vendredi 31 mars 2017

Autres coups de coeur musicaux !

Quelques nouveaux coup de cœur musicaux !
 
Bastille, avec "Blame" :
 
 
 
Le dernier Ed Sheeran, "Shape of you" :
 
 
Deux morceaux d'Imany :
 
"Lately" :
 
 
Et "Silver lining" :
 
 
Puis Aline, avec "Je bois et puis je danse"  :
 
 
Major Lazer, avec "Light it up" :
 
 
Et trois plus anciennes que je réécoute régulièrement :
 
Morcheeba, avec "Blindfold" :
 
 
"Sway", de Bic Runga :
 
 
Et enfin "Good morning baby", de Bic Runga et Semisonic :
 
 
Ces deux derniers morceaux, je les avais découverts à la B.O. d'"American Pie1". 
 
Et enfin Breakbot, avec "Baby I'm yours" :
 
 
Bonne écoute !

jeudi 30 mars 2017

Coups de coeur pubs !

Deux pubs, découvertes récemment à la télé, et que j'ai beaucoup aimées !
 
La dernière de Twinings, qui n'est pas rappeler Lewis Caroll et son "Alice au pays des merveilles", et plus précisément, le thé chez le Chapelier toqué...
 
 
 
Et une autre qui me fait bien rire, pour le site Monshowroomprivé.com :
 
 
Bon visionnage !
 

mercredi 29 mars 2017

Jamais sans ma fille

Hier soir, j'ai regardé "Jamais sans ma fille", qui était retransmis à la télévision et que je n'avais encore jamais vu.
 
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Le pitch : En 1984, Betty Mahmoody accepte de suivre son mari Moody d'origine iranienne dans son pays d'origine pour les vacances. Très vite, l'homme est influencé par le fondamentalisme ambiant et refuse de la laisser repartir vers les Etats-Unis avec la fille du couple.
 
Côté casting : Sally Field, Alfred Molina, Sheila Rosenthal      .
 
Verdict : wow, quel film !
 
Je suis restée scotchée devant pendant 2 heures !          
 
ce film reste encore cruellement d'actualité !
 
Il démontre bien les dérives et l'aveuglement que peuvent entrainer la religion, et plus particulièrement le fanatisme !                 
 
J'ai été happée par le combat de cette femme, cette course contre la montre à la poursuite de sa libertée retrouvée...
 
A voir absolument !          

mardi 28 mars 2017

Rock'n'roll

Hier soir, je suis allée voir "Rock'n'roll", de et avec Guillaume Canet.
 


Le pitch : Guillaume Canet, 43 ans, est épanoui dans sa vie, il a tout pour être heureux.. Sur un tournage, une jolie comédienne de 20 ans va le stopper net dans son élan, en lui apprenant qu’il n’est pas très « Rock », qu’il ne l’a d’ailleurs jamais vraiment été, et pour l’achever, qu’il a beaucoup chuté dans la «liste» des acteurs qu’on aimerait bien se taper… Sa vie de famille avec Marion, son fils, sa maison de campagne, ses chevaux, lui donnent une image ringarde et plus vraiment sexy… Guillaume a compris qu’il y a urgence à tout changer. Et il va aller loin, très loin, sous le regard médusé et impuissant de son entourage.
 
Côté casting, du beau monde !
 
Guillaume Canet, Marion Cotillard, Gilles Lellouche, Philippe Lefebvre, Camille Rowe, Kev Adams, Ben Foster, Maxim Nucci, Yvan Attal, Johnny et Laeticia Hallyday...
 
Verdict : je ne savais pas top à quoi m'attendre, mais je ne m'attendais certainement pas à cela !
 
J'ai adoré !!!!
 
Le film est bien réalisé, bien interprété, plein de surprise !
 
Je dirai qu'il se scinde clairement en deux parties, la seconde prenant le contre-pied total de la première !
 
Guillaume Canet pratique l'autodérision avec succès, sans toutefois tombé dans le cliché ou la caricature.
 
On sent bien que le film mêle étroitement fiction et réalité.
 
La B.O. est très soignée, je l'ai adorée aussi !
 
 
Enfin, les personnages sont bien campés, Canet est exceptionnel à mon goût.

Il nous propose dans ce film une transformation physique phénoménal,  et on ne peut que saluer le talent de ses maquilleurs.
 
Marion Cotillard, quant à elle, n'a besoin ni de maquillage ni de chirurgie pour nous éblouir telle qu'elle au naturel !
 
la veinarde !
 
A voir absolument !
 

lundi 27 mars 2017

L'Enfer

Hier soir, il y avait une soirée dédiée à Claude Chabrol sur Arte.

J'aime beaucoup les films de ce réalisateur en général.

J'ai donc regardé le premier, "L'Enfer", que je n'avais jamais vu.
Le pitch : L'enfer, c'est celui de Paul, homme comblé par une femme magnifique et un travail qui lui plait, mais qui peu à peu devient terriblement jaloux et nous entraîne dans sa folie.
Côté casting : François Cluzet, Emmanuelle Béart, Marc Lavoine, Nathalie Cardone, Dora Doll et Jean-Pierre Cassel.
Les acteurs y étaient jeunes et beaux. François Cluzet très séduisant, rivalise de charme avec la sublime et pétillante Emmanuelle Béart.
Verdict : j'ai beaucoup aimé ce film !
Sur la fin, on ne sait plus ce qui est vrai et ce qui est faux, où est la réalité et où se situe la folie.
On ne distingue plus les faits des hallucinations et élucubrations de François Cluzet.
A voir absolument !

vendredi 24 mars 2017

Valley of love

Le week-end dernier, j'ai aussi eu l'occasion de voir "Valley of love".


Le pitch : Isabelle et Gérard se rendent à un étrange rendez-vous dans la Vallée de la mort, en Californie. Ils ne se sont pas revus depuis des années et répondent à une invitation de leur fils Michael, photographe, qu'ils ont reçue après son suicide, 6 mois auparavant.
Malgré l'absurdité de la situation, ils décident de suivre la programme initiatique imaginé par Michael...
Côté casting : un duel Isabelle Huppert-Gérard Depardieu au programme.
Verdict : j'ai détesté aussi, je n'ai pas compris toute l'historie et ne vois pas, en général, l'intérêt du film...

jeudi 23 mars 2017

The edge of tomorrow

Le week-end dernier, j'ai regardé "The edge of tomorrow", qu'un ami m'avait fait passer sur clé USB.
 
 

Le pitch : Dans un futur proche, des hordes d'extraterrestres ont livré une bataille acharnée contre la Terre et semblent désormais invincibles: aucune armée au monde n'a réussi à les vaincre. Le commandant William Cage, qui n'a jamais combattu de sa vie, est envoyé, sans la moindre explication, dans ce qui ressemble à une mission-suicide. Il meurt en l'espace de quelques minutes et se retrouve projeté dans une boucle temporelle, condamné à revivre le même combat et à mourir de nouveau indéfiniment…
 
Côté casting : Tom Cruise et Emily Blunt forment le tandem principal du film.
 
Verdict : j'ai détesté, comme soupçonné dès les premières images !
 

mercredi 22 mars 2017

Coup de coeur littéraire !

La semaine dernière, j'ai terminé la lecture des "Raisins de la colère", de Steinbeck, un classique qui manquait à mon arc !
 
Afficher l'image d'origine
 
Le pitch : L'intrigue se déroule pendant la Grande Dépression (crise de 1929) et le lecteur suit les aventures d'une famille pauvre de métayers, les Joad, qui est contrainte de quitter l'Oklahoma à cause de la sécheresse, des difficultés économiques et des bouleversements dans le monde agricole. Alors que la situation est quasiment désespérée, les Joad font route vers la Californie avec des milliers d'autres Okies (habitants de l'Oklahoma), à la recherche d'une terre, de travail et de dignité.

De l'auteur, j'avais déjà lu "La Perle", "Le Poney rouge", et "Des souris et des hommes" (en français ET en anglais pendant ma scolarité, s'il vous plait ! ).
 
Pour l'anecdote, j'ai commencé ce livre il y a longtemps, il était dans mon tas des livres "à lire", ou que j'avais envie de lire;
je l'ai entamé, et longtemps posé. J'ai longtemps pensé l'arrêter.
Et puis je suis finalement tombé dedans.
Et là, impossible de m'en détacher !
Lui et moi, on ne se quittait plus, on était devenus inséparables !
 
Le midi, parfois même dans le bus, lorsque j'avais de l'attente, hop, Steinbeck m'accompagnait partout, jusqu'à la fin !
 
Et à la fin, wow, quel chef-d'œuvre !
 
J'ai eu chaud avec les personnages, soif, j'ai souffert de la faim tout au long de leur périple, j'ai été couverte de poussière tout comme eux, j'ai été désespérée, j'ai espéré, j'ai prié pour eux même !

J'ai ressenti les cahots de la camionnette surchargée sur cette longue route des USA, j'ai prié pour qu'elle ne les lâche pas, j'ai eu peur à chaque crevaison et été soulagée à chaque réparation possible !

Je suis très heureuse de l'avoir lu, et vous le conseille, il vaut la peine d'être lu !

lundi 20 mars 2017

Ace ventura, détective pour chiens et chats

Hier soir, à la tv, passait "Ace Ventura : détective chiens et chats".
 


J'en avais souvent entendu parlé, sans pourtant l'avoir jamais vu, c'était donc l'occasion idéale !
 
Le pitch : Ace Ventura, un jeune homme décontracté à la banane arrogante et à la démarche élastique, est le Sherlock Holmes de la gent canine. Le voici à nouveau sur les dents quand le dauphin Flocon de neige, la mascotte de l'équipe de football americain de Miami, manque à l'appel.
 
Côté casting : Jim Carrey, Courteney Cox, Sean Young.
 
Verdict : 'ai trouvé cela décevant, mais au delà de ça, navrant et vulgaire même !
 
Autant les grimaces de Jim Carrey créaient la surprise dans "The Mask", autant là elles semblent inapproprié et contribuer à rendre le film vraiment lourdingue !
 
Je ne sais pas si c'est censé être une comédie familiale, ou à destination des enfants, mais dans les deux cas, le film ne me parait pas orienté pour al cible voulue.
 
Et voici la seule scène qui m'a fait sourire : https://www.youtube.com/watch?v=td0nB8JrIWs
 
Et il a même des pitis manchots, le veinard !
 
Hormis cela, grosse nullité et amère déception !

vendredi 17 mars 2017

Un jour

Lors de mes dernières vacances, j'ai pu voir à  la télévision un film raté au cinéma il y a un moment : "Un jour".


Le livre est tiré d'un roman de David Nicholls, un best-seller mondial.
Le pitch : Emma et Dexter passent la nuit ensemble après leur soirée de fin d’étude et décident…de rester amis. Lui est insouciant et frivole, elle est bourrée de complexes. Pendant 20 ans, Dexter et Emma vont s’adorer, se séparer, se détester, se manquer… finiront-ils par comprendre qu’ils ne sont jamais aussi heureux que lorsqu’ils sont ensemble ?
Côté casting, le tandem principal est interprété par Anne Hathaway et Jim Sturgess.
Verdict : j'ai beaucoup aimé !
Très jolie surprise que ce film !
Je ne lirai pas le livre, connaissant l'histoire, mais j'ai vraiment aimé les performances proposées par ces deux acteurs, et leur romance...

A voir !
PS : amateurs de happy end, passez votre chemin...

jeudi 16 mars 2017

Raid dingue

Hier soir, je suis allée au cinéma avec des amis voir "Raid dingue".
 
 
 
j'avais très envie de le voir, depuis que j'avais vu la bande-annonce, et j'avais bien envie d'un film très léger !
 
Le pitch : Johanna Pasquali est une fliquette pas comme les autres. Distraite, rêveuse et maladroite, elle est d'un point de vue purement policier sympathique mais totalement nulle. Dotée pourtant de réelles compétences, sa maladresse fait d'elle une menace pour les criminels, le grand public et ses collègues.
Assignée à des missions aussi dangereuses que des voitures mal garées ou des vols à l'étalage, elle s'entraîne sans relâche pendant son temps libre pour réaliser son rêve : être la première femme à intégrer le groupe d'élite du RAID.
Acceptée au centre de formation du RAID pour des raisons obscures et politiques, elle se retrouve alors dans les pattes de l'agent Eugène Froissard (dit Poissard), le plus misogyne des agents du RAID. Ce duo improbable se voit chargé d'arrêter le redoutable Gang des Léopards, responsable de gros braquages dans les rues de la capitale.
Mais avant de pouvoir les arrêter, il faudrait déjà qu'ils parviennent à travailler en binôme sans s'entretuer au cours des entraînements ou des missions de terrain plus rocambolesques les unes que les autres.
 
Côté casting : Alice Pol (que j'aime beaucoup ! ), Dany Boon, Michel Blanc.
 
Verdict : très sympa !

J'ai bien ri, je me suis détendue, on a partagé ça entre amis !

Le seul point noir : la vieille derrière nous qui poussait des hurlements , sans liens avec le film, et à intervalle régulier...

mercredi 15 mars 2017

Coups de coeur musicaux

Nouveaux coups de cœur musicaux !
"Une miss s'immisce", d'Exotica (découvert dans la BO du dernier Dolan) :

Puis Pomme, avec "Sans toi" :


Le dernier Ed Sheeran, "How would you feel" :


Rag'n'bone man, avec "Human" :


Arcadian, avec "Folie arcadienne" :


"The Scientist", de Coldplay, repris par Corinne Bailey Rae :


"Bang bang" de Mani :


"Héloïse", de Renaud :


"Et je l'appelle encore", de Véronique Sanson :


"The Quest", de Bryn Christopher :


"Dancing on my own", de Calum Scott :


Et enfin Milow, avec "Howling at the moon" :


Bonne écoute !

mardi 14 mars 2017

Coup de coeur littéraire !

Récemment, j'ai eu l'occasion de lire le Prix Goncourt de cette année, 'Chanson douce", de Leïla Slimani.
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Le pitch : Lorsque Myriam, mère de deux jeunes enfants, décide malgré les réticences de son mari de reprendre son activité au sein d'un cabinet d'avocats, le couple se met à la recherche d'une nounou. Après un casting sévère, ils engagent Louise, qui conquiert très vite l'affection des enfants et occupe progressivement une place centrale dans le foyer. Peu à peu le piège de la dépendance mutuelle va se refermer, jusqu'au drame.
À travers la description précise du jeune couple et celle du personnage fascinant et mystérieux de la nounou, c'est notre époque qui se révèle, avec sa conception de l'amour et de l'éducation, des rapports de domination et d'argent, des préjugés de classe ou de culture. Le style sec et tranchant de Leïla Slimani, où percent des éclats de poésie ténébreuse, instaure dès les premières pages un suspense envoûtant.
Leïla Slimani, je ne connaissais pas; J'ai découvert avec ce titre.

Donc elle a non seulement du talent, mais elle est jolie par dessus le marché !
Cf. photo ci dessous :

Résultat des courses : j'ai dévoré le livre, que j'ai lu d'un seul trait, d'un seul souffle sans jamais pouvoir le poser.

Tout au long, l'auteur manœuvre afin que la tension monte, insidieusement mais surement.
Ce qui apparaissait au début comme un conte de fées, la rencontre avec cette nounou fée du logis et baby-sitter idyllique, vire bientôt au cauchemar.

J’ai adoré, et cela m’a captivée, MAIS tout le long, j’ai eu l’impression d’un plagiat, je suis persuadée d’avoir déjà lu exactement la même chose il y a quelques années !
A lire !

lundi 13 mars 2017

Coup de coeur pub !

Une pub découverte récemment et que j'ai beaucoup aimée, c'est celle du "Bon coin" :
Bonne découverte et bon visionnage !

vendredi 10 mars 2017

Pensées en vrac !

Nouvelles pensées...
 



 

 




 
 
 

On passe la moitié de sa vie à attendre ceux qu'on aimera, et l'autre moitié à quitter ceux qu'on aime.

Victor Hugo

 
Et, comme toujours, à méditer...

 

jeudi 9 mars 2017

Une place pour chaque chose...

Et chaque chose à sa place !

Ou alors "les vaches seront bien gardées" (ah non, ça, c'est un autre proverbe).

J'ai toujours beaucoup aimé cette citation, elle toujours été un peu comme un mantra dans ma vie.
Une autre que j'aime beaucoup aussi, dans la même idée, est : "Là, tout n'est qu'ordre et beauté. Luxe, calme et volupté", de notre ami Charles ^^.

D'aussi loin que je m'en souvienne, j'ai toujours été ordonnée, voire maniaque plus jeune.
En bref, je rangeais seule et de moi-même, sans qu'on me le demande, ne supportant pas le désordre.

A l'heure actuelle, ma famille fait encore souvent appel à moi pour des missions de tri et de grand rangement, car je suis méthodique, et impitoyable !

Au fil des ans, je suis devenue moins maniaque, mais je suis restée ordonnée.

Par contre, j'ai accumulé, beaucoup de choses et dans beaucoup de domaines : que ce soit des possessions matérielles ou du vécu, je dirai que je me suis "alourdie" de tout un tas de choses qui par la suite, on finit par peser lourd sur mes épaules" et dans la balance...

Il était grand temps d'y remédier, et de remettre les choses à leur place...
 
Voilà deux ans , à savoir en 2015, j’ai décidé de faire du tri, de mettre de l’ordre dans ma vie.
Je voulais changer ce qui n’allait pas, réintroduire du positif  dans ma vie (à l’époque, ce n’était pas la joie).
Je voulais faire mieux, et je voulais faire de mon mieux !

Il était temps de vider mon sac, afin de repartir plus légère...

 

 
Il m’a fallu du temps, de la force, du courage, j’ai dû prendre des décisions imprévues, faire des choix douloureux, et bien sûr, quitter ma zone de confort pour être mieux à même d’avancer, de grandir.

 Je visais un nouveau départ, voire (je suis très ambitieuse parfois) une renaissance !

 Il fallait donc faire du tri, aussi bien dans mon entourage que dans mes possessions, me délester, m’éloigner de personnes nocives et toxiques (même si cela m’avait pris du temps de réaliser cela).

 J’ai donc pris les choses en mains, et le taureau par les cornes !

 Quel a été le déclencheur de tout cela me direz-vous ? Eh bien en fait, cela a été l’arrivée, dans mon ancien appart' (la dernière fois que j’ai vécu en solo) des voisins d’en dessous.
Jusque-là, l’immeuble était calme, agréable, mon appart malgré sa petite taille avait abrité de nombreuses soirées super sympas, où l’on a pu être jusqu’à 10 personnes. Il recelait aussi beaucoup de beaux souvenirs amoureux (il avait vu passer trois amoureux pour être précise).

 

Et un jour, un couple a emménagé en dessous, et c’était le genre à mettre la musique à fond, comme si l’immeuble était à eux seuls, et à faire la fête, dans la cage d’escalier y compris (eh bien oui, leur appart était trop petit) n’importe quand, en semaine et tout le week-end. Et comme dit si bien le proverbe, la liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres…

Mon sommeil s’en est ressenti, ma santé et ma tranquillité d’esprit aussi, j’ai commencé à avoir mal au ventre à l’idée de rentrer chez moi, puis à fuir mon appart les week-end pour me réfugier ailleurs.

En effet, pour la petite anecdote, les voisins au début ont d’abord ouvert poliment leur porte et répondu à ma demande de baisser le son les premières fois où je suis allée les voir, avant de ne même plus m’ouvrir quand je sonnais, voire monter le son…

 

Bref, l’horreur, mon appart que j’aimais tant jusque-là était devenu territoire hostile et non plus refuge.

 

Suite à cela, je décide en bloc de : quitter l’appart, retourner quelques temps chez ma mère pour me reconstruire, changer de la vie seule devenue pesante, et mettre des sous de côté pour acheter une voiture, histoire de gagner ma liberté.

 

Cette décision n’avait pas été facile, et l’idée de retourner chez ma mère, je la vivais un peu comme un échec quelque part, un retour au point de départ après m’être peut-être plantée ailleurs…

 

Quelques jours après la prise de cette décision difficile, je prends un verre avec un ami, à qui je raconte tout cela, et qui me propose d’aller vivre avec lui, chez lui. Certains d’être vous connaissent déjà l’histoire, et savent que je suis donc partie vivre chez lui en coloc, durant 10 mois.

J'avais toujours dit que je n'étais pas faite pour la coloc', comme pour la vie seule, il semblerait donc que je ne soit faite QUE pour la vie de couple.

Au final, cette coloc' s'est révélée idéale au début, une vraie lune de miel. Lui en couple, donc pas d'ambiguïtés, mais en couple avec une nana en déplacement de six mois aux USA, donc le top, pas de possibilité de me retrouver au milieu d'un couple.
Au final, il l'a plaquée, s'est remis en couple une semaine après avec une aixoise que là par contre il a ramené, et c'est comme ça que les choses se sont gâtées...

Donc départ dix mois plus tard, et j'ai quasiment réenchainé avec une seconde coloc, féminine cette fois, aux Milles.

A première vue, une coloc sympa, et un appart qui l'était tout autant.

MAIS ma coloc flashe sur un de mes amis le jour du déménagement et j'ai vite déchanté.

Dès lors, même situation que la coloc précédente, avec en plus les poils du chat sur mes fringues (car elle n'avait pas qu'un mec, elle avait aussi un chat...). Et donc , malgré des débuts tumultueux, nous avions fini par trouver une vitesse de croisière qui nous allait bien à toutes les deux, et établi une bonne entente, une coloc agréable et intelligente, mais au détriment d'un lien amical rompu, cela n'aura pas marché ni tenu.


Au final, départ à nouveau, et retour à la case (presque) départ : un studio seule dans le presque centre, dans la rue dans laquelle j'avais vécu quelques années en couple.

La vie est bizarre quand même. Ou ironique, à voir.


Comme s'il y avait des cycles.

Un retour aux Milles pour moi qui y avait vécu dix ans avec mes parents (avant leur divorce), et ensuite un retour à cette avenue aixoise, loin de m'être inconnue aussi.


Alors, retour aux sources, ou échec ?

Bilan de l'expérience, ou des expériences de coloc : je ne suis définitivement pas faite pour aucune forme de colocation que ce soit. Qu'elle soit féminine ou mixte. Les problèmes surgissent pour moi dès que le ou la coloc, que j'ai choisie et avec qui je me sens bien, veut ramener quelqu'un, qui est à mes yeux un intrus, un étranger, une personne avec laquelle en tout cas je n'ai pas choisi ni de vivre ni de partager mon intimité.

Et la coloc seulement pour aspects financier, cela n'est pas pour moi, au final, cela me revient trop cher payé.

Etre en coloc m'aura quand même permis d'apprécier la vie à deux entre amis, au début. Cela me sortait de ma solitude.

Cela m'aura aussi permis d'apprendre à mieux connaitre ces deux personnes, et à mettre de l'argent de côté pour l'achat de ma titine.


Cela m'a permis d'entrevoir des notions de partage et de compromis toutefois différentes de celles exigées par un couple.

Cela m'aura enfin permis de me faire une amie dans le bus du matin des Milles, avec qui je compte bien rester en contact !

J'ai donc ré emménagé seule, toujours dans ma démarche de trier, faire du vide dans ma vie, et mieux savoir qui je suis et ce que je veux.

Mais avant de vous parler de ma nouvelle vie à nouveau en solo, je vais continuer mon bilan.

En commençant par les points positifs.

Dans mon tri, ma remise d'ordre, j'avais repris le sport.

Abonnement en salle, j'y allais régulièrement, seule ou avec des amis, ou ma sœur, et en parallèle, j'allais courir en nature avec un ami, qui était aussi mon coach et m'a emmené jusqu'à une performance intéressante.

Notre dernière course ensemble, j'avais tenue deux heures et 14 km, moi qui ne partait de rien, n'étais pas une sportive, n'avais jamais aimé courir et avais tenu 15 minutes lors de mon premier footing, deux ans plus tôt....




Là, je me suis pas mal essoufflée sur le sujet donc une remise à niveau en cours, et prévue !

Cela avait entraîné un changement de poids et de silhouette.

Autre changement, donc, dû au sport : mon corps.


Grâce d'abord au sport, puis à des changements alimentaires opérés successivement (mieux manger et plus bouger, manger sans sucre, manger bio , chrono nutrition), j'avais perdu du poids et des centimètres, et je me sentais mieux dans mon corps, dans mes fringues, et dans ma peau, tout simplement.
 
 


Et comme vous vous en doutez, ce changement avait entrainé un changement du regard que je pose sur moi, qui était devenu plus indulgent, plus bienveillant, et presque satisfait (à 500 g près...).

Là, côté alimentation, je suis revenue à du "je mange peu car je suis en solo et je ne cuisine pas que pour moi".

J'avais aussi changé de coupe de cheveux, ayant laissé poussé mes cheveux plus longs que jamais, et les ayant teint en bruns, là aussi plus foncés que jamais.

C'était décidément l'ère du changement.

Au final, je les ai recoupés, et je les laisse recouvrir petit à petit leur couleur naturelle. Plus de coloration ni autres mèches en vue pour moi pour le moment.

Et comme je n'ai pas de cheveux blancs, dixit ma coiffeuse en décembre, j'en profite encore un peu !

C'était l'ère aussi du combo gagnant : style, corps, silhouette, confiance en moi raffermie, sport, bonnes habitudes alimentaires, bonne hygiène de vie, qualité de sommeil au top !

J'étais aussi devenue une nana qui allait bosser en voiture, une adulte presque en quelque sorte...

Je me suis souvent dit que j'avais véritablement fait mon entrée dans le monde des adultes avec l'achat de ma voiture, et mes premières trajets en solo.

Depuis, le sommeil s'en est allé et je peine à le retrouver...

Et côté garçons me direz-vous ? J'y arrive !

Cinq rencontres, périodes fastes !

Une dont j'aurai préféré me passer  ( un genre de coup de foudre qui vire au cauchemar), une insignifiante, ni bien ni mal, et enfin, une qui a pris fin subitement et de façon inattendue ; mais aussi une que j'aurai aimé prolonger, et une qui n'a pas encore tout révélé...

Mais je me sentais magnétique, solaire, j'avais l'impression que tout me réussissait, que tout était possible, et que plus rien ne me faisait peur, cela s'est donc ressenti aussi dans mes rencontres.

Je me sentais invincible, et capable de tout accomplir !



Je m'étais réouverte aux gens, aux possibilités aux opportunités.

J'ai aussi beaucoup lu, et appris sur moi, grâce au développement personnel.

Je m'étais mise à la méditation et à la relaxation aussi.
 


J'ai même testé l'hypnose !

Et en ce qui concerne les amitiés, là encore, le grand tri.

Parfois je l'ai fait, parfois certains l'ont fait pour moi.

Personnellement, je me suis lassée des amitiés à sens unique. Je me suis lassée d'être celle qui donnait des nouvelles, j'ai donc espacé, voire arrêté envers certains.
Certains sont revenus d'eux-mêmes, d'autres non.

Certains amis se sont éloignés, car désormais en couple. Ils ne fréquentent plus trop le club des joyeux célibataires dont je suis membre fondateur ^^.

Certains amis se sont mis à être très heureux : pacs, achat d'un logement, couple, etc, et ils ont donc préféré se détourner des gens (momentanément) malheureux, dont je faisais partie à ce moment là.
C'est bien connu que le mal-être c'est contagieux, cela peut s'attraper avec une simple bise...

Donc je déplore la perte d'amis qui se sont éloignés, ou que j'ai perdus de vue. Je regrette ceux qui m'ont tourné le dos , me taxant de personne "toxique", "néfaste", "négative", alors que j'allais mal, préférant me zapper plutôt que de m'aider.

C'est dans les périodes noires que les vraies amitiés se révèlent, que les plus fortes et les plus sincères se consolident, que celles de toujours se réaffirment.

J'ai aussi passé beaucoup de temps en famille et réaffirmé certains liens familiaux, notamment avec mes deux sœurs, avec lesquelles j'apprécie de plus en plus de passer du temps, maintenant que l'on se voit par choix, et que l'on a chacune nos vies bien distinctes, ne vivant plus sous le même toit.

Et finalement un jour, tout s'est écroulé.

A la seconde coloc, et au boulot.

Et là, je vais attaquer la partie négative du bilan.

La première coloc s'est arrêtée subitement, la deuxième s'est mise à devenir pénible, et avant qu'elle ne s'arrête, j'ai souvent "calmé" mes colères via des crises de boulimie.

C'est aussi à cette période que j'ai arrêté le sport, perdu le sommeil, que je me suis totalement désociabilisée, que j'ai fait une crise de panique au volant qui m'a empêchée quelques temps de reconduire (avant de reprendre, d'abord de jour, et accompagnée). 

 
Le tout n'étant pas aidé par le fait que j'ai commencé à me sentir très mal à mon travail, sur mon poste, et que j'ai commencé à envisager de le quitter...

Mais ça, cela constituera la prochaine étape, je voulais d'abord solutionner et gérer le fin de la coloc' et un déménagement.

Next step en vue : résoudre la question de mon poste, reprendre le sport et une vie sociale.
J'en ai envie et besoin.

 

Réintroduire le positif est aussi au programme.
 
Côté amitié, le tri est fait.

Ne me reste plus qu'à me concentrer sur ceux qui ont envie de me voir, être là pour ceux et celles qui sont toujours là pour moi, en bref, me concentrer sur ceux que j'aime et qui m'aiment, telle que je suis, avec mes hauts et mes bas, et malgré mes hauts et mes bas.


Etre là pour eux en retour, être là pour moi aussi !

Faire la paix avec moi-même, et rencontrer ensuite, une fois cela fait, un homme, THE man, un genre de Marc Darcy qui m'aimera "telle que je suis" (avis au fans de Bridget...^^).


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

mercredi 8 mars 2017

Le Renard et l'enfant

Il y a quelques soirs de cela, j'ai vu "le renard et l'enfant", qui était diffusé à la télévision.
 
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Et là, je réalise en voyant l'affiche que le film a dix ans !
 
Le pitch : un matin d'automne, au détour d'un chemin, une petite fille aperçoit un renard. Fascinée au point d'oublier toute peur, elle ose s'approcher. Pour un instant, les barrières qui séparent l'enfant et l'animal s'effacent. C'est le début de la plus étonnante et de la plus fabuleuse des amitiés. Grâce au renard, la petite fille va découvrir une nature secrète et sauvage. Commence alors une aventure qui changera sa vie, sa vision et la nôtre...
 
Côté casting : Isabelle Carré, Bertille Noël-Bruneau, Thomas Laliberté, et...la renarde, bien sûr !
Mais je ne connais pas son petit nom ^^.
 
Verdict : un film joli et émouvant, un peu naïf mais très plaisant !
 
 

mardi 7 mars 2017

Fidelio, l'odyssée d'Alice

Le même soir que "Baby Sitting", juste un peu plus tard, Arte proposait un autre film qui m'avait intriguée lors de sa sortie cinéma : "Fidelio, l'odyssée d'Alice".
 
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Le pitch : Alice, 30 ans, est marin. Elle laisse Félix, son homme, sur la terre ferme, et embarque comme mécanicienne sur un vieux cargo, le Fidelio. A bord, elle apprend qu’elle est là pour remplacer un homme qui vient de mourir et découvre que Gaël, son premier grand amour, commande le navire.
Dans sa cabine, Alice trouve un carnet ayant appartenu à son prédécesseur. La lecture de ses notes, entre problèmes mécaniques, conquêtes sexuelles et mélancolie amoureuse, résonne curieusement avec sa traversée.
Au gré des escales, au milieu d’un équipage exclusivement masculin, bercée par ses amours qui tanguent, Alice s’expose au bonheur de tout vivre à la fois et tente de maintenir le cap…
 
Côté casting : Ariane Labed, Melvil Poupaud, Anders Danielsen Lie.
 
Verdict : si j'étais vulgaire, j'écrirai qu'Alice est une chaudasse qui ne sait pas où elle a mal (enfin j'ai bien une idée mais bon...).
 
Au lieu de cela, j'écrirai que le film raconte l'histoire d'une nymphomane qui "nymphomanise" beaucoup (sachant que déjà la notion de "nymphomanie" implique de beaucoup coucher, cela vous donne une idée...) et qu'Alice n'aura de cesse d'essayer tour à tour (presque) tous ses compagnons de voyage afin de voir lequel lui sied le mieux, un peu comme un gilet de sauvetage en fait...
 
En bref, cela ne vaut pas "50 nuances", alors que cela abord un peu le même thème sur le fond (mais traité beaucoup plus hypocritement selon moi), et avec "Baby sitting" vu en première- partie, là c'était confirmé : j'avais perdu ma soirée !
 
Passez votre chemin, what a daube !

lundi 6 mars 2017

Coup de cœur littéraire !

Récemment, un ami m'a fait découvrir "Voyages en absurdie", de Stéphane De Groodt.
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Le pitch : Stéphane De Groodt est un adepte du jeu de mots et du calembour, s'inscrivant dans la ligne de Raymond Devos. Dans ses chroniques sur RTL («A la bonne heure»), il présente un courrier imaginaire des auditeurs, sur un ton burlesques et décalé. Par exemple : «Je m'appelle Martine. J'ai 82 ans et deux caniches, en plus d'avoir Alzheimer et deux caniches. Mais j'ai encore une excellente mémoire pour une femme de 2 ans qui doit s'occuper de 82 caniches».
Sur Canal + («Le Supplément»), il narre sa rencontre fictive avec une célébrité (Nicolas Sarkozy, Michel Denisot, Kim Jong-un…), sur un mode surréaliste.
Je connaissais Stéphane De Groodt pour l'avoir découvert en tant qu'acteur dans le téléfilm que j'adorais suivre : "Mes amis, mes amours, mes emmerdes", diffusé sur TF1 à une époque.

Ensuite, il était animateur à la soirée des Césars, l'année où j'ai eu la chance d'y assister, il y a 3 ans (en 2013), après avoir gagné deux places grave à un jeu concours lors du Festival Télérama.
Verdict : j'ai souri tout le long, et j'ai été épatée par le style et bluffée par la qualité des jeux de mots !
L'auteur nous balade avec lui dans les méandres de la langue française et de ses subtilités, pour notre plus grand plaisir !
A lire et à offrir !

vendredi 3 mars 2017

Tous en scène

Lors de mes dernières vacances, je suis allée au cinéma voir "Tous en scène" !
La bande-annonce laissait présager un dessin animé drôle, créatif et génial !
Le pitch : Buster Moon est un élégant koala qui dirige un grand théâtre, jadis illustre, mais aujourd’hui tombé en désuétude. Buster est un éternel optimiste, un peu bougon, qui aime son précieux théâtre au-delà de tout et serait prêt à tout pour le sauver. C’est alors qu’il trouve une chance en or pour redorer son blason tout en évitant la destruction de ses rêves et de toutes ses ambitions: une compétition mondiale de chant. Cinq candidats sont retenus pour ce défi: Une souris aussi séduisante que malhonnête, un jeune éléphant timide dévoré par le trac, une truie mère de famille débordée par ses 25 marcassins, un jeune gorille délinquant qui ne cherche qu’à échapper à sa famille, et une porc épic punk qui peine à se débarrasser de son petit ami à l’égo surdimensionné pour faire une carrière solo. Tout ce petit monde va venir chercher sur la scène de Buster l’opportunité qui pourra changer leur vie à jamais.
Verdict : c'était encore mieux que prévu !
la bande-annonce ne dévoile ni la totalité, ni le meilleur du film, et de belles surprises restent à venir !
Rires et émotions au programme de ce dessin animé inventif et étonnant !
Et super B.O. !
Je ne sais décidément pas ce qu'ils fument dans ces studios pour produire de telles choses, et se renouveler aussi souvent, continuer à nous surprendre,  mais je les encourage vivement à continuer !
A ne pas rater !  

jeudi 2 mars 2017

Baby Sitting

Hier soir, j'ai regardé "Baby Sitting", qui était diffusé à la télé.
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Lors de la sortie ciné, le film m'avait paru une daube, et le fait qu'un deux sorte m'avait fait douter de mon jugement...
J'ai donc décidé hier soir, soirée oisive en vue, de tester le premier volet de cette série.
Le pitch : Faute de baby-sitter pour le week-end, Marc Schaudel confie son fils Remy à Franck, son employé, "un type sérieux" selon lui. Sauf que Franck a 30 ans ce soir et que Rémy est un sale gosse capricieux. Au petit matin, Marc et sa femme Claire sont réveillés par un appel de la police. Rémy et Franck ont disparu ! Au milieu de leur maison saccagée, la police a retrouvé une caméra. Marc et Claire découvrent hallucinés les images tournées pendant la soirée.
Côté casting : Philippe Lacheau, Gérard Jugnot, Clotilde Courau.
Verdict : en dehors du fait d'être un genre de mauvais "Projet x" à la française, et avec des acteurs plus vieux, qui n'ont même pas l'excuse de l'âge (adolescence) pour expliquer qu'ils soient à ce point immatures et abrutis, c'est bien la daube que je soupçonnais !
Ne perdez pas votre temps avec ce film, qui n'est même pas drôle et ne m'a même pas arraché un sourire !

mercredi 1 mars 2017

Cinquante nuances plus sombres

Récemment, je suis allée au cinéma voir le 2e volet des aventures sulfureuses de Christian Grey et Anastasia Steele : "Cinquante nuances plus sombres".
 
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Le pitch : C’est un Christian blessé qui tente de reconquérir Anastasia. Cette dernière exige un nouveau contrat avant de lui laisser une seconde chance. Mais une ombre surgit du passé de Christian et plane sur les deux amants, déterminée à détruire un quelconque espoir de vie commune.
 
Côté casting, toujours le tandem Dakota Johnson et Jamie Dornan, avec cette fois, à leurs côtés, Kim Basinger.
 
Verdict : une B.O. azussi soignée que le premier opus, avec notamment un morceau de Coldplay, "The Scientist" ,  repris par Corrine Bailey Rae en guise d'ouverture.
 
 
Avec aussi du Sia, du John Legend, du Taylor Swift ou encore du Kygo et du Danny Elfman.
 
Côté film, j'ai bien aimé, l'effet de "surprise" du premier n'est bien sûr plus là.
Le livre est assez fidèle à mes souvenirs du roman.
 
Toujours le même regret concernant les personnages secondaires qui selon moi, ont été mal choisis au casting, et n'ont pas l'élégance ou le physique de leurs alter ego du roman...

A voir !