lundi 12 juin 2017

Snow Therapy

Hier soir, j'ai regardé "Snow Therapy", qui était diffusé à la télévision.
Il s'agit d'un film réalisé par Ruben Ostlund, qui vient de décrocher cette année la palme à Cannes.
Le pitch : Une famille suédoise passe ensemble quelques précieux jours de vacances dans une station de sports d’hiver des Alpes françaises. Le soleil brille et les pistes sont magnifiques mais lors d’un déjeuner dans un restaurant de montagne, une avalanche vient tout bouleverser. Les clients du restaurant sont pris de panique, Ebba, la mère, appelle son mari Tomas à l’aide tout en essayant de protéger leurs enfants, alors que Tomas, lui, a pris la fuite ne pensant qu’à sauver sa peau… Mais le désastre annoncé ne se produit pas, l’avalanche s’est arrêtée juste avant le restaurant, et la réalité reprend son cours au milieu des rires nerveux. Il n’y a aucun dommage visible, et pourtant, l’univers familial est ébranlé. La réaction inattendue de Tomas va les amener à réévaluer leurs rôles et leurs certitudes, un point d’interrogation planant au dessus du père en particulier. Alors que la fin des vacances approche, le mariage de Tomas et d’Ebba est pendu à un fil, et Tomas tente désespérément de reprendre sa place de patriarche de la famille. Snow Therapy est une comédie grinçante sur le rôle de l’homme au sein de la famille moderne.
Côté casting : Johannes Kuhnke, Lisa Loven Kongsli, Clara Wettergren...
Verdict : quelle déception !
Je me souviens qu'au moment de sa sortie ciné, je l'avais raté et j'avais été très déçue, car j'avais trouvé la bande-annonce aussi alléchante qu'intrigante, j'étais donc ravie de le voir programmé à la télé !

Pour moi, le film ne présente finalement aucun intérêt : sans queue ni tête, pas de fin, beaucoup de longueurs, de silences...              
Je reste curieuse de voir son nouveau film, celui qui vient de décrocher la palme à Cannes, tout en gardant à l'esprit que ces films là sont rarement compréhensibles ou grand public (je pense entre autres à "Tree of life", de Terence Malik, et comme je le dis toujours : à Cannes, le jury donne la film à des films de fous, juste pour ne pas avouer qu'ils n'y ont rien compris)...                          

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