire qu’elle a tout plaqué pour se sauver, dans tous les sens du terme. Au fil des jours, Julia découvre que les pensionnaires ont bien des choses à lui apprendre.
Difficile pourtant d’imaginer qu’on puisse reprendre goût à la vie entre des papys farceurs, des mamies fantaisistes et des collègues au cœur brisé... Et si elle n’avait pas atterri là par hasard ? Et si l’amour se cachait là où on ne l’attend pas ? C’est l’histoire de chemins qui se croisent. Les chemins de ceux qui ont une vie à raconter et de ceux qui ont une vie à construire. C’est une histoire d’amour(s), une histoire de résilience, une ode au bonheur.
Un humour décapant, des personnages attachants et une profonde humanité. En le refermant, on n’a qu’une envie : celle de se délecter des petits bonheurs qu’offre la vie.
 
J’avais découvert cet auteur il y a peu de temps via son titre « Le Premier Jour du reste de ta vie », que j’avais adoré aussi !
En ce qui concerne cet autre opus, j’ai envie de l’acheter, comme le premier, de le prêter, ou alors d’en parler mais de conserver jalousement mon exemplaire !
 
Vous l'aurez compris, j'ai adoré !
 
J'en ai parlé à ma meilleure amie, en lui disant que j'avais versé beaucoup de larmes en le lisant, et eu les yeux humides souvent sinon.
Elle m'a répondu "Mais je viens de lire le pitch, ça a l'air drôle pourtant ?!".
 
Oui , c'est AUSSI drôle, MAIS...
 
Il y a beaucoup d'amour dans ce livre, sous toutes les formes qu'il peut recouvrir, familial, amical, passion, etc...
 
Et vous connaissez ma sensibilité à fleur de peau, et mon cœur de guimauve...
 
Alors j'ai souri, et j'ai ri aussi, mais j'ai également pleuré et eu la gorge nouée de nombreuses fois.
 
Je me suis régalée, je l'ai dégusté, dévoré mais ne voulait pas le finir !
 
Je vais m'empresser d'aller voir si l'auteur en a publié d'autres !
 
A lire absolument, bonheur garanti !

vendredi 17 février 2017

Oups j'ai raté l'arche !

Ce week-end, j'ai regardé un dessin-animé sympa, conseillé par un ami : "Oups, j'ai raté l"arche" !
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Le pitch : La fin du monde est proche : le Grand Déluge arrive. Heureusement, Noé a construit une Arche pour y accueillir tous les animaux. Tous... sauf Dave et son fils Finny, qui appartiennent à la race des Nestrians -de curieuses et adorables créatures que personne n'a jugé utile d'inviter à bord de l'Arche.
Grâce à l'aide involontaire de deux farouches Grymps, Hazel et sa fille Leah, les Nestrians parviennent à embarquer discrètement. Mais, au moment du départ, Finny et Leah tombent accidentellement du bateau. Ils vont dès lors devoir s'unir pour échapper au Déluge et survivre dans un monde hostile et peuplé de prédateurs sauvages.
J'étais très sceptique mais très bonne surprise au final  !
A voir !

jeudi 16 février 2017

Coup de coeur livre !

Il y a quelques temps, je ne sais plus si j'en avais parlé ou pas sur ce blog, j'avais lu "Heureux comme un danois".
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Le pitch : Les sondages sont formels : le Danemark se voit comme le pays le plus heureux du monde. Les Danois sont les champions du bonheur. Qu'est-ce qui, dans leur culture, leur éducation, leur caractère, les rend aussi aptes au bien-être ? Quelle philosophie de vie ? Quel secret ?Malene Rydahl, Danoise de naissance et Française d'adoption, a enquêté et réfléchi à cette énigme. Avec Heureux comme un Danois, elle livre le trousseau des dix clefs qui lui semblent ouvrir les portes de l'Eden.
Les anecdotes les plus savoureuses et les statistiques les plus rigoureuses font de ce petit précis philosophique et concret un manuel du bonheur au quotidien. Ce « mode d'emploi de l'allégresse » ne donne aucune leçon mais un esprit français ne manquera pas d'y trouver l'antidote à la délectation morose hexagonale. Au fil de ces Dix Commandements - parmi lesquels « Je ne crains pas mon prochain (la confiance) », « J'ai une place dans la société (l'éducation) », « Je suis libre de trouver mon chemin (La liberté/autonomie personnelle) », « Je peux devenir qui je veux (L'égalité des chances) », « Je vais mieux si tu vas bien » (solidarité et respect de l'autre) - Malene Rydahl illustre la théorie de son parcours personnel et confère à son traité une dimension pratique.
Heureux comme un Danois vaut donc pour sa double perspective : il est à la fois une plongée humoristique et critique dans le Danemark contemporain, ses mœurs, sa tradition, son fonctionnement, et une leçon de savoir-être heureux à l'usage de chaque être humain. Le parfait guide du savoir-jouir pour des Français si pessimistes.

Cela m'avait beaucoup intéressé, et cela explicitait notamment ce terme très à la mode qui fleurit un peu partout en ce moment, notamment sur le net et les étals de nos librairies : le "hygge" (prononcer "hou-gueu", ou "hoo-ga".)
Suite à cela, j'ai voulu approfondir ce qu'était plus précisément le "hygge", terme qui semblait recouvrir une philosophie qui me semblait séduisante...
J'ai donc lu "Le Grand Livre du hygge - Mieux vivre : la méthode danoise" !
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Le pitch : Pourquoi les Danois sont-ils les gens les plus heureux du monde ? Pour Meik Wiking, directeur de l'Institut de recherche sur le bonheur à Copenhague, la réponse est simple : grâce au hygge. Sans équivalent français, le terme « hygge » (à prononcer « hoo-ga ») évoque les notions de confort, du vivre-ensemble et de bien-être profond. « Le hygge est une ambiance, une véritable atmosphère » explique Meik Wiking.
« C'est profiter de ceux que l'on aime en passant du temps auprès d'eux, avec ce sentiment de se sentir chez soi, en sécurité. » Le hygge, c'est ce que vous éprouvez lorsque vous vous prélassez sur votre canapé, des chaussettes douillettes aux pieds, emmitouflé dans une couverture douce tout en observant par la fenêtre les éclairs d'un gros orage. C'est le bonheur que vous ressentez lorsque vous partagez une conversation et un délicieux repas avec vos proches autour d'une table ornée de bougies.
C'est la chaleur des premiers rayons de soleil sur votre visage un jour de ciel bleu. Le Livre du Hygge vous invite à découvrir les grands principes de cette philosophie de vie danoise, avec de nombreux conseils et idées pour l'incorporer à votre quotidien : Se mettre à l'aise et faire un break ; Profiter de l'instant présent (et couper son téléphone) ; Éteindre les lumières et profiter de la lueur des bougies ; Prendre soin de ses relations et passer plus de temps avec ses proches ; S'autoriser des petits écarts et mettre de côté les principes de bonne santé (les gâteaux font bien partie du hygge !) Vivre chaque jour, et chaque café, comme si c'était le dernier.
Verdict : j'ai beaucoup aimé ce livre, il m'a vraiment séduite et intéressée !
Au final, le hygge se rapproche beaucoup, selon moi, des idées de simplicité volontaire, minimalisme, profiter du jour présent, vivre dans le présent, faire de petites choses qui nous font du bien, voir les gens qui comptent etc...
Lire, par exemple, un thé à portée de main, bien au chaud sous un polaire, c'est complètement hygge !
Et je serai tentée de dire que la lecture de cet ouvrage est hygge aussi !
Tout le long, je me suis sentie comme accompagnée, enveloppée dans une douce bienveillance, avec l'envie de me blottir dans un plaid un jour de pluie, d'allumer des bougies autour de moi, de recevoir les amies pour une soirée jeux, en bref, de renouer avec des plaisirs simples et gratuits que nous offre la vie.

De profiter de la vie, tout simplement...
A lire, et à faire" découvrir !
A diffuser, et à plébisciter !
Bonne lecture, et surtout...bon hygge !

mercredi 15 février 2017

Coups de coeur pubs !

Deux nouvelles pubs découvertes au ciné !
Une pour Carte noire :
Et une pour Sushi shop :
Bon visionnage !

mardi 14 février 2017

Coups de coeur musicaux !

Quelques "nouveaux" coups de cœur musicaux !
"Home USA", de Fats Domino :

"Smoke gets in your eyes", de The Platters :


"King of the road", de Randy Travis :


"On my shoulders", de The Do :


"Baby get down", de Tomi :



Et trois morceaux de Justice Crew :

"Boom boom"  :


"Rise and fall"  :


"Everybody" :


Bonne écoute !




vendredi 10 février 2017

Julieta

Lors du Festival Télérama, j'ai aussi vu "Julieta", le dernier Almodovar, que j'avais raté lors de sa sortie en salle.
 
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Le pitch : Julieta s’apprête à quitter Madrid définitivement lorsqu’une rencontre fortuite avec Bea, l’amie d’enfance de sa fille Antía la pousse à changer ses projets. Bea lui apprend qu’elle a croisé Antía une semaine plus tôt. Julieta se met alors à nourrir l’espoir de retrouvailles avec sa fille qu’elle n’a pas vu depuis des années. Elle décide de lui écrire tout ce qu’elle a gardé secret depuis toujours.
Julieta parle du destin, de la culpabilité, de la lutte d’une mère pour survivre à l’incertitude, et de ce mystère insondable qui nous pousse à abandonner les êtres que nous aimons en les effaçant de notre vie comme s’ils n’avaient jamais existé.
 
Côté casting, le tandem principal est remarquablement interprété par Emma Suarez et Adriana Ugarte, aussi talentueuses l'une que l'autre !
 
J'ai beaucoup aimé ce film !
 
Les Almodovar sont rarement anodin, souvent choquant, déconcertant, toujours dépaysants !
 
Ils nous sortent de notre univers, notre quotidien, notre zone de confort et nous conforte à des personnages atypiques et des contextes inattendus.
 
Le célèbre réalisateur espagnol bous livre ici un superbe portrait de femme et accomplit le tour de force de "switcher" d'actrice de façon incroyable, et presque magique, dans l'une des scènes les plus importantes du film !
 
A ne pas manquer !

jeudi 9 février 2017

Victoria

Lors du Festival Télérama, je voulais aussi voir le film "Victoria", que j'avais raté lors de sa sortie.
Je l'ai raté aussi durant ce festival mais récupéré sur clé, du coup j'ai finalement, et enfin, pu le voir !
 
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Le pitch : Victoria Spick, avocate pénaliste en plein néant sentimental, débarque à un mariage où elle y retrouve son ami Vincent et Sam, un ex-dealer qu’elle a sorti d’affaire. Le lendemain, Vincent est accusé de tentative de meurtre par sa compagne. Seul témoin de la scène, le chien de la victime.
Victoria accepte à contrecœur de défendre Vincent tandis qu'elle embauche Sam comme jeune homme au pair. Le début d’une série de cataclysmes pour Victoria.
 
Côté casting : Virginie Efira (que j'adore, en temps normal), Vincent Lacoste, Melvil Poupaud.
 
Verdict : comme "Paterson", grosse perte de temps, le festival démarrait mal décidément !
 
Le film ne présente aucun intérêt, je l'ai subi, Virginie Efira campant une nympho dépressive cela n'est pas enthousiasmant, et n'étant pas fan de Vincent Lacoste (qui restera toujours pour moi un des "beaux gosses" du film éponyme), cela n'a pas aidé !
 
Un ami l'ayant vu avant moi me l'avait déconseillé, et j'aurai dû l'écouter.

Mais tout de même contente de ne pas avoir payé, même 3,50 euros durant le festival, pour le voir !
 
Oubliez même l'idée de vous assoir devant !

mercredi 8 février 2017

Paterson

Lors du Festival Télérama, un des films que je suis allée voir était "Paterson".
 
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Le pitch : Paterson vit à Paterson, New Jersey, cette ville des poètes, de William Carlos Williams à Allen Ginsberg, aujourd’hui en décrépitude. Chauffeur de bus d’une trentaine d’années, il mène une vie réglée aux côtés de Laura, qui multiplie projets et expériences avec enthousiasme et de Marvin, bouledogue anglais. Chaque jour, Paterson écrit des poèmes sur un carnet secret qui ne le quitte pas…
 
Côté casting, que des inconnus pour moi : Adam Driver, Golshifteh Farahani, Rizan Manji.
 
Verdict : c'était nul au possible !
 
Je développe.
 
D'une, le réalisateur ne s'est pas foulé en situant l'action à Paterson, avec un personnage dont le prénom est Paterson et dont le métier consiste à conduire un bus libellé, je vous le donne en mille..."Paterson" !
 
Et oui aussi, quand on a trouvé un filon on fonce !
 
Et notre ami Paterson, quand il ne conduit pas son bus, il subit sa femme, fantasque et insupportable, ou il écrit des poèmes sur les allumettes de sa cuisine...
 
En bref, le personnage le plus intéressant et l'acteur le plus remarquable du film est...le chien !
 
Passez votre chemin et ne perdez pas votre temps !                                         

mardi 7 février 2017

La Prochaine fois je viserai le coeur

Il y a quelques jours, j'ai vu un film que j'avais raté au cinéma, "la Prochaine Fois je viserai le cœur".
 
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Le pitch : Pendant plusieurs mois, entre 1978 et 1979, les habitants de l’Oise se retrouvent plongés dans l’angoisse et la terreur : un maniaque sévit prenant pour cibles des jeunes femmes.
Après avoir tenté d’en renverser plusieurs au volant de sa voiture, il finit par blesser et tuer des auto-stoppeuses choisies au hasard. L’homme est partout et nulle part, échappant aux pièges des enquêteurs et aux barrages. Il en réchappe d’autant plus facilement qu’il est en réalité un jeune et timide gendarme qui mène une vie banale et sans histoires au sein de sa brigade. Gendarme modèle, il est chargé d’enquêter sur ses propres crimes jusqu’à ce que les cartes de son périple meurtrier lui échappent.
 
Côté casting, les deux rôles principaux sont tenus par Guillaume Canet et Anna Girardot.
 
Le film s'inspire de l'affaire Alain Lamare et retrace la vie de celui que l'on avait sombrement surnommé "le tueur de l'Oise".
 
Verdict : un film sombre mais bien construit, dans lequel la tension monte petit à petit avant le dénouement.
 
Une très belle performance de Guillaume Canet en tueur en série, homme insensible, solitaire et déconnecté, rapace à l'affut de ses proies.
 
A voir.

lundi 6 février 2017

Coup de coeur artiste !

Focus sur un artiste que je découvre peu à peu, et que j'apprécie de plus en plus, alias Julien Doré !
 
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Julien Doré est un artiste français, découvert dans la téléréalité "La Nouvelle Sar", sur M6, il y a quelques années de cela, en 2007 très exactement.

Depuis, il n'a pas arrêté d'enchainer les succès !
 
C'est un auteur-compositeur-interprète-acteur et chanteur français !
 
J'aime son style, ses mélodies, même si certains de ses morceaux se ressemblent beaucoup entre eux et que je ne comprends pas toujours toutes les paroles...
 
Quelques un de ses morceaux que j'adore :
 
"Les Limites" :
 
 
 
"Pour un infidèle", en duo avec Cœur de Pirate :
 
 
 
"Paris-Seychelles" :
 
 
"Le Lac" :
 
 
 
"On attendra l'hiver" :
 
 
"Sublime et silence" :
 
 
Et sa reprise de "Moi, Lolita" d'Alizé :
 
 
 
Bonne écoute !

vendredi 3 février 2017

Mr Nobody

Le week-end dernier, j'ai vu, un peu par hasard, "Mr Nobody".
 
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Le pitch : Un enfant sur le quai d'une gare. Le train va partir. Doit-il monter avec sa mère ou rester avec son père ? Une multitude de vies possibles découlent de ce choix. Tant qu'il n'a pas choisi, tout reste possible. Toutes les vies méritent d'être vécues.
 
Côté casting : très belle performance de Jared Leto qui joue 4 personnages à la fois !
A ses côtés : Rhys Ifans, Sarah Polley, Diane Kruger.
 
Verdict : WOW !
 
Le film, s'i nous laisse quelque peu dubitatif au tout début, quant aux 2h35 qui nous attendent, nous entraine ensuite dans son sillage !
 
C'est une histoire incroyable, un montage époustouflant, une performance d'acteur remarquable !
 
Le film, selon moi, ne ressemble à rien de ce qui existait, rien de ce qui existe déjà !
 
Et que dire de la B.O., plus que soignée, joussive presque, tellement elle nous propose aux moments les mieux choisis des morceaux qui font partie de nos quotidiens et qui méritent tant d'être réécoutés, redécouverts, et sortis de l'oubli dans lequel certains sont parfois tombés...
 
 
 
A voir absolument !

jeudi 2 février 2017

Attache-moi !

Un soir de la semaine dernière, j'ai regardé un Almodovar que je ne connaissais pas encore : "Attache-moi" !
 
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Le pitch : Ricki, jeune homme amoureux de l'indifférente Marina, l'enlève, puis la séquestre pour lui démontrer son amour et provoquer chez elle, ce dont il est sûr, un sentiment amoureux vis-à-vis de lui.
 
Côté casting : le sulfureux tandem Victoria Abril-Antonio Banderas dans le duo principal.

Verdict : c'est un Almodovar de plus, à la fois fantasque et toujours provocant.
 
C'est un univers dérangeant, mais je trouve ses films dépaysants et relaxants !
 
A voir !

mercredi 1 février 2017

45 ans

Il y a quelques jours, un soir, j'ai regardé le film "45 ans" que l'on m'avait donné sur clé.
 
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Le pitch : Kate et Geoff Mercer sont sur le point d’organiser une grande fête pour leur 45e anniversaire de mariage. Pendant ces préparatifs, Geoff reçoit une nouvelle : le corps de Katya, son premier grand amour, disparu 50 ans auparavant dans les glaces des Alpes, vient d’être retrouvé. Cette nouvelle va alors bouleverser le couple et modifier doucement le regard que Kate porte sur son mari…
 
Côté casting : Charlotte Rampling et Tom Courtenay dans les deux rôles principaux.
 
Verdict : c'est lent, nul, un peu incompréhensible, voire sans queue ni tête.
Passez votre chemin  !